Chapitre 4: La fête

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Pdv de Téa

  Après le gros câlin avec Alec, on décide de descendre, car on a entendu des gens toqués à la porte. Alec va ouvrir et je vois Téa entrer la première.
Je lui refais un autre gros câlin, car elle m'avait manqué.
Elle était magnifique dans sa tenue. Ensuite, les invités arrivent, je reconnais quelques personnes, mais d'autre non. Comme il y avait énormément de monde, je laissai la porte ouverte pour que les gens entrent sans avoir à toqué.
Au bout d'un certain temps, Tessa et moi, on commence à boire et danser au milieu de la foule. Je me sentais libre et j'en chaîné beaucoup de verre d'alcool. C'est à mon 12e verre, que je ne me sentais pas trop bien.

- Tessa, je ne me sens pas trop bien, je vais faire un tour et j'arrive.
- Tu ne veux pas que je t'accompagne ?
- Non merci ça ira.

Après avoir prévenu Tessa, je monte à l'étage avec difficulté. Comme j'étais assez bourré, je me souvenais plus où se trouvaient les toilettes.
Alors, j'ouvris chaque pièce et je tombais quelques fois, sur des gens en train de baiser. C'était assez choquant, et je me suis dit qu'avec Alec, il fallait tout de suite après la fête laver tous les draps. Heureusement que j'ai fermé ma chambre à clé. J'avance tout droit dans le couloir, en ignorant certain bruit ou même dirai-je, des cris, je trouve enfin les toilettes, mais c'était trop tard et je vomis sur quelqu'un. Vite après avoir vomi, je me redresse et je vois ma victime du vomi.

- Oups, je suis vraiment désolée, dis-je aussitôt après lui avoir vomi dessus.
- Tu vas le regretter sal pute, dit-il d'un ton menaçant et froid.
- Ah oui et tu vas faire quoi, me taper ? Dis-je sarcastiquement.

Il s'approche un peu trop de mon visage, je peux même sentir son souffle chaud et il me regarde bien dans les yeux.

- Tu verras bien, Téa Scoot !
Tu verras bien, dit-il et s'apprête à descendre les escaliers.
- Oui vas-y casse-toi, sal connard. De toute façon, tu sers à rien !

Au moment où il allait descendre, il s'arrêta nette, se retourna et se précipita sur moi. Il me plaque violemment contre le mur et me regarde avec tant de haine.

- Reparle-moi comme ça et je te promets que tu vas avoir de gros problèmes avec moi, salope. Donc arrête de me faire chier, car je ne veux pas qu'une si jolie fille se retrouve au fin fond d'une forêt ! Et il part,
me laissant seul ici.

C'était le nouveau du lycée, je ne sais pas comment il s'appelle et je m'en fous royalement. Il est plus grand que moi, assez musclé, des yeux bleu azur qui ne rejettent aucune émotion, et des cheveux couleur brun.
Il a tous d'un mec parfait que les filles rêve, mais je le déteste.
Oui, je comprends qu'il est en colère, mais il n'est pas obligé de me menacer, si ?

Après tout ce bordel, je décide de rejoindre ma meilleure amie pour lui parler de ce qui vient de se passer.
Mais je ne la trouvais nulle part. Elle était introuvable, mais j'avais ma petite idée, je sais que Tessa a invité son petit copain donc je pense qu'elle doit être avec à ce moment. Donc comme j'étais encore bouleversé à cause du nouveau, je préviens mon frère que je vais faire un petit tour dehors. J'étais en train de marcher dans une ruelle en repensant à ce que m'a dit l'autre " je ne veux pas qu'une si jolie fille se retrouve au fin fond d'une forêt ".
Que voulait-il dire par " au fin fond d'une forêt " peut-être qu'il veut me tuer comme il a fait à ces parents. Car oui, au lycée,
il y a cette rumeur qui dit que le nouveau avait tué ces parents, qu'il avait eu des problèmes avec la justice et que maintenant, il est revenu au lycée grâce à quelqu'un.
J'étais en train de repenser à tous ça jusqu'au moment où j'entends des pas derrière moi.

- Qui est là ? dis-je avec peur.
- Tiens, tiens, comme on se retrouve.

Je reconnus vite la voix, c'était le nouveau.

- Qu'est-ce que tu veux, dis-je froidement.
- Toi, salope.
- Quoi qu'est-ce que tu veux, tu veux me tuer comme tu as fait à tes parents, juste parce que je t'ai vomis..

Je n'ai pas pu finir ma phrase, qu'il m'avait déjà plaquée contre le mur aussi violemment que tout à l'heure, mais cette fois-ci, il m'étrangle.

- Ne dis plus jamais ça, salope ! Je n'ai jamais tué mes parents ! et il resserra son emprise autour de mon coup, je n'arrive plus à respirer et la, trou noir.

--La suite prochainement -




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