Chapitre 16

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Je me dirigeais vers la salle demandé quand soudainement un homme m'a interpelé, il m'a dit qu'il serait mon adversaire. Par une raison quelconque je me sentis par la suite envieux d'avoir un adversaire comme ça, il m'a paru plutôt fort, jusqu'à qu'il me menace... Qu'il me dise que si je ne le laisserais pas gagné il s'attaquerait à ma famille, je n'ai pas vraiment eu peur je dois l'avouer car mes parents le réduiront en miette en un claquement de doigts. Ce qui m'a le plus interpelé c'est de savoir qu'une personne que je suis censée affronter veuille me menacer de le laisser gagner; sauf que avec moi ce n'est pas de chance. Tête de Mule comme je suis, le seul impact qu'il m'a donné c'est d'encore plus avoir envie de le battre. De m'entraîner au plus fort pour lui mettre une raclée qu'il n'oubliera jamais.
J'ai toujours rêvé de devenir un dieu au plus profond de moi, j'ai toujours eu comme exemple Poséidon ou Zeus, Hadès ou Ares. Tous ceux-ci que j'ai appris qu'ils ont disparu... J'ai toujours cru que je pourrais en rencontre un au plus profond de moi... Au bout du compte je suis moi aussi un dieu... Mais pas de ceux primordiaux, celui d'une branche parallèle qui n'a que des pouvoirs sympa mais pas plus. Certains diront que j'ai de la chance et qu'ils aimeraient prendre ma place, mais si vous seriez à ma place, comme la plupart des adolescents voir adulte vous voudrez toujours faire plus haut. Ce qui est mon cas, je voudrais être un fils de ces dieux et mettre ce mec sur le tapis en quelques secondes. Je ne renoncerais pas pour autant, je me battrais du meilleur que je puisse et vaincrai ce fichu gamin. Il ne sera qu'un obstacle sur mon parcours pour devenir Chef Des Dieux ! Et j'espère ne pas rester dans l'ombre comme tous mes prédécesseurs, je raconterais mon histoire et ferais connaître l'histoire des Fils Caché de Cronos.
Je me suis dirigé après ce petit débat personnel vers la salle avant que mon rival me serre le poignet.
Il me regarde d'un air féroce, je ne l'avais pas remarqué avant mais ces yeux sont bizarre, ils représentent des flammes.

- Ne parle pas de mon père comme ça, son honneur est en jeu en ce combat et on verra si les dieux secondaires sont plus puissant que les primordiaux.

Je n'avais pas compris à ce moment-là ce qui allait m'attendre par la suite. Un combat bien plus féroce que je ne m'imaginais. Une victoire qui n'était pas résolu d'avance face à un adversaire si puissant. Je n'avais que ressenti une étrange impression, une étrange envie, l'envie de tuer. J'avais le sang dans la bouche, je me sentais capable de tout ravager, de tout faire. Une étrange impression de puissance d'ajouter à cette envie de tuer. J'avais l'impression de me sentir en meurtrier... C'était très étrange est c'était dû à mon futur adversaire. Il n'avait que fallu qu'il me lâche et passer cinq minutes pour que je me ressente normalement. Un étrange pouvoir... De puissance et de colère. Cet adversaire était bien plus puissant qu'il ne voulait le faire croire... Voir bien plus puissant que tous les autres réunis. Après l'impression de puissance, c'était la frustration qui m'avait envahie. Une simple rencontre, durant dix minutes et m'a tête avait failli exploser par la peur et la frustration. Mon fin de chemin c'est fini sans problème avec ma tête qui était ailleurs en train de penser à cette phrase " Si les dieux secondaire sont plus puissant que les primordiaux" ? Que voulait-il dire par là ?

Actuellement je me situe dans la salle d'entraînement, je suis seul à m'entraîner. Tous les autres personnes sont soit en train d'attendre, sois entrain de combattre sois partis tout simplement. Je n'ai pas eu l'intention de m'entraîner tout à l'heure mais là je regrette. J'ai voulu faire confiance à mon entraînement personnel et j'en subis les conséquences maintenant. Je suis frustré par mon adversaire, frustré par sa puissance, frustré par ma faiblesse à côté de lui. Je fais tout mon possible pour m'améliorer, une minutes j'avance pour m'échauffer, deux minutes mes capacité augmente, trois minutes je débloque de nouvelle capacité. Je tiens le bon bout pour l'instant... Jusqu'à que quelqu'un ouvre ma porte et que je glisse. Je n'ai pas eu le temps de contrôler mon mouvement que je lance mon coup vers lui. Ce qui n'a pas eu l'air d'apprécier car il a volé à au moins cinq mètres. Il n'avait pas l'air fâchée mais plutôt frustrée, il trembler et transpirer. Je me suis approché de lui vainement car il trembler de peur à l'idée que je sois près de lui. J'ai beau eu tenté de m'excuser il n'a pas voulu que je m'approche de lui. J'ai donc fait ce qu'aurait fait une personne normale, je l'ai ignoré et commencé à m'approcher de l'entrée du stade.

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