Chapitre 9

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Je me retrouve donc assis dans le bureau du directeur, la lèvre en sang et les poing blesser, harry se trouve aussi dans ce bureau avec moi, nos chaise sont exactement à un mètre de distance, ce qui n'est visiblement pas assez éloignée car je sens a quelque reprise un coup de pied sur ma jambes. Provenant de styles. Je sais bien que le prof en face de nous l'à remarquer mais ne dit rien.

Aucun de nous trois me parle depuis plus de 2 minutes. Le directeur passe son regard sur harry, puis moi, et retourne voir le bouclé pour, quelque secondes après, me regarder à nouveau et il échange comme ça depuis deux longues minutes.

"Bon... vous aviez eu une dernière chance. Je suis étonnée de ne pas voir monsieur Payne, Horan et Malik avec vous..."

Il fait une pause. Pris un crayon sur son bureau avec une feuille ligner vide avant de relever la tête vers nous.

"Styles, d'après certaine personnes vous êtes celui à avoir commencer. Puis-je avoir vos explication?
-il à commencer! Je ne faisait que répondre à sa provocation!
-j'aimerais vous croire styles mais les surveillant qui étais présent dites que vous avez commencer."

J'écoute sans rien dire, harry argumente contre le directeur, et celui ci a toujours la même réponse. Finalement le bouclée finis par lui dire que je l'ai frappée sans aucune raison dans l'ascenseur et c'est à mon tour de me faire poser les questions.

"Tomlinson. Je sais qu'en dehors de l'établissement ce n'est pas de mes affaire mais quand vos chamailleries arrive jusqu'ici ça en deviens mon problème. Alors, pourquoi l'avez vous frapper.
-il est moches."

Je regarde la réactions du moutons assis à coter de moi, ses joues prenne doucement de la couleur avant de devenir rouge, je baisse le regard vers ses mains, il les serre pour en former des poings. Je sens que je vais manger quelque coup en sortant de ce bureau.

"Deux heures de colle après les cours vendredi. Prochaine fois ce seras une journée la fin de semaine, un samedi. Et si vous n'avez toujours pas compris votre leçons, après c'est un renvoie pour une semaine, puis deux, puis un renvoie définitif. S'il vous plaît, ne nous rendons pas là."

Il remplit deux papier, l'un que je pense être au nom de styles et le deuxième Tomlinson, il nous les donne.

"Vous êtes mieux de vous présentez vendredi. Allez en cour maintenant. Et que je ne vous revoie plus ici... du moins pas ensemble!"

Je me lèves en même temps que styles, je sort en premier, harry ferme la porte derrière nous.

"Comme ça tu me frappe parce que je suis moche?
-tu t'es deja vue dans un miroir?
- alors toi tu embrasse les personnes moches?"

Je mord la lèvre intérieur, retenant mon poing. J'aimerais bien oublier cette épisode, cette erreur et cette... juste à y penser j'ai envie de lui vomir dessus. J'ai embrasser un garçon, et le pire dans cette histoire c'est que ce garçon, c'était lui!

"Tu faisait tellement pitié, je ne voulais pas que tu termine tes jours sans jamais avoir embrasser un être vivant!"

Puis je part. Ayant l'aire sur de moi, fière de moi mais Le souvenir en tête.... merci styles!

J'hésite devant la porte, rentrer dans le cour ou repartir chez moi pour le reste de la journée, évitée styles par la même occasion. Mais je repense à ma mère, si je sèche les cours je peut dire adieux à toute vie sociale, mon telephone comme mon ordinateur me seront enlever. Elle ne tolère vraiment plus mes absence...

Alors j'ouvre la porte, ignorant le professeur qui reste fixer sur moi pour des excuses mais il ne reçoit rien, je m'assois à ma place, il souffle de découragement et continue son cour.

Harry n'est pas là, pourtant il est avec dans ce cours... et dans tout les autres...

Tromper! La porte s'ouvre sous un grand fracas, elle claque contre le mur derriere elle et se referme presque tout de suite avec le même son. Il se dirige à sa place qui est juste à coter de moi, comme pour le reste de l'année, le professeur n'a pas arrêter de parler même après l'entrée bruyante du mouton.
"J'pensait que tu avais décider de sécher."
Je lui chuchote pour ne pas que le prof ne puisse nous entendre, bien que je doute qu'il fasse quoi que ce soit, mais aussi pour les élèves autours, j'ai quand même un peu de respect pour eux et je ne voudrais pas les déranger.

"Je t'aurais trop manquer.
-même pas dans tes rêves."

Après un court silence, il reprend.

"Et moi je souhaitais que tu sèche."

Il me regarde dans les yeux quelque secondes.

"Tu veux sécher?
-j'veux pas finir comme toi plus tard. Dans la rue.
-tomlinson.
-tu connais mon nom, bravo?
-arrête et bouge ton gros cul."

Je relève mes fesse de ma chaise et me tourne pour faire semblant de les regarder. Puis me rasseyant je me tourne vers le bouclée.

"Tu aime les mater?
-ma passion! Maintenant p'tit con tu te lèves et on dégage."

Il prend ses cahiers qu'il n'avait même pas pris la peine d'ouvrir, je referme les miens et on se lèves. Les élèves, qui sont habituer de nous voir se battre, nous regarde étonner qu'on marche côte à côte. Sans se frapper ou s'insulter, le prof lui nous regarde plutôt en se demandant ce que nous faisons. Il ne dit rien, de toute façons il sait très bien que nous sortirons, peut importe ce qu'il dit.

On traverse les couloirs en évitant les surveillant, se rendant de justesse à nos casier sans se faire remarquer pour y ranger notre matériel, et on quitte. Jamais je n'aurais imaginer accepter une offre de styles, peut importe la nature, mais j'aurais encore moins imaginer d'accepter de sécher avec lui.

Sans Liam, sans Niall et sans Zayn. Quoi que lui je pourrait bien m'en passer...

"Tu veux traîner où?
- moi je rentre.
- attend!"

Il rattrape les quelque pas que j'avais d'avance sur lui.

"On va acheter des planches de bois.
-quoi? T'es pas capable d'acheter des trucs tout seul?"

Je me remets à marcher quand je lui lance.

"Et en passant, profite en pour t'acheter une vie!"

Encore une fois, il me rattrape; à croire que je ne pourrait jamais me débarrasser de Lui! Il est pire qu'un parasite!

"Oh ta gueule Tomlinson et viens, à moins que tu veuille vraiment m'attendre dans le couloir?
-j'ai mes clé! Je suis pas..."

Puis en touchant ma poche je me rend compte que non, je n'ai plus mes clés et pourtant je les avait ce matin...

"Putain..."

Je marmonne, et lui il sourit comme un con...

"arrête de sourire ta l'aire encore plus stupide.
-quand même moins que toi. Alors, tu viens ou pas?
-et pourquoi tu veux des planches?
-c'est pas toi qui voulais sauter par dessus nos balcon?"

Première et dernière fois que je le dit; il à une bonne idée. Attendez... c'est considérer comme un compliment? Parce que moi dire un compliment a... ça!? Jamais.

C'est donc comme ça que nous nous ramassons à marcher 30 minutes jusqu'au magasin le plus proches pour acheter des planche de bois et des vis.

enemy neighbor (L.S (BoyXBoy))Où les histoires vivent. Découvrez maintenant