Chaude soirée

10 0 0
                                    

Quand mon père est enfin parti, j'ai rejoint la bande d'adolescent dans ma chambre. Ils me regardaient tous avec un air terrifiés. Ils ne savaient pas que je détestais mon père à ce point. Et maintenant en plus de savoir que je le déteste vraiment ils savent pourquoi.

Je les ai regardés et leur ai dit avec mon plus grand sourire: "Ne me dites pas que la fête est terminée! Allez bougez un peu!" Ils m'ont demandé chacun leur tour si j'allais bien. Je leur répondais que non, mais que ça ne devait pas gâcher la fête qui était très bien commencé.

Après un temps le malaise s'est dissipé et la fête à recommencée. Malheureusement, il était déjà minuit et le monde commençaient à partir l'un après l'autre. Louis lui restait pour la nuit avec moi. Julia a décidé de rester plus longtemps que les autres et on a décidé de nous louer un film d'horreur.

Je me suis collé contre Lou dès les 5 premières minutes, j'étais terrifié, car oui je suis une chochotte niveau film d'horreur. Lui riait de moi avec Julia. Malgré tous j'étais bien, blotti dans les bras de Louis. Il caressait mes cheveux, il me faisait plein de petits bisous dans le cou, il me réconfortait de ma peur que le film me procurait. j'ai ressentie des frissons que je n'avais jamais ressentis. Je me suis endormie et me fis réveiller par Julia.

-Debout! Je m'en vais chérie! Cria-elle.

Elle riait de ma gueule. Je lui ai lancé le premier oreiller qui se trouvait à porté de main. On s'est chamaillé comme ça un bon 5 minutes. Julia à gagné par « forfait », parce que Louis m'a attrapé par les hanches et m'a levé dans les aires...Julia a réussi à me toucher ce qui mit fin à la bagarre.

Quand Julia est sortie de la maison, j'ai couru dans les bras de Louis pour pleurer tous se que j'avais. Il n'a pas compris tous de suite, mais me consolait pareil. Je lui ai expliqué que j'avais terriblement honte de mon père et qu'il avait tout gâché. Pour essayer de me consoler il me dit qu'il avait vraiment passé une belle soirée et que mon père n'avait rien gâché. Je lui ai répété que je voulais que tout soit parfait et que ça ne l'a pas été. Je suis probablement trop perfectionniste.

-Tout est parfait quand tu es la chérie, ça ne changera pas de si tôt. Me dit-il pour me réconforter.

Ce qui a plutôt bien marché. Je l'ai regardé et j'ai commencé à l'embrasser, on peut aussi dire que je lui ai sauté dessus. Mes mains se baladaient sur tout son corps, sous son chandail, dans ses cheveux, sur son pantalon. Une bosse commençait à se former, il avait autant envie de moi que moi j'avais envie de lui, mais il me stoppa et je n'ai pas compris pourquoi.

-(gêné) Dé, Désolé si tu ne veux pas... Je ne veux pas te forcer si tu ne veux pas...

-Non non non chérie, ce n'est pas ça. Je m'inquiète juste par rapport à tes intentions. Tu ne veux pas faire ça pour te consoler?

-Non, j'en ai juste envie. Pas toi?

-Oh, oui je le veux, mais je ne veux pas qu'on le fasse pour la première fois pour de mauvaises raisons. Tu es sûr que tu ne veux pas y réfléchir un peu?

-Non je suis sûr de moi. J'ai cette envie depuis un moment, et je t'aime tellement, je crois qu'on est rendu à ce point dans notre relation. Ça fait deux mois qu'on est ensemble, on s'est déjà touché, je t'ai vu nu, tu m'as vu nu. Il n'y a plus cette gêne, alors je me suis dit pourquoi pas? On est seul et pour notre première fois c'est moins stressant comme ça, non?

Je l'ai embrassé et mes lèvres ont divagées et sont allées dans son cou, il a juré et dit: "Tu as probablement raison."

Ils s'approcha de moi, me coinça doucement entre lui et le mur. Il commença par me regarder droit dans les yeux, quand à moi je regardais les siens. Il m'a embrassé, mais pas de la même manière qu'à l'habitude, un peu plus brusquement, fougueusement. La température de la pièce est monté et l'envie que nous avions l'un envers l'autre a fait de ce moment le mieux choisi. Il a commencé a mettre ses mains sous mon chandail et l'enleva par la suite. Il m'a regardé avec un gros sourire et il a levé ses bras. J'ai ris et j'ai enlevé son chandail. Il a descendu ses main et les a déposé sous mes cuisse, il m'a pris dans ses bras, tout en m'embrassant dans le cou, il m'a déposé sur le lit.

Je l'ai embrassé, un peu moins fougueusement, amoureusement cette fois-ci. Tous ces mouvements en lenteur me faisait du bien, le contacte de ses lèvres contre ma peau était merveilleux. Ses douces lèvres descendaient sur mon ventre et remonta sur ma poitrine presque nue. J'ai frissonné à ce contacte chaud. Son corps était si beau. Il s'est levé en me tirant le bras, il m'a dégrafé mon soutient gorge qu'il a fait tombé sur le sol. Il m'a regardé comme à chaque fois qu'il m'a vu aussi dénudé. Il dit que mon corps est parfait et qu'il l'attire énormément.

 Il m'a retourné sur le dos et à commencer à me masser les épaules, ça m'a beaucoup détendu, il s'était mis à califourchon sur mes fesses. Il a changé sa position en reculant un peu, ses lèvres m'ont données des baiser de mon cou jusqu'à la frontière de ma culotte. ensuite il a tiré un peu sur le tissu pour découvrir ma peau. Il a léché une de mes fesses, ce qui m'a causé une certaine hilarité. Il m'a stopper en touchant mon intimité en passant par derrière. J'en ai eu le souffle coupé par le plaisir. J'était déjà mouillé pour lui, et il le savait, c'est pourquoi il m'a retourné et détaillé mon corps avec mille baisés. quand il est arrivé à l'embrassure de mon sous-vêtement il a donné un baiser sur mon pubis, ensuite sur mon sexe par dessus le fin tissu. Il a ensuite  retiré ma culotte pour dévoilé mon corps entier. Il a embrassé mon sexe se qui m'a encore coupé le souffle, cette sensation est si bonne. 

-C'est un peu injuste, je suis nu et toi tu porte encore ton pantalon ET ton boxer, à moins que tu porte des belles bobettes? 

Il n'arrêtait pas de rire. Il riait tellement que j'ai du le stopper en lui attrapant l'entre-jambe. tout comme j'avais réagis à son touché il a eu le souffle court, il s'était presque éttoufé. J'ai alors enlevé son pantalon.

-Dommage des bobettes de spiderman aurait été beaucoup plus attirante, je ne veux plus de tes caresses jusqu'à se que tu t'achète des bobettes! 

Je lui ai fait un clin d'oeil et il ria de plus bel.

-Je t'aime tellement Eleanor.

-Je t'aime aussi Louis. 


Mon amour, Ma mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant