chapitre 4

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je sort de mon balcon suite au message du bouclé, il est assis sur une chaise sur son balcon a lui. quand il me vois le regarder il se lève d'un coup pour s'approcher de la clôture de sécurité. je fait de même. malheureusement pour moi mon bras n'est pas assez loin pour se rendre a son visage pour que je puisse le frapper. je ne sais pas pourquoi mais en ce moment même j'en ai plus envie que les autre fois. peut être parce que son nez n'est pas assez rouge après le coup que je lui ai donner dans l'ascenseur. enfin, peu importe la raison; j'ai juste envie de le frapper.

"je viens de me rappeler que nos balcon était juste a coter.

-malheureusement pour moi.

-oh louis... je sais que tu aime être en ma compagnie.

-plutôt mourir oui.

- a la place de se parler au travers des mur la nuit, ici c'est mieux non? avec la ville a nos coter, le calme de...

-tu m'énerve deja. tu voulais quoi?

-discuter, personne est a la maison.

-personne ne veux te voir c'est pour ça."

il me regarde un moment en souriant je ne sais pas pourquoi il sourit comme ça mais je n'aime pas ce sourire, ses fossette qui ressorte, ses yeux vert qui ressorte beaucoup plus avec la lumière du soleil qui plonge a l'intérieur. bref!

"pourquoi tu souris?

-tu est toujours sur ta défense  m'insulter, peut importe ce que je fait ou ce que je dit.

-et ça te fait rire?
-oui parce que tu est plutôt faible."

Si seulement il était à quelque centimètre de moi, j'aurais pu lui placer un bon coup dans la gueule mais nous sommes séparer par des balcons et je n'ai pas accès à son petit visage de mec parfait. quelque fois j'aimerais bien être un ninja, passer par dessus la barrière de sécurité et le frapper. mais malheureusement pour moi je ne suis qu'un pauvre être humain et si j'essaie je tombe et je meurt, ou je me fait très mal. dans tout les cas la chute pourrait être dangereuse. alors je ne fait rien.

"tiens, tu ne parle plus.

- je n,'ai pas envie de gaspiller ma salive pour un con.

-tu viens de le faire!

-peut importe.

-dans le fond tu m'aime bien louis, tu ne veux juste pas l'avouer.

- j'aimerais plus mourir que de voir ta face 5 secondes de plus."

puis je fini la conversation en rentrant dans ma chambre. moi apprécier ne serait-ce qu'un bout de ses cheveux? JAMAIS! alors encore moins lui tout entier.

en fait, j'aurais bien aimer rester dehors, on était bien avec le petit vent frais qui venais de se lever. mais bien sur, si je sort il y a l'autre con surement toujours sur son balcon a attendre que je sorte. ahhh! je le déteste!

-

mes parents finirent par arriver à la maison, on mangeas rapidement avant que je ne disparaisse dans ma chambre a nouveau. par contre cette fois je ne m'arrêta pas dans mon lit. j'ouvris la porte de mon balcon et je m'assoie tout bonnement sur la chaise placer près de la vitre coulissante. je regarde la ville, les lumière des maisons commence a s'allumer les une après les autres, le soleil n'est presque plus présent dans le ciel, la lune lui prend sa place pour quelque heures. mais ce qui est encore mieux que tout ça c'est le calme présent, aucune être vivant désagréable du nom de Harry styles n'est la. je suis juste seul avec le son des quelque voiture. il fait beaucoup plus frais que cette après midi.

finalement j'ai parler trop vite. 30 minutes plus tard il est lui aussi assis sur une chaise près de la clôture. accoter sur le haut et regarde les voiture passer en dessous de nous. il ne parle pas. exploit!

"alors tu m'a écouter et t'es venue pour la nuit? je savait que...

-ta gueule"

ne dite rien... j'ai compris j'ai, une fois de plus, parler trop vite. il ne peut pas se la fermer deux minutes ce mec, a peine je lui ai dit ta gueule, 10 secondes il l'a rouvre.

"tu est désagréable louis. j'essaie d'être gentil 5 minutes avec toi et toi tu m'envoie chier. finalement, ma mère a raison, tes qu'une merde égoïste qui ne pense qu'a lui et sa petite personne parce que tout le monde autour ne sont que des sous merde pour toi. mais tu veux savoir quoi? tes pas plus important que les autres. tes même pires, que tu meurt ou que tu soit en vie ça ne change rien. en fait si, on serait mieux. alors pense y deux fois quand tu te pense plus important que les autres."

je n'ai pas quitter le paysage des yeux deux secondes, mais j'entends la porte de son appartement claquer ce qui m'indique qu'il est rentrer et que je suis de nouveau seul sur le balcon. je repensa au parole du bouclé. peut être avait-il raison.. je traite peut être vraiment tout le monde comme de la merde. non... il n'a pas raison, il n'y a que lui que je traite comme une merde...

-harry viens dehors.-

je ne devrais surement pas le lui envoyer, il penseras des choses mais je m'en fou. je me sens seul assis sur ce balcon.

"tu as changer d'idée petite merde?

- ta belle face me manquais!

-sérieusement?

-non ta une tête de mouton.

-tiens tu ne me la jamais sortit celle la."

il mis ses bras croiser sur la petite clôture sur le coter de droit et je fis de même mais avec le cote gauche pour me retrouver face a lui. puis on se regarda droit dans les yeux sans les cligner. nous restons comme ça pendant plusieurs seconde avant qu'un coup de vent m'arrive droit des yeux et m'oblige à les fermer.

"même pas capable de garder les yeux ouvert! pa-thé-tique.

-ta gueule le mouton, j'avais le vent!

-cherche pas une excuse pour ta nulité!"

je souffla, peut importe ce que j'allais lui dire il allait trouver quelque chose pour me prouver que j'étais juste nul. je tiras donc la chaise vers ou j'étais, m'assis sur elle et coucha ma tête sur mes bas qui était reposé sur la barrière. le soleil avait maintenant tout disparue. mais je n'avais pas envie de rentrer. je pris mon portable pour voir l'heure, il était deja 10 heure et demi. soit le soleil se couchait tard, soit j'ai pris beaucoup de temps a texter Harry et je ne m'était pas rendu compte que le soleil avait déjà disparue. ce fut la deuxième option qui me paraissait la plus logique.

j'entendis des coups dans la porte de ma chambre, je rentra, fermas celle de l'extérieur question que ma mère ou mon père ne remarque pas que harry aussi est sur son balcon face au mien.
j'ouvre la porte, ma mère se trouve devant celle-ci.

"tu était fatiguer louis ce matin. tu devrais aller te coucher tu ne crois pas?

-c'est ce que j'allais faire. bonne nuit maman."

je lui embrassa la joue. elle partit et je ferma la lumière de la pièce. non, je n'allais pas me coucher.

enemy neighbor (L.S (BoyXBoy))Où les histoires vivent. Découvrez maintenant