Chapitre 4

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Tout était flou, mais les couleurs et les mouvements y étaient. Je voyais des mouvements rapides tous bleus. Ils avaient l'air stressés. Lorsque je repris mes esprits, je reconnu l'endroit. L'hôpital, génial. J'aperçu ma mère à côté de moi. Je ne pouvais pas bouger. Vous allez probablement me dire, "ah pour une simple coupure, c'est moumoune". Mais c'était bien plus qu'une simple coupure.
(Moi) maman? Pourquoi sommes-nous ici? C'est rien de grave, une simple coupure. On peux rentrer chez nous maintenant?
(Ma mère) tout vas bien ma chérie, tu vas t'en remettre.
(Moi) Non, ça ne vas pas bien! (Je reposa ma question plus méchamment.) OÙ SOMMES NOUS? Criai-je.
(Ma mère) Lili, calme toi ! Tu vas empirer ta blessure!
C'est à ce moment que j'entendis une voix intérieure me dire de partir, de m'enfuir. Elle me disait de suivre l'ombre. Le garçon était si beau, un deuxième Zac Effron. Durant mon long dodo, mes idées se sont éclaircies. J'avais un prénom dans la tête sans savoir pourquoi. Alex. Alex. Alex. Les médecins partirent et j'étais seule avec ma mère. Le garçon revenu. Je fixais les garçon.
(Ma mère) que regarde-tu?
(Moi) Alex.
(Ma mère) qui? Ça doit être les calmants.
(Moi) c'est pas les foutus calmants! C'est lui, juste lui.
(Ma mère) je reviens, je vais chercher un médecin.
(Moi) NON!
Elle part.
Mauvaise idée maman.
Je débrancha les fils qui étaient dans ma peau, les aiguilles aussi. Je me leva avec difficulté à cause de ma jambe. Je parvins à me lever, puis commença à marcher comme une dame de 92 ans. Ça fais mal. Très mal. À l'instant même, je me sentis douce et libre. La douleur était partie... Mais, le garçon était la. Il me disait quelque chose. "Suis-moi"
Où veux tu que j'aille? Dans la cafétéria pour que tout le monde me vois? Franchement, un peu plus d'originalité, quand même.

À SUIVRE...

Le destin de ma vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant