#Chapitre 25:

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*Toc toc toc*

-Albert: Monsieur?
-Liam: Hum...
-Albert: Monsieur? Il faut vous réveiller.
-Liam: Albert! Je n'ai pas cours aujourd'hui c'est samedi... Laisses moi... Dormir.
-Albert: Monsieur, je sais que nous sommes samedi, mais vous m'avez demandé de vous réveiller pour que je vous insiste à faire vos devoirs... S'il vous plaît, levez vous.
-Liam: Mais je ne veux pas que tu me réveille à 8h! Je veux dormir...
-Albert: Mon cher Monsieur, il est 13:30!

Je saute de mon lit et j'ouvre la porte soudainement, en manquant de faire tomber mon majordome.

-Liam: Pourquoi tu ne m'as pas réveiller avant?
-Albert: Je suis venu à 10h mais vous lancez dit de revenir dans 4h. Je vous pris de m'excuser...
-Liam: Nan nan... Ce n'est pas grave il faut juste que je me dépêche. J'attend quelqu'un.

Je descend les escaliers à fond, mais une fois en bas je tombe face à un grand dilemme: Prendre un petit déjeuner ou un repas, sachant qu'il est 13:41 et qu'Aria arrive dans 20 minutes.
Ce choix m'agace alors vu que je suis en jogging, j'enfile mes chaussures de sport, j'attrape mes écouteurs et mon téléphone et je pars courir sur la propriété. Ça fait déjà 15 minutes que je cours, mais il est trop tard pour faire demi tour et rentrer à la maison, alors je continue à courir, Aria n'aura qu'à m'attendre. Puis quelques mètre plus loin, j'arrive près d'un étang: oui j'ai un très grand jardin, tout le monde croit que c'est un parc privée mais c'est chez moi, mon père possède un tiers du quartier. Près de cet étang ce trouve un beau saule pleureur. Je m'assis sous ses feuilles quelques instants, je pense à ma mère. Sous le saule il y a une grande dalle avec les empreintes de mains et de pieds des enfants de ma mère. Toutes faites le jour où mes sœurs et moi avons fait nos premiers pas. A ce moment là je me sens vide, apaisé, bien. J'ai l'impression d'être proche de ma mère, alors je m'allonge dans l'herbe, la musique dans les oreilles et je pense à elle. Une larme roule le long de la joue...

-...:Liam?...Liam...
Une voix douce me sort de mon sommeil. Je suis tombé comme une masse, alors que je venais de me réveiller. J'entends sa voix mais je n'ose pas ouvrir les yeux. Je sens une main de se poser sur ma joue et le faire de petites caresses pour me réveiller. Quand j'ouvre enfin les yeux, je vois de magnifiques yeux verts qui me regarde avec un grand sourire.

-Liam: Aria? Qu'est ce que tu fais là? Comment tu m'as trouvé?
-Aria: Je suis arrivé à 14h comme prévu et j'ai attendu 30 minutes que tu reviennes, puis Albert m'a dit que tu étais aller courir alors je suis allée te chercher. Mais après 2h de marche je t'ai trouvé et j'ai eu le temps de faire le tour du "jardin"!
-Liam: Je suis vraiment désolé ma belle, je me suis arrêté un moment puis pouf je me suis endormi, en plus mon téléphone n'a plus de batterie...
-Aria: Ce n'est pas grave, puisque que quand je t'es trouvé, j'ai eu un beau cadeau! HAHAH!
Je ne comprenais pas, puis je me rend enfin compte que je suis torse nu. HAHAH! Je crois que j'ai une mauvaise influence sur cette fille, elle devient aussi perverse que moi! Elle me demande pourquoi je me suis arrêté là alors je lui raconte, tout!

-Liam: Voilà tu sais tout. J'ai fait venir la dalle de ma maison en Angleterre, où ma mère est décédée. Tu es la première à qui je raconte autant de chose à propos d'elle et que j'amène ici. Même mon père ne vient pas ici, seuls les jardiniers ont le droit...

Je la vois qui me regarde intensément, et je fais de même, je me plonge dans ce regard vert si attirant. Elle m'embrasse doucement, tendrement. Puis je la prends dans mes bras et elle met sa tête sur mon torse et nous nous allongeons. Nous contemplons les feuilles du saule qui dansent avec le vent.
Ni l'un ni l'autre ne parle. On est là, sans rien dire, l'un contre l'autre. Je me sens bien.

-Liam: Elle me manques tellement si tu savais... Je l'aimais si fort.
-Aria: Et tu l'aimes toujours autant... Elle a de la chance.

"Friends" ~Liam Payne~Where stories live. Discover now