Entre son père et sa mère déchirés,
Le petit Victor écrivait.
Il écrivait,
Ces vers qu'on lui envier.
Et pour tant d'inspiration,
Il faudra un permis, le permis de rêver.
Plus tard, on eut dit qu'il avait perdu son inspiration,
Comme Léopoldine eut perdu sa vie,
Pauvre Victor, il a perdu sa préférée,
Mais sa mort insensé,
N'a fait,
Que l'entrainer,
Vers la décadence de sa famille,
Cela semble n'être que des broutilles.
Mais sur la fin,
Sa vie, son tout, son rien,
Prend fin.
Consumé, non par le vin,
Mais par la tristesse de la perte,
De ces êtres chers,
Qui se compta par paires,
Et il ne put leurs dires adieu avec une lettre.

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Poèmes
PoetryIci, c'est l'histoire de quelques poèmes fait par une jeune poète inconnue qui rêve d'avoir son propre recueil (tome1)