Chapitre 6

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Dans quatre jours le bus allait passer nous chercher à nouveau et c'est comme si on venait nous chercher pour aller à l'abatoire. C'était aussi le moment idéal pour nous rassemblé vu que nous n'habitions pas aux mêmes endroits, et peut-être nous revolter, même surement, il faudra juste attendre le bon moment. Je n'arriverais même pas pas à les dissuader. Même Lola avait pris les katanas qu'on rangeais dans mon grenier, oui, on regardait trop de films. Deux chacune plus un kanif dans la chaussure ou croché à la cuisse. On était des gueurrières maintenant. Au fond je ne voulais pas me battre, je voulais simplement vivre... enfin... je crois.

On parla par skype et je comptais que nous étions seulement huit. En plus j'étais tellement sûr que nous allions mourir que j'avais toujours peur d'écouter les discussions des plans d'attaques. Deux jours, ce bus me faisait faire des cauchemars. Tous le monde était prês, on s'entrainait dans le jardin et les nuits dans les parcs. Matthew c'était vraiment amélioré et je n'avais plus perdue le contrôle depuis longtemps. Un jour, même Lola, Miley et Abby commençait a tresser. La nuit tomba et on se coucha tous dans le salon, même si personne parlait, cela ne voulait pas dire qu'on dormait, au contraire, personne n'arrivait à trouver le sommeil.

Un klaxon retentit plusieurs fois avant qu'on soit tous reveillés. Une course à la montre commença, se changer, prendre nos affaires. Record du monde, on a fait trente-six minutes, même si on avait pas déjeuner. On sorta et nous dirigeâmes vers le bus. Après s'être assis le bus démarra. Quand tous les zodiaques furent à l'intérieur, Karl et Jamie montèrent à leur tour. Ils ne parlèrent pas et quand le bus s'arreta de nouveau les vollets s'ouvrirent et nous découvrimes pour la première fois le paysage à travers les vitres. Une grande maison grise aux volets bleus, Jamie se leva et dit.

- Tous ceux qui vont faire l'opération descendent ici, bonne chance.

La plupart sont descendus. Dans le regard de Jamie, quand il disait aurevoir au personnes qui partaient, se lisait de la peine et des regrets. Le bus redemarra en silence et les vollets se refermèrent. Mon rythme cardiaque accèlerait, je respirait rapidement, ma vue se troublait. Miley, qui était juste à côté me donna un coup dans les cotes, se qui me fit reprendre mes esprits. Elle me sourit, mais la peur ne se dissipa pas. Les minutes semblaient des heures, Quand le bus se stoppa tout les Zodiaques et les trois autres avaient la peur au ventre. Les vollets s'ouvrirent, des soupirs de stupéfactions se firent entendre. Un batiment blanc, un peu vieux et usé se tenait devant nous, des arbres l'entourait et une grande cour détruite par les racines avaient fisurer le béton. Bien que le batiment ressemblait à un quelque quonque autre batiment normal des details nous faisaient comprendre le contraire. Des barreaux aux fenetres, des fils barbeler entourait l'endroit, comme une prison. Au fond de la cour, je croyais distinguer dans l'obscurité des chaines suspendus au mur, qui était lui même fisurer autour des crochets qui tenaient les chaines. J'imaginais des gens se debattre pour se liberer. Je n'osais même pas imaginer l'interieur. Les trois filles étaient terrorisées et personnes ne parlait. La porte s'ouvrit et nous descendimes du bus, qui disparu au loin peu après.

Les portes de fils barbeler s'ouvrirent elles aussi dans un grincement qui faisait froid dans le dos. On marcha lentement jusqu'a la porte d'entrée. Un homme nous ouvrit. Je sentais que sa allait pas me plaire. Tout les regards se posèrent sur l'homme qui nous ouvrit, de la trentaine environ au yeux verts et aux cheveux noirs. Il ne parla pas et nous invita à rentrer, j'avoue qu'il ne donnait pas envie de sourire, et le sien était sadique, comme si il savait exactement par comment nous allions vivre ici, par quelle souffrance nous allions passer pour survire. Les murs n'étaient pas propre et de la moisissure poussaient dans les requois  humides. Il nous montra le dortoirs des filles  et celui des garçons, puis il regarda bizarrement Lola, Miley et Abby, remarquant qu'elles n'étaient pas comme les autres. Je suis sur qu'il se demandait qu'est se qu'il pourrait bien faire d'elles.

Dans le dortoir, les lits étaient étonnament propre et ils étaient fait. Ils étaient à étages mais les planches qui soutenaient un lit au dessus de l'autre n'avaient pas l'air en très bonnes état. Moi qui voulait dormir en haut... Seulement deux fenêtres nous permettaient de respirer, même si l'air de dehors était tout sauf pure. Le paysage aussi était tout sauf rassurant. Les barreaux aux fenêtres et la vue sur la forêt nous laissait un espoir de partir, mais vite éteint par les barbeller qui entourait l'endroit. Les armoires étaient déjà remplie d'habits, tous pareils. Les étagères avaient un nom, le mien et celui des autres. Donc chacunes avaient ses habits. Ca veut dire que nos barages ne servaient à rien. Une voix se répandit dans toutes les piècespour nous avertir de changer de vêtements en prenant ceux des armoires et de rendre dans le hall centrale. On obéit, en faite c'était un uniforme scolaire gris et rouge. Jupe plissée rouge bordeau, plutot rouge sang en faite, cravate et les manches de la chemise blanche de la même couleur. La veste était simplement grise claire et les collants, ou chaussettes, selon la saison étaient grise foncé. Comme chaussure, l'important était qu'elles soient noirs. Alors j'ai mis mes Doc Martens.  Je cacha quand même un kanif dans ma chaussure droite, en espérant  que sa soi discret. Nous descendâmes et remarquâmes que les garçons étaient dans le même état que nous, inquiets et habilées comme dans les vieilles écoles englaises.  Jamais me retrouvé la un jour, et je ne savais pas se qu'on attendait.

J'espère que sa va vous plaire!! des commentaires seraient sympas. Bisous :)

ZodiaquesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant