journal intime d'un tueur en série

La préparation

Quelle surprise ! Après la pré-préparation vient la préparation ! Whaou ! J'en suis bouche bée !
J'apprécie le sarcasme. Je crois que ça se voit. Peu importe.

Après ces divagations sans intérêt qui vous ont sûrement fait perdre 10 secondes de votre temps, nous pouvons commencer.
Donc commençons.
La pré-préparation ayant été sensément respecté à la lettre (bon chien-chien), vous disposez actuellement de matériel, d'un lieu dédié, de beaucoup de film plastique (si vous avez suivit la série Dexter, vous savez pourquoi), et d'une victime. Ou une proie si vous voulez. Mais je vous prévient, chers lecteurs, que seuls les grand malades appellent de pauvres innocents des "proies". C'est révoltant. (Sarcasme. Humour. Vous avez compris ? Je reprend.)
Puisque vous avez toutes les cartes en mains, que vous les avez triés pour faire vos paires et tout l'bordel, il ne vous reste plus qu'à abattre lesdites cartes. C'est une image, inutile de tirer dans un jeu de carte. Il faudrait être stupide pour comprendre ça au premier degré.
Pour faire simple, préparez votre lieu dédié avec des bâches, ou du film plastique si vous êtes maso (je vous assure que vus le temps que ça met, mieux vaut aimer les coup de cravache), puis disposez vos outils de la bonne manière, c'est à dire celle qui vous convient le mieux. Et oui, je ne peux pas tout vous donner dans les mains, avec un plateau d'argent, accompagnée d'une coupelle de caviar. En plus je n'en aurais pas les moyens. Pas que je sois en difficulté financières, non. Je suis même actuellement plutôt pété de thune. Non, juste que comme je le disais plus tôt, quand vous lirez ceci, je serais sois bien installé derrière les barreaux , sois vous pourrez me rendre visite dans la troisième allée du cimetière du père lachaise. Je ne vous donnerais pas le nom à chercher sur les pierres tombales. Bref, je m'égare.  Les outils. Tourne-vis, marteau, perceuse, tout le bordel classique. Je suis personnellement partisan de la théorie du chaos créateur. Je prend une petite table tel que celle utilisés dans les hôpitaux pour poser les scalpels et-cetera. ( Les scalpels. Très bonne chose. J'ai oublié de le mentionner.)
Je balance tout les douloureux biblos dessus, et puis je prend ce qui vient. Moins il y a d'ordre dans ce que je fais, plus cela devient intéressant. Mais tout dépend du point de vue évidemment. Vous vous doutez bien que celui qui passe sur le brancard ce fiche bien de ce qui lui fait mal, puisqu'il ce contente de se focaliser sur ses cris et autres gestes stupidement désespérés. Mais méfiez-vous, je vous l'ai déjà dis. Mais si, le gringalet apeuré, le chien de chasse... bref. Ensuite vient la préparation de la l'enlèvement. Oui, vous vous en serez doutés, je ne suis pas adepte des meurtres sales et précipités, au fond d'un ruelle sombre et sordide. Un peu de professionalisme, que diable !
Les possibilités pour un enlèvement sont infinies. En effet, le nombre de cas particulier à prendre en compte est trop aléatoire pour que tout se passe sans problème si vous n'êtes pas correctement préparés. La première étape et l'observation.