Le lendemain nous sommes rentrés de notre expédition. Sarah nous attendait.
- Où étiez vous? JE ME SUIS INQUIÉTEZ!
Andrée s'approcha de Sarah pour la calmer mais celle ci recula.
-Écoutez , je ne sais pas ce que vous faisiez hier mais pendant que j'était à l'hôpital une infirmière est vennus me dire de rentrer chez moi, ...IL N'Y AVAIT PERSONNE!
- Nous somme désolé Sarah.
Fîmes en coeur.
-Ce n'est pas tout!
S'exprima Sarah en tennant une tasse de café dans sa main droite et un papier dans sa main gauche.-Marie , nous devons aller en Allemagne!
-Pardon? Dois-je te rappeler le traumatisme qu'ont à eu pendant notre enfance à cause de ce pays?
- Nous n'avons pas le choix..
Andrée me pris par le bras et rétorqua :
- Est ce que je peux savoir ce qu'il se passe ainsi que pourquoi vous devez aller en Allemagne?
Marie posa sa tasse de café et ouvrit le papier.
-Mademoiselle Dupureur et Mademoiselle Lanvin vous êtes acceptée à l'Institut Drüshtein en Allemagne pour suivre une instruction digne des plus grands cygne.
Pour vous inscrire présentez vous le 9 novembre devant le bâtiment officiel Drüshtein.Un long silence se fît dans l'appartement. Andrée regarda le calendrier et vis les semaines qu'il restait avant le jour prescrit.
-Vous y allez les filles?
Je lui pris le bras et j'essayais d'être la plus sincère possible dans mon regard.
-Viens avec nous Andrée...
-Je te promet d'y réfléchir!Quelques jours plus tard nous sommes sur le quaie de la gare. Ma valise en main je pris trois tiquets. Sarah arriva, elle s'était levée en retard, la première phrase qu'elle eu dite affolée était :
-Ou est Andrée ?
-je pensais qu'il était avec toi...
-Non...
Un désespoir s'empara de mon être. Je commençait à stresser.
Notre train arriva.
Une famille anglaise qui était devant nous s'exprimait fort.
- COME COME AT THE TRAIN!
Leurs mamans leurs fît un bisou puis ils entrèrent dans le train ensembles. Leurs maman restait sur le quaie les larmes aux yeux. Elle leurs faisait coucou et ils leur répondait par un signe doux et affectif.
C'était à notre tour de rentrer dans le train, le contrôleur nous demanda les ticket je les lui donnit paniqué de ne pas voire Andrée parmis nous.
Nous entrâmes dans le train.
Sarah me prit la main et la serra contre la sienne.
-Il y a encore un espoir. Fis je en la regardant presqu'en pleure.
-Le train n'a pas encore démarré il y a de l'espoir.Je fermis les yeux. Sarah regardait par la fenêtre. Une masse sombre qu'elle connaissait apparaissait.
Elle chuchota :
-Andrée...Le train commençait à partir.
Elle s'exprimait de plus en plus fort.
-Andrée...
j'entendais ce qu'elle disait mais je croyais qu'elle délirait.
Puis elle avait criée:
-ANDRÉE DÉPÊCHE TOI ! COURE! VAS'Y!
Et j'ouvrit les yeux.
Andrée était posté devant la fenêtre du train. Il ne savait pas par ou rentrer.
Je me suis précipité à ouvrir la fenêtre.
Le train avançait de plus en plus vite.
Sarah et moi tenions Andrée qui s'efforçait à grimpez.
-ALLEZ ONT Y EST PRESQUE !
fit-il.Un tunnel apparaissait.
-Dépêche toi ! Dis-je à Andrée.Andrée avait réussit à monter juste au moment ou l'ont passait dans le tunnel.
-plus jamais ça ! Chuchota Sarah.Les heures qui suivirent étaient longues mais nous avions trouvés de quoi nous nous occupez. Sarah s'amusait à faire des grimaces aux bambins, pour les faites rires, André dessinait et moi je révisais quelques pas de danse par stresse.
-Ne stresses pas ça ne sers à rien de stresser !
-Imagines qu'on soit prises, on aurait alors tout deux un avenirs dans la danse.
-Je ne penses pas que Sarah soit une grande danseuse! Chuchota André.
-Eh! Si je danses plutôt bien! S'indigna Sarah.
Nous rions à chaudes larmes de nos aventures rocambolesques en espérant qu'il ne se passera pas grand chose de mal .
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Marie de France II
Historical FictionSuite de "Marie de France" le tome 1. Cette fois ci l'histoire se passe pendant la guerre froide. Marie reçoit alors des lettres de sa mère provenant d'Allemagne, qui dans celles-ci lui demande de l'aide. Marie, aidée de ses amis, vont tout organise...