Assis à ma fenêtre
Fumant ma cigarette,
Je songeais à toi.
Toi me disant tout bas :
"Tout va s'arranger ne t'en fais pas."
Mais si je suis assis à me fenêtre,
Ce n'est pas pour finir ma cigarette.
Puisque je me lève, debout, je crie à tue-tête.
Et j'ai sauté du rebord,
Tombant en pensant avoir tord.
Et c'est ici et maintenant que je m'endors.
Tout en murmurant "tu avais raison tout s'arrangera mais seulement à la mort".
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Faiblesse
PoetryJ'écris ce qui me vient à l'esprit, Je suis désolé pour votre positivité. Haha Soyez indulgent avec mon moi du passé, j'ai commencé ce recueil à 14 ans.