début de la guerre froide.

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Analogue
Après avoir fait un premier recceuil sur mon enfance pendant la seconde guerre, j'eu fait un autre recceuil plus argumenté sur mon adolescence se passant en pleine guerre froide.

Pour la mise dans le contexte historique:
J'eu 14 ans lors du commencement de cette guerre faite d'une tension idéologique qui opposait les États-Unis vs l 'union des républiques socialistes soviétiques. ( l'URSS---->qui se trouve être la Russie actuelle.)
Histoire :
C'est d'ailleurs sous la plume du célèbre écrivain anglais George Orwel que l'expression "cold war" apparait pour la première fois dans l'histoire.

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Je me tiens sur un des sièges rouge écarlate de cet hôpital dans lequel nous avions déposés Adèle. Adèle, se portait bien, elle restait la plupart du temps dans sa chambre mais elle sortait, tout de même, de temps en temps pour pouvoir voir du monde.
Nous Savions tout les trois, lorsqu'elle se levait, ou elle allait, se tenait. Car celle ci laissait des traces de sang sur le sol carrelé derrière elle.
Nous sommes restés jusqu'à minuit.
- tu crois qu'elle va bien? Se réveilla André assis lui aussi près de la chambre d'Anna.
- reste ici Andrée, il est tard.
- Oui tu as sûrement raison.
André sortit une couverture et la posa sur nous pour que je puisse m'endormir au creux de ses bras.
- tu sais... , imagine quelle ne s'en sorte pas...
- dit pas de bêtise Marie, tu as connue pire que ça.
Sarah était restée à la maison. Elle devait faire quelques chose. Je n'ais jamais sus quoi.

La nuit suivante,nous sommes rentrés à la maison, Sarah avait pris la relève.
Une image intense s'était accentuée, celle de Sarah qui criait et courait vers Adèle.
André, qui conduisait, avait voulus détendre l'atmosphère.
- il faut s'attendre à tous avec son état.
(Andrée sait détendre l'atmosphère dis donc) Elle a vécus des choses qu'on ne peut pas comprendre. Si elle s'en sort c'est que dieu la soutient et que c'est son plus bel ange.

André qui avait sûrement vu une larme couler sur ma joue, avait fait un grand virage.
- Ou vas tu Andrée ? Ais- je crié.
-Tu vas voir.
Nous nous éloignons petit à petit de notre maison. Nous avions passé presque une heure à zigzaguer entre les ruelles de Paris quand tout à coup une promenade florale fît son aparition.
- Nous sommes arrivés Mademoiselle.
Dit-il en ouvrant ma portière
Je fus émerveillée par tant de beautée.
Il pris ma main et nous sommes tout deux partit à la rencontre de l'inconnus.
Les saules et leurs longues feuilles tombantes s'appuyaient sur nos visages, Des fleurs aux milles couleurs et aux milles senteurs firent surface grâce à quelques branches de houx qui s'entrecroisait.
Le plus jolie paysage naturel placé en pleine ville urbaine.

André et moi sommes collés l'un à l'autre.
-Tu sais que si il vérifie mon âge, je peux être accuser d'attouchement mineur. Dit-il ironiquement.
- Nous ne sommes pas encore réellement ensembles.
J'eu rétorqué un peu trop vite.
Il détacha mon bras du siens et il s'était mis à chercher dans ses poches quelques chose.
-Qu'est ce que tu cherche?
-Rien rien Marie.
Quelques minutes plus tard, lorsque la lune était à son pleins, il sortit une petite bague argentée, un solitaire rouge plus précisément.
-Marie-Joanne Dupereur, voulez vous être ma petite amie?
Je n'en crus pas une seconde.
-Mais...mais...pour de vrai?
-Évidement.
Je lui ais tendus ma main, il s'est empressé d'introduire la bague sur mon annulaire.
Et nous nous sommes embrassés sous un beau saule blanc, lors d'une nuit fraichement hivernale.
Enfin un beau cadeau du ciel.
Cela faisait longtemps qu'il ne m'étais pas arrivé une telle chose.

Marie de France IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant