Chapitre 3

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Je courais, courais sans m'arrêter, sans penser, en allant à grands pas vers ma maison. Les deux précédentes heures qui suivait de mon cour d'espagnol avaient était courte, je ne faisais que réfléchir sans m'arrêter. Me rappeler ces souvenirs qui étaient ma vie passé.
Avec quelques questions qui m'était posé par les curieux sur ma conversation avec M.Sturm.

-Tu t'es fait engueuler ?
- Tu vas avoir des problèmes ?

C'est pas possible comment certain ne peuvent pas rester dans leur coin à s'intéresser d'abord à leur vie au lieu de la mienne. J'aurais parfois tout simplement envie d'aller les renvoyer chez eux.

Malgré cela, je suis rentré chez moi, monter en haut pour faire mes devoirs. Soulagé de voir que le lendemain on est vendredi et qu'on sera donc en vacances !

-On mange en ville demain vu qu'on finit à douze heures ?

Cette pensée hanter mon esprit et me rappela que je devais me dégoter dix euros pour le lendemain...
J'avais déjà cinq euros que il me rester il y a pas longtemps, j'emprunterai à ma mère au pire.

Une fois l'argent demandait, les devoirs finis et le sac fait, il est déjà temps de manger. Il me tarda d'accoster le sujet et de voir leur réaction, même si j'en connais une qui va surement s'énerver pour rien.

-A table!

On se rejoignit tous à la table comme convenue et commencèrent le repas.
Je parler, parler, parler sans m'arrêter.
Mes parents étaient impressionnés de la façon dont j'étais impliqué dans cette affaire. Et sa avais même l'air de les gêner... Mais bon je ne m'arrêterais pas pour si peu !

Et comme attendu en fin de repas c'était le bordel, entre les casseroles, les cuillères, les fourchettes qui voler un peu partout.J'ai préféré m'immiscer dans un coin et partir dans ma chambre.Mes parents ont tendance à dire que je fais tout le temps sa ...
Sur le coup j'étais furieux contre eux, je leur en voulais de ne pas m'avoir plus pris au sérieux.

Si je pourrais j'avancerais le temps jusqu'à demain !
Et pourquoi ne pas essayer ? Je pris la montre et vit l'heure comme si elle avancer. Et la ... Il ne se passer rien. Ah ah vous croyez que-il ce passerais quelque chose ? Ben sur le coup moi aussi j'aurais voulu.
J'en ai marre de croire ça, je ne deviens vraiment pas bien dans ma tête.
Je posai donc ma montre et me mis tranquillement dans mon lit, m'endormis en quelques minutes maximum.

Le lendemain matin passa à vitesse grand v. Il n'y avait pas eu beaucoup de conversation entre ma mère et moi, à part.

-Ta montre a été déréglée.
- Ah bon ?
- Oui elle s'est avancé tout seul.

Que pouvait-elle me dire d'autre ? Sur le coup elle n'avait pas beaucoup d'imagination.

Concernant la matinée... Les cours étaient rapidement passés. On avait par la suite mangée un bon kebab jusqu'à quinze heures et surtout on fêter nos vacances. On revenait tranquillement chez moi.

Qu'allait-il se passer ce soir, on allait encore s'engueuler jusqu'à que j'en ai marre et m'éclipse dans ma chambre.
Au pire on va bien le savoir...

Vingt heures était arrivé et on allait s'apprêter à manger. Leur regards n'avait toujours pas changé, il me regardait toujours avec cette haine, cette jalouse, de la jalousie ? Oui mais je ne savais pas dans quelle raison...

-Ton trimestre, on a reçu ton bulletin.

Je comprends la jalousie ! J'ai dû avoir une très bonne moyenne c'est pour ça !

-Tu n'as même pas la moyenne générale...

Ah non enfaite je ne crois pas que c'est ça.
On aura au moins trouvé un débat, même si sur le coup sa me faisais de la peine à mon petit frère qui était la et ne comprenais rien.
Je répondais malgré ça aux mêmes questions, les mêmes réponses ainsi de suite jusqu'à que sa commencer à " Peter ".

-Et pourquoi tu n'avais pas le temps ces dernières semaines ? Me demanda ma mère
- J'étais occuper à chercher mes VRAIS parents.

Apparemment ça n'avait pas plus à ma mère, mon père lui s'en ficher, il avait perdu son père très tôt et ce n'étais pas vraiment un sujet dont il aime s'impliquer.
Mais ma mère elle... Elle était actuellement en train de devenir tout rouge, c'est ce qui lui arrive quand elle s'énerve. On dirait un démon, c'est flippant.

-Ah bon ben alors pourquoi tu ne vas pas les voir tes VRAIS parents.
-Si seulement je pouvais...

Je crois que j'ai dit un mot en trop, cette fois-là ce n'était pas comme hier. Elle ne faisait pas tout casser, elle prenait son couteau de vingt centimètres et me pointais, on aurait dit qu'elle voulait vraiment m'achever sur le coup.
J'avais vraiment envie de repartir dans ma chambre, mais au lieu de ça je rigolais, rigolais sans m'arrêter comme un gamin. Certain fuirai mais moi je rigolais...  Je n'avais que ça à faire apparemment. Mais au lieu de s'en prendre à moi elle voulut s'en prendre à mon petit frère.
La sa allais trop loin. Mais mon père se leva d'un coup et lui foutu une grosse gifle, sa la mise KO en une seul et simple gifle.
Il nous regarda du regard, un regard qui veut dire " monter sinon c'est à votre tour après " et bien nous suivîmes ces ordres.

Pour une soirée de début des vacances elle était plutôt mouvementée.
J'y pense actuellement, après ça, je me posai sur mon lit,encore habillée.
Je me rappelais la vue de ma mère à ce moment-là, ce n'était plus la haine ni la jalousie qui se voyait dans ses yeux, cette fois-là c'était la mort. Un frisson me transperça à ce moment-là.

J'aimerais tellement voir mes vraies parents, les serrés fort dans mes bras.
Pour je ne sais quelle raison je me mis à pleurer, pleuré sans m'arrêter.
Je criai fort.

-Venez pas m'embêter je dors.

Et sa allais être le cas bientôt, mais avant je repenser encore à mes parents, vrais parents, me disais que j'étais prêts à tous sacrifier pour les voir, une seul et unique fois...
J'y pensai de plus en plus fort, les voir, tous sacrifier, ces pensées était de plus en plus forte je n'arrivais plus à les arrêter.

Et d'un coup un vent étrange me traversa, c'était bizarre, une sensation de froideur mais c'était en même temps agréable. Je n'osais pas ouvrir les yeux par peur que ça s'arrête.
Au bout de deux minutes je décidais de quand même tenter, et la ...
Un paysage magnifique s'ouvrir devant mes yeux, j'avais l'impression devoir l'espace, la terre qui était devant mes yeux était formidable et tellement belle, beaucoup plus que dans leur reportage à la noix.

 Je refermais quand même les yeux pour sentir cette impression de bien-être que j'adorais.
Et après un bon quart d'heure, je ne sentis plus rien... Plus cette impression de fraîcheur, cette fois c'était plutôt de la chaleur forte que je sentais.
Qu'est-ce que c'était ? Mon chauffage qui crame ? Le soleil ? Je n'en sais rien, je me hâte donc à ouvrir les yeux.

Devant moi ce projetai un paysage spectaculaire. Des fleurs, des bâtiments d'une architecture blanche je dirais grec, et plein d'autre chose que je n'avais jamais vu.

Mais le plus étrange était cette fille en face de moi, elle devait avoir mon âge environ. Elle était même très belle, par rapport aux filles de ma classe, elle était d'une bonté divine.
Que me voulait-elle ? Elle avait l'air de vouloir s'adresse à moi...Pourquoi ?
Je m'avançai donc d'un pas et m'apprêtais à lui demander ce qu'elle me voulait.

-Bonjour maître Chromis, je suis heureuse d'être là pour votre première venue sur Imadium !

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