Chapitre 10

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Son appartement est toujours aussi propre, sa chambre n'a pas un vêtement ou vaisselle qui traîne. Nous nous rendons sur le balcons avec nos trois planche que nous avons traîner jusqu'ici et une scie à bois que nous avons acheter à dernière minutes après s'être souvenue qu'aucun de nous n'en possédais une.

"On les place comment?
-c'est ton idée, ta merde tu t'arrange.
-Tomlinson!
-styles!
-Dégage de mon lit et viens m'aider."

Je relève à peine la tete pour le regarder. De toute façons, comment on va s'y prendre? Il n'y a aucune place pour clouer quoi que ce soi. Le sol du balcon est du ciment et les barrières de sécurité du métal. Et puis maintenant que j'y pense trois planche ce n'est pas assez à peine un pied poser dessus je vais me tuer en tombant en bas.

"Non, trop confortable.
- bouge de la! C'est pas une question!
- laisse moi tranquille vieux mouton dégénérer..."

Il quitte la balcon pour rentrer dans sa chambre, se poste devant moi. Du moins, devant mes jambes qui tombe en bas du lit. Je me remonte sur les coude pour l'observer.

"Tu viens m'aider ou j'te lance par dessus la clôture." Il me dit en désignant le balcon de l'autre coter de la porte vitrée.

"Tu n'oserais pas.
- ah non!?
- tu m'aime trop pour ça!
- ouais c'est ça, t'a tout compris monsieur je sais tout!
- non mais sérieux, ça ne marchera pas.
- pourquoi?
- parce que ça risque de casser sous mon poids ."

Il semble réfléchis un moment, puis se lance sur le lit, juste à coter de moi en me donnais un coup de coude dans le ventre. Mais je ne dit rien, j'ai pas envie de me battre la maintenant, son lit est beaucoup trop confortable pour que je veuille un jour y bouger.

"Et si on mets les trois planche l'une par dessus l'autre et on vise le tout sur le balcon?
- le ciment est beaucoup trop dur pour viser ça.. et pourquoi tu veux tant faire ça?
- pourquoi pas?"

On reste allonger quelque secondes de plus mais il gâche tout en se relevant rapidement.

"Pourquoi t'es toujours coucher la toi!? J'tai dit de dégager!
-arrête de gueuler le mouton...
-toi arrête avec ce surnom et après on verra.
-si tu me laisse m'allonger ici encore."

Il marmonne quelque truc mais je pense bien qu'il accepte de me laisser squatter son lit encore un petit moment. De toute façons je ne pourrait même pas rentrer chez moi...
il se tient toujours devant moi, me fixant sans cligner des yeux. Honnêtement je ne sais pas trop comment réagir avec ce regard fixer sur moi, sûrement en me jugeant, trouvant tout mes petits défauts.

"Tu sais que tu as une tête de con?" Exactement ce de quoi je parlais... je soupire, me remontant une fois de plus sur mes coudes et je le regarde. J'ai l'impression d'avoir reculer le temps de quelque Minutes...

"Je suis toujours moins pire que toi alors ça va." Je lui lance avant de me laisser retombée sur le lit, fermant mes yeux et profitant du fait qu'il ne me renvoie aucune remarque.

L'appartement est silencieux. Nous entendons seulement les voitures qui passe dans la rue, mais encore la le son n'est pas fort vue notre étages.

"On pourrait faire un troue dans le mur? Avec une petite porte!"

J'ouvre les yeux pour retrouver styles pencher derrière son bureau, il ne fixe pas le meuble mais bien le mur qui sépare ma chambre de la sienne.

"Comme dans coraline" je relève un sourcil et il continue, "tu sais la petite fille qui passe dans une porte? Dans un autre monde et tout le monde a des boutons à la place des yeux?
-impossible, il y à plein de truc entre les murs et on as pas le droit.
-personne ne le verra.
-et si on déménage? Ils remarqueront le troue dans le mur."

Un silence, il continue de fixer le bois paint comme si celui ci allait lui crier une réponse.

"S'il te plaît?
-non. Je n'oublierai plus mes clés alors pas besoin.
-tu sais aussi bien que moi que c'est faux. Et je sais que tu as toujours rêver d'avoir un passage secret quand tu étais gosse! Tout le monde la déjà fait!"

Oui c'est vrai j'ai toujours voulu avoir un porte qui menais à une place que personne ne connaissait. Mais pas la chambre de styles! Et puis une porte, ce n'est pas la chose la plus discrète au monde.

"On pourrait la peindre comme le mur, la poignée serait la clé pour la débarré. Alors on ne verrait rien sauf si on connait l'existence, et on mets un meuble devant.
-HEY Le mouton!? J'ai dit non.
-elle serait assez petite pour être discrète, on devras marcher à quatre patte pour rentrer.
-STYLES!
-quoi?
-non."

Il se pousse enfin de son bureau pour venir se laisser tomber sur le lit, sa tête sur mon ventre mais cette fois sans me faire mal. Juste déposer. Ses pieds tombent sur le bord du lit comme les miens.

"Tu sais qu'on serait dans la merde si quelqu'un découvre cette porte?"

Il se relève d'un coup, me sautant risque dessus par la même occasion.

"TU ACCEPTE !?
-je n'ai.."

Je m'arrête, voyant ses yeux briller de bonheur. Alors je me reprend.

"Oui j'accepte..."

Il me saute dessus, littéralement, en lançant un merci, plusieurs fois.

"Hey ça voulait pas dire que tu as le droit de te lancer sur moi grosse merde. Bouge de là!"

Mais il n'a pas l'aire décider pour bouger. Nous restons au moins cinq minutes dans cette positions, moi couchez sur le dos avec quelque chose étendu sur moi, les jambes et les Bras débordant de tout les bord et sa tête sur mon épaules. Il est lourd mais je ne bouge pas.

On va faire un troue dans le mur. Sans contrat d'accord, sans l'avis de personne... sans rien. Bonjour les emmerdes!

enemy neighbor (L.S (BoyXBoy))Où les histoires vivent. Découvrez maintenant