Une épreuve douloureuse.

1

L'attachement est une absurdité, une incitation à la douleur.
________________________

Je n'ai jamais eu une grande famille, ma famille se résumer à ma grand-mère, mon grand-père, ma tante , son mari , ma cousine et mon oncle. Je ne leurs est jamais crié au et fort que je les aimais mais je le pensais au plus profond de mon cœur.
J'aimais par dessus tout passer du temps avec mon grand-père, j'adorais ses blagues de mauvais goût. Il s'est marié très jeune avec ma grand-mère car à l'époque cela était très mal vu de fréquenter quelqu'un sans être marié. Il a vécu la guerre d'Algérie comme la plus part des grands-pères à l'époque , il est revenu avec de lourde séquelles. Il aurait aimé voyager mais, il n'y a pas pu à cause de ces responsabilités qu'il avait à la maison s'occuper de sa femme et ses trois enfants. Il adorais le tir , quand j'étais petite je jouais souvent avec ses pistolets qu'il y avait dans sa chambre. Après en étant plus grande, je suis aller nous inscrire dans un stand de tirs et c'est devenu notre activité à nous.
Je ne sais pas si certaines personnes on remarqués mais je parle de lui au passé car c'est lui cette accident...
Quand il est mort de ce cancer tout à basculer. Je n'ai plus vu ma famille, ma grand-mère est partie  en maison de retraite tellement elle était triste et dépitée d'avoir perdu son mari. Ma tante, son mari et ma cousine  on déménage. Mon oncle est parti au Canada s'exiler, je suppose.
Ma mère, c'est renfermée sur elle même, elle me souriait de ce sourire faux dès que nos regards se croisait pour montrer qu'elle allait bien alors que c'était absolument faux.
Mon grand-père a toujours remplacé mon père qui n'avait pas daigné se montrer le jour de ma naissance. C'était à lui que j'offrais mes cadeaux des fêtes des pères qu'il accrochait dans sa chambre. C'est lui qui m'emmenais et me ramenais à l'école car ma mère travaillais énormément pour subvenir à nos besoins. C'est lui qui à fait des bisous sur mes blessures, qui m'a appris à faire du vélo.
Aprés cette accident, je ne sortais plus avec mes amis qui après sont devenues des vagues connaissances. Avoir une amie en deuil, n'était pas super cool pour eux.Mon petit ami de l'époque Adrien me trouvais trop triste et ennuyeuse et est donc sorti avec ma meilleure amie Salomé. Je n'allais plus au lycée, je passais mes journées dans ma chambre dans le noir complet ou au stand de tirs où j'avais l'habitude d'aller avec mon grand-père.

RETOUR À LA RÉALITÉ.
On me sortie de mon sommeil en me secouant.
- "Chérie, lève-toi le camion de déménagement arrive dans pas très longtemps. Habille toi et met t'es derniers cartons dans le salon"
Après que ma mère soit sorti de ma chambre fin celle qui va devenir mon ancienne chambre, j'entre pris de m'habiller et de faire le minimum niveau toilette. Je m'étudie quelque minute dans le miroir. J'ai toujours eu la peau très pâle, j'étais brune au yeux vert qui était accompagné de jolie cernes violet en dessous des yeux à cause de mes terreurs nocturnes depuis l'accident

Je vais dans la douche, puis je me lave le corps, les cheveux et le visage. Après ça, je prend une serviette que j'en roule autour de mon corps que je coince sous mon aisselle. Je me lave les dents, puis m'habille avec les vêtements préparé la veille.
Je descends les derniers cartons puis par me chercher des gâteaux pour mon petit-déjeuner.
Ma mère avant eu la charmante idée se déménager de notre banlieue parisienne contre une maison dans une campagne.
Elle me l'a annoncer en me disant que c'était pour "une nouvelle vie"
J'avais acquiescer cette idée me laissait de marbre mais si cela pouvait la rendre heureuse que bien lui fasse.
Ma mère est une médecin qui travaille dans un grand hôpital à Paris. Elle a demandée à être affecté dans une campagne près de Bordeaux, un de ses collègue à lui aussi été affecté là-bas. Je me souviens que ma mère l'appréciais  beaucoup au point d'avoir eu une petite histoire qui avait du se finir à cause de ce déménagement. Je n'avais pas eu l'occasion de le voir mais je me souviens qu'il s'appelle Arnaud.
Elle a acheter une maison là-bas, elle m'avais déjà inscrit dans un lycée.
Je me dirige vers la voiture.

Je m'assoie et commence à lire songe d'une nuit d'été de William Shakespeare. Une fille de cette histoire s'appelle Héléna, c'est de la d'où vient mon prénom m'a dit ma mère. En parlant d'elle ,la porte du côté conducteur s'ouvre , ma mère met le contacte et crie presque
-"Go vers notre nouvelle vie"
Elle se retourne vers moi , elle me sourie. Je hoche simplement la tête et repars dans ma lecture pour ces cinq heures et vingt minutes de route.