Ils s'embrassaient, pendant des heures.
Comme sans respirer.
N'ayant pas besoin d'oxygène mais juste de l'amour de l'autre.
Tout bougeait autour d'eux.
Mais pour moi le reste n'avait pas d'importance.
Je restais à les regarder.
Les regarder jusqu'à en avoir la gerbe.
Parce que je savais que je ne pourrais jamais ressentir le sentiment qu'ils éprouvaient à ce moment-là.
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Faiblesse
PoetryJ'écris ce qui me vient à l'esprit, Je suis désolé pour votre positivité. Haha Soyez indulgent avec mon moi du passé, j'ai commencé ce recueil à 14 ans.