Chapitre 2

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Le lendemain, on sortit ensemble de ma chambre. Toutes se ressemblaient, elles avaient un lit deux places, un bureau, une grande armoire et un tapis, c'est tout. Sol en bois, porte en bois, mur en béton. La base quoi. Nos affaires sont transporter ici je ne sais comment, mais j'ai pus me changer. Chemise blanche a petites manches avec cravate noir longue, short et bas résilles et vielles converses grises et poignets remplis de bracelets. Les toilettes sont collectives, séparer filles et garçons bien sûr. D'ailleurs, avec Any, on se dirigeai vers elles. Au bout de dix minutes de cherches acharnée on y arrive. Après la toilette quotidienne on sort.

- Droite ou gauche? Any?

Elle me regarda, gênée. J'aurais pus la frapper.

- Any, tu m'as dis que tu connaissais les lieux!

- Je sais! Mais je t'ai menti, elle hésita à continuer. On est quatre filles et les deux autres connes  me déteste, je, je voulais avoir une amie. Elle baissa la tête honteuse.  Je lui fit un câlin.

- Voyons Any! Je te trouve géniale. Pourquoi elles te détestent?

- Parce que : (elle pris une voix de pute) Tu n'as pas assez de style pour trainée avec nous.

Je ria, elle avait un style basic peut-être, mais un style. J'avais vu les autres, short mini, pull aussi court qu'un maillot de bain bandeau et talons. On est dans camps d'entrainement non? Je voudrais tellement les pousser dans la boue. J'avoue que le mien n'était peut-être pas le plus approprier, mais plus qu'elle. Au bout de vingt minutes, on sortit. Dix minutes de retard seulement, notre nouveau record. Quand Karl nous vit arriver en riant heureuse d'être sortis "vivantes" de la maison, il soupira. Nous faisions le matin du corps à corps. Interdiction d'utiliser nos pouvoir, l'entrainement était l'après-midi. Quand un frappait trois fois par terre il abandonnait, l'adversaire devait le lâcher et reculer. Après, du tirs à l'arc et au pistolet et enfin de l'épée. Karl disait que nous ne devions pas utiliser que des armes à feu et rester dans les traditions des combats.

Pour le corps à corps, au bout de dix minutes nous changerions d'adversaires. Avec Any nous nous battions en riant jusqu'à que Karl viennent nous surveiller, impossible de rire à ce moment là. J'ai gagné. j'ai battu aussi Joanna, une des deux putes comme disait Any. Je l'ai fait tomber par terre et elle ne se relevait déjà presque plus. Puis ça fut au tour de Sara, la chef des putes je penses. Elle était déjà meilleure combattante, bien meilleure. On s'est frappé mutuellement pendant au moins cinq minutes. Après m'avoir frapper une énième fois dans le côtes je m'effondra au sol, mais elle ne voulais pas me laisser me reposer, non. Elle vint derrière moi alors que je me relevait lentement. Je voulu la frapper avec le coude mais la salope me pris le bras et le tira en arrière. Je criais, m'écroula encore une fois par terre. Avec l'autre bras je frappait par terre, je voulais qu'elle arrête. Alors Jamie arrivait en criant sur Sara et que tous autour de nous avait arrêter de se battre pour nous observer elle tira un grand coup dur mon bras avant de me lâcher et de reculer mais se fut le coup de trop. Moi qui me suis déjà déboiter l'épaule deux fois, elle sortit une nouvelle fois. La douleur était pire que les premières fois, c'est-à-dire horrible. Je cria, mon épaule ne voulais pas se remettre en place, je souffrais. Je cria une nouvelle fois, j'ouvrit les yeux et remarqua une grande ombre sur moi, pourtant il faisait grand  beau. Quand j'ai remarquer que c'était moi qui avait fait apparaitre un énorme Scorpion au dessus de moi pour me protéger il était déjà trop tard. J'ai vu le Scorpion foncer sur Sara pour la couper en deux. Je savais pas comment l'arrêter. Elle m'avait fait du mal mais je ne voulais pas la punir comme ça, non. Même si c'étais moi qui avait invoquer cette créature je ne savait pas comment la contrôler, et je m'en fichais, je souffrais trop pour l'arrêter. C'est comme si elle entendait ma douleur. Elle était furieuse, furieuse qu'on aie fait du mal à sa créatrice.

- Hayden, Non!

C'était la voix de Matthew, j'ai relevé la tête et le Scorpion a disparu en fumer à un mètre de Sara, juste avant qu'il lui plante son dar dans l'abdomen. Sa voix m'a fait revenir à la raison. Toujours en tenant mon épaule démise je m'écroula de tout mon long sur le sol, fatigué et fragile. Mes yeux se sont fermés et je disparu dans l'oubli.

Quand je rouvris les yeux j'étais dans une salle que je pense était l'infirmerie. Avec des armoires blanches et des bandages un peu partout. Et aussi... du sang? Pourquoi du sang? Je me suis juste déboité l'épaule. Qu'est ce qu'ils m'on fait? Je commençais à paniquer. Une main se posa sur mon ventre, c'était Jamie.

- Ne t'inquiète pas, tu es en sécurité ici.

- Qu'est ce qui c'est passer? Qu'est ce que vous m'avez fait?

J'étais complètement paniqué.

- On va t'expliquer, ne t'inquiète pas.

Cette phrase m'énerva encore plus. Je voulu me relever mais Jamie m'en empêcha. Je le regarda méchamment, il enleva sa main rapidement. Quand je fus assise au bord du lit mon épaule me faisait un mal de chien, je grimaça. Jamie le regarda et partit. Il revenait avec une femme. La plus vielle de cette endroit je pense. Elle devait avoir au moins soixante-cinq ans. Quand elle approcha sa main de ma tête j'eu un reflexe défensif en lui frappant la main pour ne pas qu'elle m'approche. Elle avait l'air soulagée que je réagisse comme ça. Jamie la présenta, elle s'appelait Ivana. La doctoresse de ces lieux. Après avoir parler et avoir poser au moins cents fois la même questions Ivana me dit ça:

- Tu as juste besoin de savoir que tu vas très bien et que tu auras une cicatrice pour le reste de tes jours. Sur ce, je retourne travailler.

Elle tourna les talons et parti dans une autre pièce. J'étais stupéfaite, comment ne pouvait-elle pas me dire se qu'elle m'a fait. J'ai quand même une cicatrice à cause d'elle. Jamie m'apporta un miroir, la cicatrice faisait tout le tour du haut de mon épaule, vers le cou. C'était pas très joli à voir. Je supplia du regard Jamie pour qu'il m'avoue se qui me vaut cette trace sur le corps. Il me regarda en me demandant de l'excuser c'est mieux pour moi que je ne le sache pas et que je n'est pas besoin de m'inquiéter mon épaule ne se déboitera plus jamais et que dès maintenant je peux faire n'importe quoi avec. Puis il parti, me laissant seule dans la pièce.

ZodiaquesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant