Vous avez amené,
La miséricorde des années.
Mon cher maraud
Vous n'avez même pas votre seau.
Vous n'avez aucune conscience,
On ne peut vous faire confiance.
Réfléchissez à votre apparence,
Quelque chose de rance.
Vous n'êtes pas un génie,
Vous ne faites partie de notre compagnie.
Vous n'êtes parfait,
Mais vous plaisez,
A ces dames du comté,
Qui comptent sur votre beauté.
Mais,
A présent,
Pour qu'elle disparaisse, il faudra du temps,
A cette infamie,
Que vous avez faite à ma vie,
Je ne suis point blessé,
Juste embêter,
Car sous votre beauté,
Ce cache un mauvais parleur.
Avant de donné l'heure,
A ces dames richement parées,
Je vous conseille de vous préparer,
A recevoir le courroux des damnés,
Reprenant votre beauté,
Et le peu de langue qui vous reste.
Partez,
Et récupéré vos paroles éparpillées.

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Poèmes
PuisiIci, c'est l'histoire de quelques poèmes fait par une jeune poète inconnue qui rêve d'avoir son propre recueil (tome1)