Il ne restait plus qu'une semaine avant les vacances, et je ne voulais absolument pas être présente chez moi presque tous les jours..
Je me suis reveillais ce lundi matin, les yeux encore à moitié endormis et je me suis mise à penser à Elisa. Je me suis depechais de manger, de me laver,de m'habiller, de me me maquillais et je suis arrivée à l'arrêt de bus un peu en avance.Alors, j'ai pris mon portable et j'ai envoyais un message à Elisa, un simple coucou qui me réchauffait le coeur..
Le bus est arrivé, et je me suis installée sur un siège du fond, je regardais inlassablement vers la vitre voyant le visage de ma mère détruit par la haine et le chagrin mais je devais être forte, forte pour l'amour que je portais à cette fille, rien ni personne n'allait empecher cet amour.
Je suis arrivais dans le hall du lycée vers 7h45, je commençais les cours à 8h.
J'alla dire bonjour à mes amis, et puis soudain.. Une main cacha mes yeux, et je sentis un dou parfum m'envahir, je compris qu'il s'agissait d'Elisa..Je me retourna assez délicatement, et sans réfléchir, déposa mes lèvres sur les siennes. Mes amis me regardèrent assez stupéfaits, mais tellement contents pour nous.Ils se mirent à rire. Soudain, la sonnerie qui indiquait 8h se mit à retentir..
La journée fut douce et agréable, pendant les pauses je retrouvais Elisa, et je profitais de se temps là pour lui faire des calins et des bisous, lui montrant à quel point l'on s'aimait.
On avait prévu de se voir pendant les vacances, peu importe ce qu'en pensait ma mère et mon père.
*ECLIPSE DE LA SEMAINE*
Vendredi soir. Je rentra et alla dire bonjour à ma mère, elle ne me remarquait presque plus, faisant comme si je n'existais pas..Je lui dis " Maman, cette semaine je vais chez une amie :) " et elle ne répondit à peine. Ainsi, commença l'enfer des vacances.
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Amour Indomptable (en réécriture)
RomanceUne fille entra dans le lycée comme chaque jour. Mais ce jour là, elle avait quelque chose de rare, quelque chose qui attira mon regard. Son regard traversa le mien l'espace d'une demi seconde mais déjà son charme opéra. Elle me frôla, son parfum é...
