Introduction

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      Oubliez le monde tel que vous le connaissez. Celui-ci a changé ! L'humanité est devenue cupide. Voulant toujours plus, des scientifiques ont créé une nouvelle toxine. Une fois à l'intérieur du corps humain celle-ci modifierait les cellules et pourrait ainsi donner une santé de fer. Les tests étant concluant le gouvernement décidait, alors, de répandre ce produit miracle par les airs. De se faite tous les êtres humains en bénéficieraient et aucune guerre pour obtenir cette denrée serait lancé. Le monde entier n'aurait pu qu'être meilleur ! Pourtant ce ne fut pas le cas. Certaines personnes se révélèrent allergique au produit. Ils développèrent alors, une maladie appelé -après plusieurs cas recensés- la Stultitia hominis. Au premier jour, les symptômes ressemblaient trais pour trais à ceux de la grippe. Le deuxième jour était le pire. Alité avec énormément de fièvre, les malades étaient pales vomissant sang et parfois même des muqueuses. Quelques un perdaient un de leurs sens, d'autre se retrouvaient paralysé. Le troisième jour était décisif, beaucoup d'entre eux mourrait, le corps ne pouvant supporter plus de souffrance. Ceux qui réussissaient à survivre changeaient du tout au tout. L'ADN ayant subi une mutation, les personnes atteints se voyaient obtenir des dons.

      Le gouvernement, voulant réparer leur erreur, décida d'enfermer ces infirmes dans des maisons hautes sécurité. Une sorte de prison-hôpital, visant à réparer leur code génétique. Afin qu'aucun problème ne soit rencontré, chaque personne atteint serait affecté à une « Maison ». Ils en existaient deux sur chaque site. La première s'appelait la Maison Mineur. Tous les patients possédants des petits dons tel que : contrôler les éléments ou même lorsque son physique avait changé. L'autre établissement était la Maison Majeur, on y enfermait les malades qui étaient dotés de pouvoir dangereux à l'instar de la projection astrale. Grâce à cela le reste de la population pouvait vivre en paix loin de cette maladie, mais c'était sans se douter de ce qu'il se passait réellement dans ces institues.

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