Je ne tiens pas assez à la vie pour craindre la mort.
____________________________________________________________Je n'arrive pas à dormir du-coup je monte sur le toit pour admirer la ville, j'étais perdu dans mes pensée quand je me rends compte que le soleil se lève petit à petit se qui donne tous son charme à la ville.
A un moment je me suis dit qu'il fallait que je dorme au moins quelque heures avant que ma mère vienne me réveiller.
Emmanuelle- « Chérie, lève-toi, il est presque quatorze heures. »
Je me lève d'un pas nonchalant,j'avais décide la veille que j'irais m'inscrire dans un dojo que j'avais trouvé sur internet qui était au alentours de chez moi.
Je prépare mon sac de sport qui se compose d'un jogging, brassière, t-shirt,baskets et une gourde d'eau.
Je descends pour prendre mon repas puis prévenir ma mère que je ne serai pas là cet aprèm-midi.
Je prends ma moto et me dirige vers la salle de sport.
La devanture avais l'air assez neuve,j'ouvre la porte et tombe directement sur une énorme salle, à gauche il y a un énorme ring rouge puis à droite c'est la musculation et les machines pour se défouler. Un homme d'une cinquantaine d 'année est derrière un comptoir avec quelques prospectus.
L'homme- « Bonjour, je peux t'aider ? »
Héléna- « Oui, enfaîte j'aurais aimer m'inscrire ? »
L'homme- « Tout d'abord vous allez faire quelques papiers par rapport à la sécurité, les équipements, l'assurance. »
Je signe ses papiers, je paye mon inscription puis le patron appelle quelqu'un pour me faire la visite il se nomme Hugo.
Un jeune homme qui devais avoir deux ans de plus que moi, les cheveux aussi sombre que ses yeux, il me regarde avec un regard hautain qui montre que j'ai du le déranger dans ce qu'il fessait.
Héléna- « Bonjour. »
je n'ai aucune réponse de sa part.
- « Tu pourrais me dire Bonjour au moins non ? »
Il me lance un regard noir, Il me montre toute le dojo puis il m'indique les vestiaires, je m'avance
pour aller me changer alors que je sens qu'on m'attrape le poignet.
Hugo- « Ne crois pas courageuse, forte juste parce que tu es inscrit à cette salle. Tu es juste pauvre fille qui veut attirer le regard des hommes, tu vas sortir dans une petite tenue pour faire du sport comme toute les filles qui s'inscrivent ici donc ton arrogance tu le ranges. »
Je me défais de l'emprise qu'a sa main sur ma main d'un coup sec puis je lui lance un regard noir.
Je sors des vestiaires avec un jogging noir, brassière noir, t-shirt de krav de mon ancienne salle et je n'ai pas apporter de chaussure car sur le tatami on a pas le droit aux chaussure. Je cherche du regard le certain Hugo. Je le trouve entrain de draguer une fille qui est entrain de muscler sur une machine, je m'approche de lui.
Héléna- « Hey toi, viens te battre pour que tu vois qui je suis »
Hugo- « Tu aimes bien être en danger princesse, et moi j'aime le danger donc je suis d'accord pour me battre avec toi même si tu vas perdre »
« Eric, on a besoin d'un arbitre pour un combat amical fin presque »
Celui qui m'a fait l'inscription vient je suppose qu'il s'appelle Eric, il me lance un regard du genre pourquoi tu fais ça. Si ils croient que je suis une petite chose fragile ils se mettent le doigt dans l'œil.
On se met tout les deux sur le ring, je mets mes bandage puis mes gants et protège dents. On se salue puis on se met en position de garde, il commence par me mettre un poing verticaux que je détourne avec une clé de bras. Il essaye de me donner un coup dans le ventre qu'il réussi, je me plie en deux puis je me relève et enchaîne coup de poing coup de pieds puis il attrape mon pieds et me met par terre, il me donne un coup de pieds dans le visage. Ce qui me donne la tête qui tourne je tombe à terre, je me relève en titubant. Il m'a tourné le dos une grosse erreur, je lui donne un coup derrière le genoux ce qui le faits'agenouiller il se retourne puis je lui donne le coup fatale coup de pieds génital et je lui rend l'appareil avec son coup dans le visage. Eric annonce la fin du combat, je m'abaisse à sa hauteur et lui chuchote « règle importante ne jamais tourner le dos à son ennemie si il n'est pas complètement à terre » puis je descends du ring et je vais me changer.
Ma mère n'est pas encore rentrer, il ne faut surtout pas qu'elle voit l'état de mon visage car elle va me tuer, les conditions pour faire le sport que j'aime était de ne pas avoir de blessures c'est raté. J'ai un hématome sur le ventre, ma cheville à des bleus ou il a serré, ma pommette est bleu violet et une lèvre fendu.
Pour le bleu sur ma pommette, je vais lui faire croire que je me suis pris une porte elle ne va pas du tout me croire. Pour ce soir je ferai semblant de dormir, pour l'instant je vais mettre de la glace.
J'arrive au lycée tout le monde me dévisage, super nouvelle rumeur la nouvelle se bat au moins personne ne viendra me chercher les problèmes même Maëva me regarde avec un regard qui montre ça peur façon je n'ai jamais eu besoin de personnes alors pourquoi j'en aurai besoin maintenant.
Je vais en français ,c'est le cours où je suis à côté d'Arthur je ne lui est pas reparlé depuis qu'il est venu chez moi. Il était déjà à sa place, il me regarde je dirais plus qu'il me détaille de la tête aux pieds ce qui me donne l'impression d'être un livre ouvert. Je me dirige vers ma place, il détourne les yeux vers la professeur qui fais sont entrée.
Arthur- « Belle blessure la guerrière »
Je le regarde et sourie puis mon regards rencontre celui de Maëva elle tourne directement la tête comme ci j'étais quelqu'un d dangereux.
« Ne t'inquiète pas, elle va te reparler elle est juste choquée. Les personnes ici n'ont pas l'habitude des comportements comme les tiens dans cette campagne tout le monde se parler personne ne se bat, certaines rumeurs vont vite. »
Héléna- « cela m'importe peu. »
Arthur- « ce n'est pas en ignorant t'es sentiments que tu vas t'endurcir. »
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Une épreuve douloureuse.
Teen FictionPrologue️ Avant l'accident, j'étais cette jeune fille de seize ans souriante, qui avait énormément d'amis, qui sortait souvent. Je riais aux écalts à des blagues qui n'étaient franchement pas drôle, mais tellement mon coeur était rempli de bonheur...