Chapitre 25

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Quelques jours se sont écoulées depuis mon arrivé à Paris. Hier j'ai dormi toute la journée à cause de notre sortie au Louvre avec Gabriel et Léo. Je prends mon petit déjeuner avec Gabriel dans l'hôtel, autant vous dire qu'un buffet à volonté moi je suis sous le charme. Je suis actuellement au fameux buffet qui me fait de l'œil depuis que je suis arrivée. Gabriel est déjà installé comme d'habitude, je suis toujours la dernière. Lorsque j'ai fini de charger mon assiette (j'ai tout empilé exactement comme une pyramide). Je dirai Khéops à vue d'œil.

Je retourne vers notre table, mais ayant oublié mes lunettes et mes lentilles j'ai un peu de mal à voir de loin. Ce n'est pas catastrophique mais je dois un peu plisser les yeux. Ce n'est qu'en me rapprochant, que je vu que Gabriel n'était plus seul. Mais que Léo nous a gentiment rejoins. C'est exaspéré que je lève les yeux au ciel et prend place tout en prenant soin de ne pas le regarder. Déjà qu'il n'arrêtait pas d'étaler sa Culture quand nous étions au Louvre, comme si j'étais ignorante. Bien il m'a battu, j'accepte plus ou moins la défaite. Non je n'accepte pas, il m'a humilié devant tout le monde en se moquant de moi pendant toute la visite guidée. Tout ça car j'ai confondu une date, d'accord j'avais malencontreusement oublié la période à laquelle Léonard de VINCI a vécu. Excusez-moi l'erreur est humaine !

-Bonjours Elenna, comment vas-tu aujourd'hui ?

Il essaya de saisir ma main, que j'occupa immédiatement en prenant mon couteau pour ouvrir mon petit pain. Je le regarde dans le blanc des yeux, j'esquisse un sourire de victoire. Il croyait vraiment que ça allait être si facile ?

Il ne me connait pas.

-Elenna, commença Gabriel. J'ai une mauvaise nouvelle, je dois m'absenter trois jours à cause de mon projet, je te laisse entre les mains de Léo.

Une vision d'horreur m'apparu, Oh non jamais avec lui.

-Non, Gabriel tu vas pas me laisser avec ça, pointai-je Léo.

-Je suis là et j'entends ce que vous dites, il fit un léger signe de la main pour témoigner de sa présence.

Oh non je ne veux pas l'avoir sur mon dos pendant ces trois jours. Je préfère encore rester vautrer dans mon lit et chercher un appartement.

-Elenna, ne fait pas l'enfant Léo est un bon petit gars. Je ne veux juste pas qu'il t'arrive malheur.

-Mais..., Léo me coupa.

-Ecoute donc Gabriel, ne fait pas l'enfant. Oh mais c'est vrai tu n'as que 17 ans. On pourrait encore te considérer comme une enfant.

-Gabriel tu vois ! Il est ingrat et narcissique.

-MOI narcissique, c'est la meilleure !

-Tu n'arrête pas de regarde ta coupe quand tu le peux.

-...Non.. c'est faux, il détourna le regard gêner.

Et tac bien dit.

-Elenna fait un effort et toi Gabriel si Elenna viens me dire que tu lui as fait quelque chose. Tu auras à faire à moi, c'est compris. Bon je dois y aller.

-Quoi déjà ! Non Gabriel.

Il se leva et m'embrassa sur le front en me chuchotant, « tu verras tout se passera bien, je reviens vite » Et sur ce il partit.

En attendant, ce n'est pas lui qui doit se coltiner Léo pendant trois jours. Je soupire longuement.

-A nous deux très chère, j'ai déjà tout prévue pour aujourd'hui.

-Je vais rester dans ma chambre, si c'est de nouveau pour te moquer de moi toute la journée c'est bon, dis-je vexée.

-Ne me dit pas que tu l'as mal pris, c'était juste marrant comme tu étais bornée jusqu'à ce que tu découvres que j'ai raison. Ton visage c'était littéralement décomposée c'était merveilleux.

It Was Always You - TERMINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant