Chapitre 7

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Après plusieurs minutes d'attente où personnes n'osais dire un seul mot, un homme entra par une gigantesque porte en bois, avec des gravures d'une langue qui paraissait ancienne dessus. Son poids était tellement élevé que quatre hommes très musclés la poussèrent pendant que l'homme du milieu marchait, le regard droit et les mains dans le dos, très sérieux. Il nous invita à entrer dans la salle par laquelle il venait de sortir et nous assoeir sur les chaises placés dans toute la salle. Elles étaient confortable mais elles dataient surement su XIXeme siècle. Quand il se mit face à nous sur l'éstrade du fond de la salle il fut étonné et cria, très énervé.

- Les filles d'un côté et les garçons de l'autre!! Qui vous à permit de vous mélanger? Espèces de montres!

J'avais envie de me lever et d'aller lui foutre une droite mais les gardes tout autour de la salle commencèrent à nous déplacer de force. Je ne les avais même pas vus, tellement ils étaient discret. Quand nous fûmes séparer en deux groupe il commença son discourt de "bienvenue". 

- Je ne vais pas vous donnez des faux espoirs, c'est pas un hotel de luxe ici. On vous surveille mais vous vous demmerdez, on ne vous aidera pas. Chacun, à une heure diffrente, vous allez aller au sous-sous-sol, et tout se qui si passera est et devra rester un secret. Vous n'aurez le droit d'en parlez à personne, qui que se soit. Bien, maintenant disparaissez. 

Il partit et nous sommes partit à notre tour rejoindre nos dortoirs. La nuit, elles dormaient toutes après plusieurs heures d'insomnie, mais moi, non. J'avais l'impression que  des bêtes genre rats et cafards se promenaient dans le prafond et dans les murs. J'entendais leur petites pattes effleurer le sol et leurs dents grincés en mangeant la poussière et la moissirure qui trainaient dans l'isolation du batiment. Je me leva et me plaça devant la fenêtre. Malgré les barreaux, le ciel était noir et les étoiles brillantes. La forêt n'était pas accueillante, des bruits retentissaient  et je voyais des oiseaux s'enlover dans l'obscurité. Malgré le danger qu'elle représentait, je voulais y entrer, me perdre entre les arbres et finir par retrouvée mon chemin au bout de peut-être quelques jours, éssouflée. C'était de toute façon mieux qu'ici. Je voulais partir maintenant mais je ne voulais et ne pouvais pas les abandonner. Les garçons et les filles qui dormaient paisiblements. En plus, c'est moi qui les avait amenés ici. Mais je ne pourrais pas les faire s'échapper tous d'un seul coup, il faudrait qu'on trouve un plan. Mais merde! On avait déjà un plan, et je n'ai pas eu le cran de le lancé. Je devrais trouver une carte, les clés et les armes, c'est nous. Je devrais aussi partir en repérage pour savoir par ou sortir. Nous pourrions le fairee de la manire forte, mais je ne sais pas, ça ne me tente pas.

Quand le matin se leva, je me fit reveillée par Abby qui se demandait pourquoi j'avais dormit par terre devant la fenêtre. Nous partîmes déjeuner, alors que le silence réniait un homme vint chercher Josh et l'enmena au sous-sol je suppose. Mon tour arrivais et j'avais peur, Et si on commence à entendre des cris de douleur et de tristesse? Je fais quoi?

Au fil des jours, les personnes partaient tout les matins, et je ne savais toujourd pas se qui m'attendais. Quand les gens revenaient du sous-sol, ils étaient blanchârds et ne parlaient pas, par contre, au bout de quelques heures, ils recommençaient à parler, avec peine et des mots presque imcomprésensible: je comprennais des bouts de phrases du genre : On va m..mourrir... Sortir...est...est...imp..possible. Puis ils fesaient comme si de rien n'était, essayant de cacher leurs souffrance. Et un matin, j'ai entendu mon nom.

ZodiaquesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant