Chapitre 5: Oh, la salope!

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Chapitre 5: Oh, la salope!

Il y a douze ans, Popaul a quitté ma mère. Ou plutôt, il est allé déménagé avec une autre femme sans rien dire à ma mère. Il a fait cela petit ã petit. Au début, comme à ses habitudes, il rentrait à deux heure ou trois heure du matin. Puis, il rentrait à l'aube. Les mois passait et il rentrait seulement pour se changer avant d'aller travailler. Comme ma mère ne disait plus rien, alors il a continué ainsi pendant des années. Le soir après son travail, il va directement chez la femme et il reviens chez ma mère juste pour changer le matin. Par contre, entre midi et deux heure, il reviens toujours à la maison. Les années passaient, et souvent, il ne venait plus les matins. Ou sinon, deux ou trois fois par semaine.

La première fois que j'ai vu ou entrevue sa maîtresse, c'était à la mort de ma grand mère paternelle, la maman de Popaul. Toute sa famille la connaissait déjà sauf moi et ma soeur. Je sais que ma mère l'a déjà vu mais je ne faisais plus attention à leurs disputes. Et moi donc, j'étais assise à côté de la maîtresse de mon père sans le savoir. C'était une fois seulement qu'elle était partie q'une de mes cousine me disait qui était la femme assise à côté de moi. Mon sang n'a fait qu'un tour. Je la cherchais mais je ne pouvais pas mettre une image sur son visage vu que je n'ai pas fait attention à elle. Après tout, nous étions au veillé mortel de ma grand mère, je ne pouvais pas douté un seul instant que j'allais la rencontrer là.

En cherchant la salope, je suis tombée sur ma sœur alors je lui ai tout dit. Et la réaction de ma sœur était plus violente que la mienne. de plus qu'on a fini par la trouvé:

- Toi, dégage de là, tu n'as rien à faire ici. Si tu ne pars pas tout de suite, je vais te tuer à crié ma sœur devant toute l'assemblé.

La femme ne bougeait pas.

- Je te dis de partir d'ici hurla-t-elle encore en s'approchant de la femme. Mais ceux qui étaient là l'ont empêché de la toucher.

- Calme toi Mamie (c'est le surnom de ma sœur) a dit ma tante. C'est un veillé mortuaire pas un mariage. Cela veut dire que tout le monde peut venir sans invitation.

- Oui mais elle n'a pas le droit d'être là, c'est la maîtresse de Popaul et ma mère peut venir n'importe quand ici.

- C'est la nuit, ta maman ne viendra pas maintenant.

- Qu'elle s'en aille quand même sinon je vais la tuer.

Ma tante s'est tourné vers la femme:

- Tu peux partir s'il te plaît? Car tout le monde commence à nous regarder.

Alors la salope commençait à se lever doucement et elle s'en allait. Où je ne savais pas et c'était le dernier de mes soucis. Car à ce moment là, quelqu'un est allé prévenir mon père que Mamie a fait un scandale à sa maîtresse. Il s'est approché de nous l'air très fâché, mais ma sœur l'était encore plus. Alors, devant tout le monde (les amis, les collègues, les voisins...) elle a crié sur mon père:

- Comment as- tu osé emmener ta maîtresse ici à la veillé de grand-mère? Disait-elle en pointant mon père de doigt.

- Tu n'as aucun respect pour notre mère. Au cas où tu l'as oublié elle est encore vivante et toujours ta femme. Continuait-elle

Les personnes autour commençaient à calmer ma sœur.

- Tais-toi, ce n'est pas l'endroit ni le moment pour parler de cela à dit Popaul.

- Je te déteste à hurlé ma sœur en pleurant. Emmène cette femme loin de d'ici.

- Elle peut rester si elle veut a rétorqué mon père. Tu ne sais même pas le lien qui les unissait elle et ta grand-mère.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 21, 2013 ⏰

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