Parti 4

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Asalamu alaykum

Une fois ma mère parti je m'assois sur un siège et réfléchis. C'est dans mes habitudes de rester seule pour prendre du recul afin de ne pas lacher prise. Moha s'assoit à ma gauche et me regarde, je ne l'ai pas vu mais je l'ai sentis. Je ne prête pas attention et continu à pensé. Au bout de quelques temp je regarde l'heure qui affiche 20h11, j'était choquer de voir que le temp est passé d'une rapidité incroyable. Je lève ma tête et vois "mon cousin" qui parlait avec Moha et Selim ainsi qu'un jeune de leur âge que je ne connais pas. Je fini par me lever et traverse le couloir pour prendre l'ascenceur mais je fut couper par Selim, qui me rattrape 

Selim: tu va ou comme sa?

Moi: je vais juste prendre l'air

Selim: humm vazi mais t'éloigne pas trop, garde ton tel sur toi, et si tu veut rentrer dit le moi hein (en mettant sa main sur ma joue)

Moi: oui t'inquiète pas akhy je reviens dans pas longtemp 

Il me souris puis il retourne s'assoir auprès des gars tandis que moi je descend. A l'accueil je vois plusieur jeune qui aurai l'age à mon frère et mon oncle (càd la vingtaine), ils sont entré en furi puis les peux blesser cri partout pour qu'on prène en charge les plus blessé. A peine un pied dehor que mon telephone sonne, je répond en pensant que c'est Selim ou Moha ou peut être même ma mère mais à la place c'est une voix féminine que je reconais vite fait

Moi: wee 

Docteur: excuser moi madame je n'est pas trop le temp mais pourrais vous m'accorder une faveur

Moi: je vous écoute

Docteur: pourriez vous vous rendre dans mon bureau s'il vous plait le plus vite

Moi: j'arrive de suite

Je raccroche puis cours jusqu'à son j'ai galéré avec le nombre d'homme qu'il y avait et je suis sur qu'il s'agissait d'un règlement de compte. J'entre dans le bureau sans toquer mais c'était déjà ouvert et puis le docteur ma fait flipper, je m'attender au pire. Je rentre en furie et remarque que c'est bonder d'homme. J'avance jusqu'au bureau du docteur, elle ne m'avait pas encore vue, je la surprend en contournant sont bureau pour mettre près d'elle pencher en avant les mains poser sur le bureau.

Moi: je vous écoute (en regardant droit devant)

Docteur: ah vous êtes la 

Moi: hum (en froncant les sourcils)

Docteur: alors je sais que vous vouler être infirmière 

Moi: vous m'avait appeler pour sa 

Docteur: hum oui à vrai dire votre oncle ma demander de vous occuper un peu et j'ai penser à une petite participation pour soigner quelques bobo

Moi: *rire* vous penser vraiment que c'est le moment 

Moha entre comme un jnun, un sourire en coin, il me souris de toute c'est dent, en plus tout les hommes qui parlaient fort chuchoter pour comprendre qu'est ce qui ce passait

Moha: oui c'est le moment

Moi: c'est mort Moha

Moha: arrête de faire la pédale t'est obliger de toute facon tu veux pas rentrer a la maison et rester pendant des heures sans bouger c'est pas mieux et rajoute aussi que t'est obliger

Moi: mais tes un vrai jnun toi et Baba ?

Moha: ta gueul insha Allah kheyr aller je bouge salam ma nièce préférer

Moi:ouai c'est sa salam

Je regarde Camille (docteur) elle me souris de toute c'est dents prête à exploser de rire. J'avoue que moi aussi je rafermisser ma bouche afin de ne pas éclater de rire. Pour quoi ? Parce que Moha ma taper la honte puis tout les hommes présent on arrêter de parlait et nous regarder en oubliant leur douleur et y en a un qui c'est endormi alors que la scène n'a durer que 2 à 3 minutes.

Camille me demande de la suivre puis nous nous dirigeons dans la salle d'attende, on devaient s'occuper des petits "bobo". Elle m'explique comment faire, les gestes à faire ou à ne pas faire. Je m'occupe d'un homme je lui parlais même pas meskin alors que Camille elle papoter avec celui de qui elle s'occuper pour qu'il oubli la douleur. Moi c'est limite si je lui fait pas plus mal qu'avant. 

Legars: ow doucement tu me fait mal la cousine

Moi: smeh *en faisant un effort* ta mal où?

Legars: regarde la sur ma main belek tu me fait mal 

J'hoche la tête en regardant sa plaie, il avait une grosse plaie je sais pas comment il à fait, je le désinfecte puis je met un bandage puis lui remet la manche de sa veste jusqu'au poignet puis le regarde pour la première fois vu depuis le début je n'ai pas son visage. Etrangement il me rappeler quelqu'un, ah oui il ressemble énormément à mon "cousin". Mais je ne me creuse pas la tête plus que sa.

Moi: c'est bon j'ai fini ta besoin d'autre chose

Legars: oui stp tu sais pas ou c'est la chambre 255B 

Moi: alors la pas du tout

Legars: tes sah tu travail pas içi ou quoi ?

Moi: non je travail pas ici mais elle la *en désignant Camille* elle peut t'aider

Legars:  et pourquoi tu ma soigner alors? Et qu'est ce que tu fait la stp

Moi: par Allah moi même je sais pas bref salam

Je m'en vais rapidement sans le laisser répondre. Mais il abuse grave Moha et puis Camille croyait vraiment que j'allai rester à soigner tout le monde pff...

Petite fille mène la vie durOù les histoires vivent. Découvrez maintenant