You are alone because you are unique

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Note de l'auteur: Ceci est un OS découpé en deux ou trois parties, je ne sais pas encore. Il faut que je vois par rapport à certaines choses. Cet OS m'a été inspiré d'une histoire vraie qu'on m'a conté que j'ai trouvé affreusement touchante. Voilà.

Pairing: Perico. (Percy JacksonxNico Di Angelo) tiré du roman éponyme. (sauf la seconde saison mais on a compris l'idée je crois xD)

PS: Le titre de ce chapitre est tiré d'une réplique de la série Hannibal. Quand au style il sera relativement différent de d'habitude.

D'aussi loin que je me souvienne,j'ai toujours été un enfant turbulent. Ma mère aimait me le rappeler, elle le fait toujours d'ailleurs, ça me faisait toujours sourire de savoir que j'avais toujours été un gosse à problème.Je n'arrêtais pas de crier sur les maîtresses, toujours en train d'hurler (« Maman ! Maman ! »). A tout bout de champ, pour un oui,pour un non. Déjà à la maternelle j'avais trouvé le moyen de me faire virer, j'avais déjà sale caractère. En plus de brailler, je pleurais sans cesse, quémandant encore et toujours Sally, ma mère.Je ne supportais pas d'être éloigné d'elle. Vraiment pas, encore aujourd'hui je pense que j'aurais du mal à me détacher d'elle. Elle est ma seule figure parentale. Elle est ma mère, mon tout. Sans elle je ne serais pas là, sans elle je ne pourrais vivre sereinement.


École primaire, rebelote. Après à peine un mois me voilà déjà renvoyé. Pourquoi ? Je cite : «Comportement insupportable ! Votre fils n'a aucune tenue, de plus il manque sérieusement de rigueur ! ». Comment dire ? Disons que la dyslexie ça aide pas, mais ça, mes anciens professeurs ne pouvait pas le savoir. C'est compréhensible. Et l'hyperactivité ça en rajoutait une bonne couche. Mais ce n'est pas non plus une excuse à tout, je le concède. Mais sérieusement, était-je réellement censé laisser des p'tits crétins insulter ma mère ? Jamais ! Comment aurais-je pu laisser passer cela ? Et toute cette haine déversé envers elle pour des raisons qui aujourd'hui encore me sont inconnues, peut-être n'y en avait-il pas. Enfin, toujours est-il que mes années à l'école primaires furent ponctués de transfert.Passant d'école en école je n'avais pas vraiment l'occasion de me lier d'amitié avec d'autres personnes de mon âge. Clairement. Là où ça changea vraiment ce fût à la fin de mon année de CM2.Ouais, on avait déménagé, bye bye le vieil apart' miteux des quartiers mal famés d'une ville pourrie et bonjour la maisonnette de campagne. Le moins qu'on puisse dire c'est qu'on avaient été de-paysagé, là pour le coup c'était un changement radicale. Finis le brouhaha constant, ça doit être ce lendemain matin après avoir emménagé dans notre nouvelle maison que j'ai entendus pour la première fois les oiseaux piailler à l'aube. Ça ma fait bizarre les premiers jours et puis je m'y suis habitué, c'est rapidement devenue une routine quotidienne. On avaient finis de déballer les cartons un peu avant la rentrée, on avaient pu se reposer et passer du temps ensemble. Ce qui était cool c'est qu'on était près de lamer, du coup on en avaient profiter un max. On s'étaient vraiment bien amusés.


Après ça la rentrée est vite arrivé, maman m'avait fait promettre de me tenir correctement, je lui avais promis de faire des efforts. Le jour de la rentrée s'était relativement bien passé, pour éviter de faire n'importe quoi j'avais ramené mon stylo à bille préféré. Un professeur d'histoire super sympa que j'avais eu en CM2, avant de déménagé,me l'avait donné et depuis je m'en séparais plus. C'était mon porte bonheur, vraiment. Ça me permettait de déstresser et décompresser. Du coup je l'avais triturer pendant toute la durée des explications et des présentations élèves/professeurs. Je lui avais même donné un surnom, Turbulence, pour que ça corresponde avec moi, un gamin turbulent. Qui se ressemble s'assemble comme on dit ! Ensuite, les premiers jours passèrent rapidement, j'avais pas fait de bêtises monumentales comme à mon habitude, j'avais juste insulter un prof de chimie qui pouvait pas me sacquer. Rien de plus,ça m'avait coûté une semaine de colle. Le seum. La sixième,c'était la première année que j'avais réussis a passer sans me faire viré, autant dire que les Dieux m'avaient bénis. Ouais, et non j'abuse pas.

The game of my lifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant