- Ça tombe bien j'adore les longues histoires d'amour.
Hurla Ellen en gesticulant au fond de son siège tout en se tapant frénétiquement dans les mains.
Je jette un furtif regard à mon mari et regarde le publique silencieux je lâche un petit rire nerveux.
- Et bien...
- Tout à commencer dès notre enfance .
- Oh un amour de jeunesse. C'est tellement mignon .
Je regarde Adonis avec un légers sourire .
- Pas exactement...
- Dite moi tout ça reste entre nous.
Je ris avec le public est je décide de prend la parole.
- Je vivais dans le Bronx, dans une petite maison complètement délabré avec ma mère, je ne connaissais pas mon père en fait ma mère était une...
Je souffle doucement avant de continuer .
-...Prostituées, Donc mon père aurait pu être n'importe qui. Elle n'a jamais vraiment cherché à savoir qui c'était, et même après ma naissance elle continuait c'est petites affaires, sa vie se résumer à boire, fumer, se droguer et... À ramener des hommes à la maison. Je me rappelle même d'un soir où elle m'avez enfermé dehors toute la nuit parce qu'il y avait plusieurs hommes...
Je reprends doucement ma respiration en me remémorant ces souvenirs affreux Adonis me caresse doucement le genoux.
- À l'âge de mes onze ans j'en ai eu assez de cette vie. Je ne pouvais plus continuer à faire semblant de vivre une vie normale. Ce n'était pas normal alors, j'ai pris un sac j'ai mis tous mes vêtements, de la nourriture, volé de l'argent à mère et je suis parti sans jamais me retourner.
- Vous ne connaissait pas encore Adonis ?
- Pas du tout j'étais seul.
- c'est tellement émouvant ! Et toi Adonis ?
- Bien moi je vivais à Harlem , dans un appartement de mer.. dans un appartement avec ma mère et mon père. Ma mère était atteinte d'un cancer du sang et n'a pas survécu... Mon père l'a très mal vécu et à sombrer dans l'alcool. Vous savez quand un homme est saoule il a plusieurs émotions il peut être triste et pleurer,il peut être heureux et rigoler, mon père lui c'était la colère il était violent. en deux ans il m'envoyer douze fois à l'hôpital... Et le jour de mes treize ans... J'en avais assez de me prendre des coup, de ne plus pouvoir bouger ou marché alors j'ai moi aussi pris un sac et mis tous mes vêtements, vidé le frigo entier et je suis parti pour toujours.
Le silence trôna de nouveau dans le plateau,Ellen nous regarder attentivement, les caméras étaient braqués sur nous, et le public attendait avec un silence de mort la suite.
- Et après que c'est il passé ?
Nous demande Ellen en fronçant les sourcils.
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