Mon amour, Ma mort

Je suis à la recherche...

[Point de vu Eleanor]

Ça faisait trois mois que j'avais revu Louis à Noël Julia et moi allions à l'hôpital pour une radiographie, j'allais enfin savoir le sexe du bébé. Si Louis n'était pas là c'était simplement car il avait peur, je ne savais pas trop de quoi, mais je l'ai respecté. Je ne voulais pas être seule pour se rendez-vous et ma mère était avec Jean-François, son nouveau copain, alors Julia est venu volontiers.

Quand on est arrivé j'ai donné mon nom à l'accueil et on m'avait dit de m'assoir dans la salle d'attente. On avait nommé mon nom, alors je me suis présenté dans le bureau avec Julia. Le médecin m'a demandé de me changer. Vous savez pour mettre ces tenues hideuses bleues ou vertes, mais cette fois ci, en deux morceaux. Bref j'ai fais se qu'il m'avait demandé et j'ai été m'asseoir sur le lit. Il m'a demandé de me coucher et lever le chandail. Je l'ai fait et j'ai senti cette geler, qui est geler. Je trouve bien ironique qu'une geler peu être froide à en être geler. Bref le médecin m'a regardé et a dit: "Voulez vous savoir le sexe?"

-Bien sur quelle question?

-Un garçon madame, c'est un garçon.

J'ai sourit à Julia et J'ai dit: "Louis."

Elle n'a pas compris pourquoi, alors j'ai ajouté: "Il s'appellera Louis, mon enfant et mon amour."

Je me suis r'habillé et Julia m'a proposé d'aller faire du shoping. J'ai accepté puisque de toutes manière il fallait que j'achète une robe de mariage puisque le mariage était la semaine d'après. Je sais j'étais en retard pour acheter la robe, mais j'avais cherché et je n'avais pas encore trouvé. J'espérais que ce jour-ci serait le bon.

-J'ai essayer des dizaine de robe dans ce magasin. On peut aller ailleurs s'il te plait?

-Aucun problème Élé, si ici ne fait pas ton affaire on change de place.

-Merci, je t'aime tellement, je sais pas ce que je ferais sans toi.

-Ah! Ah! Ah! Moi aussi je t'aime.

Nous avions donc changer de magasin, nous marchions dans la rue sans trop regarder les autre magasin que ceux des robes de bals/mariages, puis tout d'un coup, cette vitrine, avec plusieurs robes de balle. Parmi ces robes, il y en avait une, elle était juste MAGNIFIQUE!

Julia a remarqué que je bavais devant cette robe, alors nous sommes entrés dans le magasin. Une fois de plus la dame qui était là nous a demandé si nous n'étions pas un peu jeune pour chercher une robe de marié. Nous avons donc expliqué, encore une fois, l'histoire de Louis. Elle nous a ensuite demandé si l'on avait une préférence. Je me suis empressé de dire: "Celle dans la vitrine." La dame du nom de Maria m'a dit: "cette robe est spéciale, elle ne fait presque à personne. C'est tout ou rien avec elle."

-Comme si elle était capricieuse.

-C'est drôle que vous disiez ça.

-Pourquoi, demandais-je?

-Parce que le créateur l'a appeler « Caprice ». Voulez vous l'essayer?

-Je voudrais essayer d'autre robe avant au cas ou on en trouve une plus belle.

-Parfait! Allons trouver cette robe.

J'avais essayé 5 robes et il n'y en avait aucune qui était plus belle que « Caprice ». Je commençais à être fatigué d'essayer toutes sortes de robes, alors j'ai été voir la dame qui s'occupait de moi. Elle cherchait une autre robe, je l'ai interrompu dans ses recherches pour lui dire: "Je voudrais essayer la « Caprice » maintenant."

Elle est allé chercher la robe d'une teinte un peu rose, avec un tissu qui volerait au vent. On aurait dit la robe d'Aphrodite la déesse de la beauté. Elle était superbe en fait!

J'ai été dans la cabine d'essayage, j'ai mis la robe du mieux que j'ai pu et je suis sortis pour me voir dans le miroir. Je ne m'étais pas encore regarder dans le miroir que je savais déjà qu'elle m'allait à ravir. Tous les regards des clientes, clients et employés étaient sur moi, ils avaient tous des étoiles dans les yeux. Sauf Julia qui, elle, avait des larmes de joies.

-Je ne peux pas me permettre cette robe elle est beaucoup trop cher.

-Je peux, (pause) il vous faut cette robe. Selon les circonstances de votre mariage je vous l'offre en cadeau.

-Je ne peux pas accepter ce cadeau, vous perdrez de l'argent.

-Écoutez moi bien mademoiselle, je n'ai jamais vu une femme aussi bien porté cette robe et elle est en magasin depuis bien longtemps. Je devais la mettre au sous sol demain. Comme si elle ne valait plus rien, alors elle est pour vous.

Je lui ai sauté au cou inconsciemment. Elle a rit et m'a renvoyé me changer. J'ai sortis avec les 5 autres robes dans les mains, je lui ai remis et je suis retourné chercher ma robe. Elle me l'a mise dans un sac et m'a dit: "je vous souhaite tous les bonheurs du monde." Ces mots m'ont beaucoup touché, du coup, une larme avait coulé le long de ma joue.

Julia m'a pris dans ses bras et m'a dit que j'étais la futur marié la plus chanceuse, que ça n'était jamais arriver à personne. J'ai promis alors de retourner à cette boutique le lendemain pour invité Maria à notre mariage.

Quand nous sommes arrivées à la maison, ma mère était rentré et quand elle a vu le sac, elle voulait voir à tout prix la robe et savoir combien j'ai du la payé. J'ai donc monté pour me changer et remettre ma robe de mariage. quand je suis redescendu ma mère avait les larmes au yeux tellement elle était fière de moi et qu'elle me trouvait belle, enfin je crois.

-Combien? Dit-elle soudainement.

-Combien quoi?

-Combien elle a couté, tu pensais à quoi?

Ah! Rien est la réponse au deux questions posées.

-Impossible!

-Si! Lui avait dit Julia. 

-La dame lui a donné, car elle ne se vendait pas, elle est trop capricieuse la petite caprice.

J'ai ris un peu et ma mère me regardait avec un regard avec une telle  joie visible! Je l'ai regardé droit dans les yeux et c'est à ce moment que je lui ai demandé.

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