RETOUR D'UN CONNARD

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Enfin arriver devant la porte de sortie de cette maison qui m'étouffe et me semble trop grande tout mais quand j'ouvre la porte qui je voie, qui est  la devant cette porte, oh mon Dieu que je regrette de ne pas être restée dans la maison avec les policiers et mon frère...

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Mon père que je n'avais pas vue sa fait maintenant 4ans....

Il s'approche de moi et me prend dans ces bras. Oh , qu'il m'avait manqué, mon coeur se resserre et je sens mes joues devenir humide. Bon voilà, je recommence à pleurer dans ces bras, croire que ces derniers temps je ne fais que ça! Pleurer encore et encore, ma tête me fait mal, mes yeux sont tellement gonflés que je vois trouble.

Mon père me serre de plus en plus mais bizarrement il ne pleure pas. Il a les yeux aussi sec que le désert du Sahara. Là, je commençais à me poser des questions quand soudain je m'écarte de lui et le pousse.

Moi: Pourquoi tu es là?? Tu as quoi? maman viens de mourir et on dirais que tu t'en fou!??

Baba: Calme toi Maria, pourquoi tu me dis ça, ta mère étais ma moitié'!! Je te permets pas de me parler sur ce ton!! Que je sache, je suis encore ton père.

Moi: je suis désolé pour toi mais tu étais mon père, mais tu ne l'es plus! Comment ta pus partir pendant 4ans sans donner aucune nouvelle, rien, pas un message pas un appelle non rien 000000MERDE, ALORS TRÈS CHÈRE MONSIEUR VEILLEZ JE VOUS PRIS, DÉGAGER DE CHEZ MOI!

Je navais même pas remarqué que les policiers et mon frère étaient aussi devant la porte aussi. Kalif était encore sous le choque.

Il était là, tout blanc, regardant ce chère monsieur qui prétend être notre père. Baba était partie quand Kalif avait 15ans, il avait  vraiment été très affecté par son dépars. Ce départ avait eu de très graves conséquences sur la famille.

Je fus sortis de mes pensés par les cries des policiers. Kalif c'était déjà jeté sur baba, il se battait. Il lui donnait des coud-de points, puis des coud-de pieds. J'avais oublié à quel point il était fort! Alors, j'interviens, avec l'aide des policiers, je tire mon frère vers moi et j'attrape la main de mon très chère père et le tire vers sa voiture.

Moi: PUTAINX DE MERDE, DEGAGE BORDEL DÉGAGE, TU RAMÈNE TON CUL APRÈS 4ans ET LA PREMIÈRE DES CHOSES QUE TU FAIS CEST TE BATTRE AVEC TON FILS?!!! DÉGAGE, VA T'EN, MAIS PUTAINX VA T'EN, JE NE VEUX PAS TE VOIR, ON NE VEUT PLUS TE VOIR!

( j'avais la rage en moi, je hurlais je pleurais en même temps, mais PUTAINX de merde que veut-il!??)

Baba: CEST LUI QUI A COMEMNCÉ, ET JE NE VAIS PAS PARTIR PARCE QUE ICI CEST CHEZ MOI, CEST MA MAISON, CEST MA FEMME qui EST décédé ET VOUS ÊTES MES ENFANTS! DONC NON JE NE PARTIRAIS PAS, UN POINT ET FIN DE LA DISCUTIONS.

Après une longue discutions avec mon mon père

j'avais l'impression que mon coeur allait exploser, je n'es pus m'empêcher de laisser coulées quel que larmes. Je me demandais si je devais ou pas mais tempis. J'ai pensé à ma mère....je ne sais pas ce que je fais mais c'est mon père et Dieu seul sait à quel point je l'aime. J'ai perdus ma mère hier, je ne peux pas me permettre de perdre ce qui me reste aujourd'hui.

Baba: D'accord je suis désolé, je vais y aller encore désolé...
Moi: baba attend, je vais rentrer parler à Kalif je reviens, il faut qu'il se calme un peux
Baba: d'accord merci habiba.

Je rentre à la maison pour parlé avec mon frère...
Moi: Je sais que tu ne veux pas le voir mais juste donne lui une chance et  oublie pas ce que maman a dit       ~~si votre père reviens un jour ne le rejeter pas, car il est et reste pour sang, votre chère              et surtout votre père~~

Je redescend et sors dehors. Je savais que Kalif nous regardaient par la fenêtre, quand baba ma vue jai tout de suite vue qu'ilavait pleurer pendant mon absence.
Moi: aller viens on va prendre tes valises.

( il m'a prit dans ces bras, tout émue, je ne savais pas vraiment comment réagir mais je le laisse faire, en comprenant que ce câlin n'était pas pour moi mais pour lui).

Baba: Merci pour tout habiba, merci ma cherie.
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Merci pour la lecture, et encore désolé pour les fautes!
😊😊😂❤️❤️❤️😊😊

Mon mariage forcé""Je ne vis plus, je survis!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant