Chapitre 2:
Précédemment:
«Ils m'ont appris à me forger, j'ai remplis mon cœur de béton parce que je sais qu'un jour, nous nous quitterons.»Nous étions à présent dans la salle de classe, enfin à proprement dis: Salle de repos.
Le professeur de mathématiques avait beau crier et essayer d'imposer son autoritaire, aucun élève ne faisait attention à se présence. Il doit se sentir invisible, peut-être qu'il pense qu'il n'est qu'un vulgaire esprit qui vient hanter cette école de merde qui n'a servit qu'à une seule chose: Dépenser de l'argent pour faire croire aux jeune qu'ils apprennent des choses.
Ils avaient beau nous punir, nous renvoyer de l'établissement, convoquer nos parents et nous passer des savons pendant environ une heure, notre comportement vulgaire et insolent ne changeait pas.
Ici ce n'est pas comme dans les autres lycée, loin de là. Les personnes populaires ne sont pas celles qui s'habillent avec de la marques ou alors celles qui couches avec la première personne rencontrée. Non, ce sont généralement les élèves timides et bien élevé.
On les plaçait dans la catégorie des "gens bizarre qu'on peut pas blairer".
Les garçons d'ici n'insultent pas une fille parce qu'elle est vierge ou parce qu'elle n'ose pas s'habiller plus court, je tiens à vous dire que la majorité des filles ici n'ont encore jamais passer le moment de la fameuse "Première Fois" et j'en fais partie.
Personnellement coucher avec quelqu'un qui ne sera qu'un vague souvenir quand j'aurai atteins mes trente ans ne me plairait guère.
Les garçons d'ici sont à la recherche de "filles libérées" si vous voyez ce que je vous dire mais ils savent pertinemment qu'à à un âge atteint, ils se lanceront à la recherche d'une fille bien et vierge qu'ils pourront dépuceler en toute confiance.
Notre vie dans ce lycée se résume à des bagarres, des insultes, des fugues et j'en passe. Comme vous pouvez le voir on ne s'ennuyait que très peu de temps avant qu'une bagarre éclate.La sonnerie retentit me sorti de mes pensée et je me levai doucement et lentement sans prendre la peine d'attendre Samis et Paul.
Brayan et Sarah étaient dans la salle d'a côté mais je n'avais pas le temps de les attendre.Je me dirigeai rapidement vers les toilettes avec un mal de ventre atroce, si puissant que je me sens défaillir et il me semblait qu'à un moment donné, mes jambes allaient lâcher prise.
Je rentrai dans une cabine et la fermai à double tours.
La douleur au ventre s'intensifie au fur et à mesure que je restai debout.
Je décidais de baisser un tout petit peu mon jean et ma lingerie et mes doutes étaient vrais, je viens de rentrer dans ma zone rouge.
Je me rhabillai en vitesse maintenant que j'y pense, je donnai un gros coup de pieds dans la porte. Je n'avais plus de serviettes dans mon sac.-Bordel de merde... Soufflai-je agacée, à chaque soir je me dis de prévoir une serviette dans mon sac au cas d'urgence extrême et ce moment est arrivé, et comme une conne, je n'en faisais qu'à ma tête et avait complètement oublier cet objet qui avait une grosse utilité pour nous les filles.
Je soupirai longuement et fortement avant de retirer ma veste et de l'enrouler au tour de mes hanches, je devais être tachée et je devais tout faire pour éviter cette humiliation au près des autres, je serai à présent le noeud que j'avais fais avec les manches de ma veste et repris mon sac à dos, je sorti des toilettes et parti à l'accueil. Ils avaient toujours des serviettes dans un petit tiroir cache en haut d'un grand meuble remplis de dossier et de paperasse étalés dans tous les sens.
J'entrai sans toquer et je fis face à madame Karly. C'était une vielle dame tout ridée qui devait travailler dans cet établissement depuis maintenant plusieurs années.
Elle avait sa tête cachée devant l'ordinateur et tapait lentement sur le clavier en frappant chaques touches brutalement.-Hum hum. Toussotai-je.
Elle leva lentement sa tête blanche pâle et m'adressa un léger sourire ce qui fit plisser ses yeux qui étaient minuscules, à cette vue, un sourire me parvint au lèvres et je dû me pincer l'intérieur des joues pour ne pas exploser de rire, elle aurait très vite compris que je me foutais de sa gueule.
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Bad girl... Or no.
Roman d'amour"-A par fumer, frapper et insulter que sais-tu faire de plus ?! -Pour qui te prends-tu pour me juger?! A pars glander sur ton foutu canapé en or et attendre l'argent tomber du ciel que sais-tu faire?! -Baiser. Dit-il un rictus sur ses lèvres. -Conna...