J'ai remarqué(e) que de nombreuses personnes appréciant les creepypastas ne trouvaient pas leur bonheur dans les quelques histoires/traductions françaises à leur disposition. Je suis dans le même cas qu'eux. J'ai toujours voulu(e) lire les creepypas...
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Traduction du texte sur Wikia Creepypasta - lien en fin d'histoire.
Le style d'écriture ne correspond pas au miens, je suis seulement le (la) traducteur ( trice ) de l'histoire.
"Lorsque j'étais petite fille, j'adorais jouer avec toutes sortes de jouets; des voitures, des lego, des Barbies et d'autres jouets dans le genre. Il y avait un jouet avec lequel je jouais plus souvent que les autres; une poupée appelée Boi. Je m'amusais beaucoup avec Boi! Ses yeux étaient fait de bouton noir, son nez d'un bouton rose et ces cheveux étaient fait d'un tissu orange. Il portait un t-shirt vert à rayures jaunes et un jeans bleu. Il était toujours là pour moi. Quand j'étais triste, il me réconfortait. Quand j'étais en colère, il me calmait et me racontait des blagues très drôles. J'avais beau répéter encore et encore à ma mère que Boi parlait, elle ne me croyait pas. Elle répondait sans cesse que c'était mon " imagination d'enfant ".
Même lorsque j'allais au jardin d'enfant, j'emmenais Boi avec moi. Les professeurs n'y faisaient pas attention et les autres élèves pensaient que c'était pour avoir l'aire cool. Un jour, un enfant me demanda de lui prêter Boi. Je refusais en lui expliquant que Boi était tout à moi et que même lui ne voulait pas me quitter. L'enfant s'énerva et essaya de me prendre la poupée des mains. Ce faisant, il déchira violemment le bras de mon pauvre Boi. Dans un excès de colère, je me mis à hurler et à frapper l'enfant. Je frappais si fort sa tête contre le sol qu'une couleur écarlate commença à jaillir de son visage. Un professeur nous sépara et m'ordonna d'aller chez le principal. Je ramassais Boi et son bras déchiré avant de partir.
***
- Ça va Boi?
Il soupira.
- Je vais bien. Il faut juste que nous prenions notre revanche sur cet enfant. - Comment?
Demandai-je en me penchant sur lui. Un horrible sourire déchira sa bouche toute cousue.
- Je vais te dire comment.
J'acquiesçais et me rendit au principal. Il me suspendit pendant deux semaines et appela ma mère pour me ramener. Ma mère, folle de rage, resta silencieuse durant tout le retour en voiture. Lorsque nous somme rentrées, maman m'envoya dans ma chambre et déclara qu'elle réparerait Boi plus tard. J'entrais dans ma chambre, m'assis dans un coin et parlais avec Boi.
- Ok Marionnette, voilà ce que je veux que tu fasses pour moi. Chuchota Boi. Je vais aller dans ton corps, puis nous trouverons l'enfant pour qu'il paye.
Je souris et approuva de la tête.
- Bien, maintenant ouvre la bouche Mary. Quoi qu'il arrive, ne fais aucuns bruits, d'accord?
Je hochais la tête. Boi me ferma les yeux avec son bras restant et ouvrit ma bouche. Il monta à l'intérieur et se mit à brûler. J'avais l'impression qu'un feu me consumait de l'intérieur. Marlgré la douleur et les larmes, j'essayais de ne faire aucuns bruits. Finalement, je sentis mon cœur s'arrêter et mon sang se figer. J'ouvris les yeux et mourus.
Je m'étais réveillée dans ma chambre un peu plus tard dans la nuit. Je ne pouvais rien voir du tout.
- Boi? Appelais-je.
Marionnette. Je suis à l'intérieur de toi, ok? On va avoir notre revanche maintenant. Dit Boi dont la voix raisonnait depuis l'intérieur de ma tête. Sans que je prenne réellement conscience de mes geste, j'avais ouvert la fenêtre pour me jeter de trois étages. Sans contrôle, je me mis à marcher jusqu'à la maison de l'enfant. Je ne sais pas si Boi avait ouvert la porte, mais j'entrais sans difficultés. Je trouvais tout aussi rapidement la chambre de l'enfant. Il était allongé dans son lit et avait l'aire endormit. Je le secouais pour le réveiller.
- Qu'est-ce que tu fais là?
L'enfant ricana. Je ne disais rien alors qu'il s'asseyait sur le bord de son lit. Machinalement, je levais mon bras. Ce fut surprenant quand l'enfant le leva aussi. Boi avait de tels pouvoirs? Je fis bouger ses deux mains.
- Qu'est-ce que tu--?!
Je fermais la bouche de l'enfant et laissais seulement échapper ses cris étouffés. Sa main droite vint attraper son bras gauche et je le fis tirer le plus fort possible. Des larmes vinrent rouler sur son visage lorsque son bras droit s'arracha complètement de son corps.
J'ai gardé(e) l'histoire originale en changeant quelques formulations; j'espère que la traduction sera assez bonne. Si vous avez des questions ou des remarques, je suis ouvert(e)!
