La proposition d'un milliardaire

Chapitre 14

Sur ses paroles Dareios était partit en la laissant seule. Elle allait sûrement réfléchir longuement assez pour profiter de sa fille pour ensuite s'occuper d'elle qui n'avait de cesse de le fuir. Mais contre tout attente elle était rentrée dans la chambre les poings serrés.

- comment ça vous n'en avait pas fini avec moi ? Chuchota-t-elle

Posant sa fille dans son berceau Dareios avait tendu son bras en direction de la sortie.

- suiver moi Peyton gronda Dareios en la poussant dans son bureau.

Se retournant vers lui en colère, Peyton avait croisé les bras dans l'intention de lui dire tout ce qu'elle pensait de lui. Mais un fois retourné il avait glissé son regard sur son corps en approchant dangereusement tant que Peyton avait buté contre le bureau, sans pouvoir sortir le moindre son captivé par ses yeux bleu, Peyton avait viré au rouge quand il avait écrasé ses lèvres sur les siennes. Le repousser était sans doute la meilleur chose à faire mais elle n'en avait pas envie.

Dans le feu d'une passion telle que Peyton ressentait la chaleur se propager entre eux, elle avait glissé ses doigts dans ses cheveux noir. Portée dans ses bras comme une mariée, elle l'avait vue changer de pièce pour la déposer sur le lit. Sans doute dans sa chambre Peyton aurait bien voulut regarder à quoi elle pouvait ressembler, mais elle était trop occupé à admirer l'homme se déshabiller si vite qu'elle avait haleté sous la surprise de voir son corps à la lumière. Que fait tu Peyton se dit-elle à chaque fois qu'il approchait. Envahi par le désire de recommencer se moment si parfait qu'il lui avait donné l'autre jour, Peyton avait reposé sa tête contre le matelas en le laissant faire glisser sa robe le long de ses hanches.

- je ne m'étais pas trompé agápi tu es magnifique.

Fermant les yeux bouleversée, Peyton sentait ses lèvres toucher les siennes si lentement qu'elle n'en pouvait plus d'attendre qu'il possède son corps.

Glissant une main dans son dos, Peyton cherchait ses omoplates comme pour se projeter dans le même instant incroyable qu'elle avait vécu quand son membre l'avait prise. Ouvrant les yeux au moment où il l'avait pénétré Peyton avait laissé un soupire de jouissance s'échapper de ses lèvres humides qu'il prenait plaisir à goûter à chaque mouvement de ses hanches.

Dareios sentait bien plus que du plaisir qu'il n'avait put ressentir la première fois, si douce qu'elle était Dareios ne désirait qu'une chose que cela dure le plus longtemps possible, agrippé à ses épaules ses cheveux roux laissait faire un travail remarquable en mettant à profit cette couleur vif donner à ses yeux vert un unique reflet.

Enlaçant la jeune femme, il avait déposé un baiser ardue sur ses seins en écoutant la voix douce de la jeune femme se mélanger à la sienne en marquant la fin d'une longue et incroyable jouissance.

Les yeux baissés sur ses vêtement éparpillés sur le tapis, Peyton allongée sur le corps de l'homme était surélevée suffisamment pour avoir une vue pleine sur les vêtement de l'homme au loin qu'il avait jeté violemment plus tôt en laissant un tableau réel lui faire violence dans sa tête.

Elle venait de craquer.

Elle en était consciente assez pour s'en mordre les doigts.

Posant un pied par terre nue et tremblante, son poignet avait était saisie.

- vous fuyez mademoiselle Jaden.

- je souhaite me rhabiller.

Nue en laissant ses cheveux retomber sur ses hanches, Dareios pensait d'abord avoir à faire à une muse mais la colère l'avait envahi.

- non vous souhaitez fuir rétorqua Dareios en se levant.

Imposant toute sa puissance en s'approchant, Peyton s'était reculé en récupérant sa robe, passant ses jambes rapidement pour enfiler sa robe Peyton avait rétorqué.

- on aurait pas dût faire ça.

- faire quoi l'amour ?

- ne jouer pas sur les mots !

Glissant un doigt dans ses cheveux il souriait fièrement.

- et ça ne se reproduira plus ajouta Peyton en baissant ses yeux sur son sexe gêné.

- c'est ce que vous aviez dit l'autre jour vous venez de prouver le contraire Peyton.

Ecarquillant les yeux outré elle s'était reculée désarmé face à tant d'arrogance.

- vous ne manquez pas de toupet ! Ainsi c'est comme ça que vous piéger vous victime en les séduisants pour mieux les humilier !

Saisie pas les épaules avec froideur, elle avait hoqueté.

- vous ne me connaissez pas siffla-t-il je vous interdit de me parler sur ce ton.

Percevant un éclair de fureur dans ses yeux bleu, Peyton avait levé le menton en regrettant d'avoir crû qu'il était différent des autres.

- vous avez beaucoup de chance d'avoir Alyana entre nous sinon je serais déjà partit riposta Peyton.

- vous avez raison dit-il froidement en la relâchent. je vous paye pour que vous vous occupiez de ma fille vous savez ce qu'il vous reste à faire.

La porte claqué, Peyton avait serré ses chaussure qu'elle tenait envahi par le regret et l'envie de le gifler. Essuyant une larme solitaire qui rouler sur sa joue elle avait claqué la porte à son tour.