It Was Always You - TERMINE

Chapitre 6

Ma merveilleuse et si attentionné mère était devant moi, les yeux rouges plein de colères. Bon tu me le payeras Adam. En parlant de lui, le traître en personne apparait, derrière le démon incarné. Et aussi pour ma défense elle devrait être partie depuis ce matin. Je sens qu'elle me regarde avec toute la haine de monde entier réuni, croyez moi c'est à vous prendre vos jambes à vôtre cou et partir le plus vite vous réfugiez dans un trou en Alaska. Elle prit enfin la parole et brisa cet horrible silence.

-Qu'as-tu a dire pour ta défense jeune fille, Dit-elle impatiemment tout en tapant du pied.

-De quoi tu parles ? J'essayais de m'en sortir mais je sais très bien où elle veut en venir.

-Ah oui ? Et c'est quoi ? Le principal qui m'appel pour me dire que tu n'étais pas présente au cours du matin et de l'après-midi et de plus tu as eu 2 heures de

colles que tu n'as même pas daignée faire !

Je jetai un léger coup d'œil au traître derrière pour le foudroyé du regard et merci aussi au prof d'histoire.

Je savais, que si je lui disais que j'étais à la bibliothèque, puis j'ai croisé un certain Mills qui m'a convaincu de me ramène au lycée dit maudit, car à cause de ce très cher monsieur j'ai loupé tous mes cours, qu'il voulait se rattraper mais puisqu'il n'est pas honnête m'a fait du chantage, donc je me suis retrouver dans une forêt ou j'ai flippé un truc de malade car je regarde beaucoup trop de film action. A la fin je me suis retrouvée au bord d'une falaise et j'ai comment te dire, sur le cus désolée l'expression mais c'est le cas de le dire, car cette vue sur Seattle est la chose, la plus belle que je n'ai jamais vue.

Dois-je te dire que je me suis sentie bien. Que je me suis perdue dans son regard d'un bleu si pur mais sombre à la fois ? Que je sais pas ce qui s'est passé dans ma tête à ce moment-là ? Mais bien sûr tu vas dire que comme d'habitude je me fais des idées, puisque au fond nous sommes vite retournés à la réalité quand son téléphone a sonné. Il est redevenu celui qu'il est vraiment, froid, sens aucun sentiment mais quand je pensais m'être littéralement éclate la figure sur les rochers, il m'a rattrapée et pendant là, je me suis sentie en sécurité dans ses bras. Dans les bras dont celui qui avait su pourrir mon enfance... Ensuite il m'a conduit ici et maintenant je suis la devant toi.

Bien sûr c'est ce que j'avais envie de lui dire mais, je ne suis qu'une peureuse au fond, j'inventai donc une autre version.

-Je ne voulais pas y aller tout simplement, donc je suis restée à la bibliothèque toute la journée, puis j'ai rencontré Marie et elle m'a ramène voilà maintenant, je vais dans ma chambre.

-Non, dit-elle sèchement. Tu ne sais pas tous les sacrifices que l'on a fait avec ton père pour que tu puisses retourner dans cette école.

Oh non elle ne devrait pas dire ça, elle ne me connait pas.

Rien, voilà ce qui sortis de ma bouche face à tant de cruauté, tous ses propos ne tenaient même pas la route. Tout ce que je voulais c'était m'enfermer dans ma chambre loin, loin d'elle et de son monde pourri et rempli de faux-cul. Elle reprit.

-Tu n'es que cette petite morveuse, mal éduquée, je savais que l'on aura jamais du t'enlever de cette école, ou même te mettre dans un pensionnat. Te mettre dans le public a été une grosse erreur de la part de ton malheureux père. Je vais rester ici jusqu'à ça change ma petite, ton père et tellement déçu, le pauvre... Il avait tant d'espoir en toi, moi je n'en ai jamais eu, je savais que tu allais terminer comme ça, une moins que rien...