La Chronique d'un adolescent, tout simplement.

Chapitre 1

👆🏻 Pdv Ashley 👆🏻

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Ashley passa à côté de moi en me frôlant sans rien laisser paraitre comme si mon existence était à peine visible à ses yeux d'un bleu irritant, elle me déstabilisait a un tel point que j'en tournais la tête.

pfff quel gamine!  Elle joue bien un rôle qu'elle n'est pas, j'en suis sûr qu'elle n'est pas elle même enfaite pourquoi je pense à ça au juste?

- Hey mec, ça va? Dit Hardin.

- Oui, dis-je aussi calmement.

- T'en fais pas pour cette fille elle est bizarre, Répliqua t-il.

J'hocha de la tête, Bizarre dit-il? Conne plait-il. Je souriais seul à ma blague personne le remarqua et tant mieux.

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En cours le temps passe lentement j'attends la fin des cours avec impatience. Aujourd'hui je dois rentrer à pied ma mère a une réunion à faire malheureusement Je me rejoue le plan du chemin que nous avons fait en voiture ce matin j'en ai au moins pour une bonne trentaine de minutes de marche ça me plait déjà, moins de temps passé avec autrui plus je me comporte mieux. Pas que je n'aime pas ma "mère" mais j'ai des difficultés avec le contact familiers comme inconnu ça toujours été de cette façon d'ailleurs je n'ai pas de trouble du comportement rien du tout quand j'étais plus jeune ma mère m'a envoyé consulté un spécialiste elle croyait que j'avais des troubles autistique pour le bon contact qu'ils ont voyons!  Je suis comme eux j'aime pas le contact et je suis renfermer sur moi même, mais je n'ai rien je suis juste spécial et...

- Ta finis de rêvasser le nouveau? Me lança sèchement ma compatriote de classe.

Je secoua la tête vers le bas qu'est ce qu'elle est pénible! En relevant la tête je remarque des êtres inconnus tourner vers moi et ma chère amie.  J'en crois rougir un instant ou ce n'est qu'une illusion perçu sans doute, j'examina toute personne le plus vite possible avant de baisser la tête à mon habitude et la sonnette retentit en même temps ce qui me donna un avant gout de liberté, et oui j'en ai finis pour cette première journée même si ce n'est que le début d'un nouveau parcours.

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Je marche depuis 17 minutes environ oui je suis précis pour ce genre de chose. Je découvre les alentours petit à petit et je trouve ça plutôt à mon gout ce nouveau chez moi de toute façon je n'ai pas le choix de l'accepter.. Je me fixe de nouveau objectif qui marcherons je l'espère.
Entre l'automne et les oiseaux qui chantonnent ou les feuilles morte par terre, je ne sais pas ce qui me plait.. En tout cas ce n'est pas le soleil qui transperce en cette fin de journée que je pourrais admirer.. Moi et le soleil ça fait deux, je vous explique étant fragile des yeux figurant au soleil je préfère mettre des lunettes de soleil certes ce n'est pas la saison mais je n'ai pas le choix ce n'est pas pour me donner un style comme certain dirons non je ne suis pas prise de tête niveau "look" ça m'est égal.
Je reconnais les environs et cette maison tient.. Bizarre.. Bah oui! C'est chez moi. Si je pouvais d'écrire sous le toit que je vis c'est une maison banal parmi tant d'autre je ne suis ni riche ni pauvre juste dans le secteur des gens stable. Nous avons du déménager quand j'étais petit car je ne pouvais pas supporter des voisins si proche de notre habitation ou je faisais des crises pas de gaminerie mais d'angoisse et ça m'arrive parfois encore c'est difficile a expliquer ce phénomène c'est pourquoi j'évite les endroits surpeuplés vous allez me dire "et le collège alors?" On fait avec fin je fais avec dans mon ancien collège ils avaient placé un système rien que pour moi ils avaient mit ma classe au premier étage si j'en faisais une je pouvais vite sortir enfin bref c'est galère tout ça. 
Je tournais la clé dans la serrure et ouvrait la porte l'air de dehors contractée avec celle de chez moi me donnait des frissons dans le dos, entré je fermais la porte derrière moi et me collait contre celle ci et en reprendre mes esprits, petit à petit je me sentais bel et bien en sécurité avant de me laisser tomber à terre ce qui me provoquait une autre crise d'angoisse je m'en étais rendu compte bien avant mais il fallait que je décompresse avant que ma mère reviennent je ne voudrais pas plus l'inquiéter qu'elle l'est déjà.
J'essaya bien plus que de mal à remonter la pente dans ces escaliers interminable, à l'étage je frôlais le mur qui mena jusqu'à ma chambre arriver à hauteur du lit et je me laissais tomber sur celui-ci. Je sentais mon coeur battre vite et ma respiration se saccadée et en un déclic plus rien, l'épuisement total, ce qui me faisait m'endormir.

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