Chapitre 11

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FLASH BACK

- Maman, où est-il ?
- J'ai pas mon temps ! Tu vois pas que je bosse ?
- Mais maman, tu ne comprend pas, il a pu lui arrivé quelque chose ! Ça fait 8 mois que Will est parti !? Tu lui as dit de s'en aller, je t'ai entendu, maintenant, j'ai le droit de savoir.
Ma mère était assise, derrière son bureau, me regardant dans le reflet du miroir d'un air méprisant. Elle se retourna brusquement, en me crachant que ; ce n'était plus son problème. Qu'il soit parti ou qu'il soit là.
Qu'ils partaient tous, qu'il était un de ces hommes, idiot et vagabond.
Que mon frère, m'avait laissé avec elle, et qu'il fallait que je me rentre ça dans la cervelle, d'enfant incomprise, et débile.
- Je suis pas débile, avait -je répondu aussitôt.
- Tu l'es. Où sont t'es amis ? Je n'en vois aucun ? Tu reste seule et ne ramène personne à la maison, tu comprends rien, depuis que ton père est mort et que ton frère est parti, t'es une larve, indésirable et néfaste pour moi.
- Ta gueule, dis - je. Ta gueule, me répète - je dans la tête. Elle se leva, marcha vers moi et se pencha légèrement, pour me faire face. Elle sourie, puis d'un revers de la main droite, me cogna.
une, deux, trois.
Il suffisait de fermer les yeux pour me dire que ce n'était pas la réalité, un espèce de cauchemar éveillé, Impossible, je perdis l'équilibre, puis tomba...En une fraction de seconde, je revenais à l'état de sous merde où je me trouvais , ce n'était pas un rêve, la douleur était réelle, puis
un, deux, trois.
Elle arrêta de me frapper. J'était encore à terre et puis elle s'accroupis pour me parler ;
- Tu as le droit de savoir après tout, Ton frère t'a abandonné lâchement, en disant que toi, la plaie que tu es "Serais - inutile pour le monde". Dit - Elle.
- Je.. je.. Tu mens.
- Écoute moi bien, dit -elle
Je la regardais, elle me transpercée, litteralement du regard, elle s'apprêtait à dire, des choses horribles comme tant de fois.
Ton frère que tu aimes tant et à qui tu voue un culte incompréhensible à tuer ton père chéri, reprit -Elle.
- C'est faux, tu mens dis - je. D'un ton ferme.
- Tu lui demandera si tu le retrouves, un jour, et le questionera sur son départ. Maintenant dégage.
Elle se releva puis me mit un coup de pied dans les côtes. Je me leva rapidement et courrus, hors de cette pièce et loin d'elle, ce monstre qu'elle était devenu, je me rua dans les couloirs, qui eu me menerait à un endroit, un refuge, ma chambre.
Elle me battais , et j'avais finis par l'acceptais, mais qu'elle me dise aussi cruellement que mon frère l'avait tué, sans une goutte d'émotions. Elle me rendait amer, mais plus forte. Je la hais, mais tout les rôles s'échangeront. Je le hais, même si je ne pense pas que cela soit vrai, elle ne mentirai pas, je le sais. Plus jamais,
je n'aimerais. Je ne vais pas m'enfonçais dans la tristesse, c'est trop facile. Il me faut un but. Net et précis.

OFF
RETOUR AU PRÉSENT :

- RÉVEILLE TOI !
Putin c'est quoi ce taré qui crie ? Personne me crie dessus dès le matin. Il est malade.
- CRIE PAS COMME ÇA, SALE CONNARD, criai - je à mon tour toujours les yeux fermer.
J'ouvris les yeux, vis un mec plutôt canon, mais bien casse couille, dès le matin, enfin je suppose que c'est le matin, vu que y'a qu'une lampe.
État des lieux agent Lismel ! Oui je suis toute seule dans ma tête....

Alors vous êtes allongée par terre, les mains liés dans le dos, et vêtu d'une tenue plutôt incorrecte pour la femme respectable que vous êtes. La pièce est sombre et un homme s'y trouve, il a les yeux gris, bleu, un regard charmant et des cheveux soyeux... Oh la voix dans ma tête, j'ai dit un état des lieux, pas de mater le gars.
- T'es qui, pour me casser les couilles ? Dis - je, en essayant de me redresser, et pourquoi je suis en sous vêtement bordel !?
Il s'approche de moi et me serre la mâchoire avec sa main rugueuse là !
- Je suis ton responsable chérie.
- Déjà, je vais te remettre sur le droit chemin, plus jamais de chérie, ok ? Chérie, dis -je, en l'imitant.
Un gars arriva derrière le mec au cheveux soyeux, je vais l'appelait paillette, et lui dit :
- Chaym's on est tombé sur une drôle, un peu non ?
- Ouais, mec j'ai remarqué ça.
- Ouh ouh, je suis là, pourquoi je suis en sous vêtement ? Dis - je.
Ils me regarda deux secondes, puis continua à faire comme si, j'était pas là.
La blague.
Chaym's (Alias Paillette) parla, de menotte, flingue, bar puis vêtement, me sentant concerner, je retenta ma chance.
- Bon, répondais moi maintenant !
- T'es en sous vêtement, parceque on devais vérifier si tu avais des armes.
- C'est une fille qui a vérifié ? Dis- je. Il rigolèrent, l autre qui n'a pas de nom, me répondis :
- Non, c'est ton responsable.
Il avait un sourire grave pervers chelou, genre pas net du tout. Je pense, si on doit se revoir, on va pas être copain nous deux.
Chaym's s'est levé et est parti avec l'autre qui a pas de nom. Ils ont claqué, la porte.
J'était à nouveau seule. En me demandant si c'était bien les chaussures de Will, et qu'est ce qu'il était devenu. Pas pour avoir de ses nouvelles, non. Pour le tuer.
Chaym's est revenu en ouvrant la porte bruillament, comme pour me réveillé, si je dormais, ce qui n'était pas le cas.
Pour rompre le silence Paillette parla :
- Avant, que tu ne pose des questions, je suis Chaym's, ton responsable, Je m'occuperais de toi pendant 6 semaines. Puis tu retourneras à tes "Occupations". Je te dirais rien de plus.
- Pourquoi 6 semaines et pourquoi vous me relâchez.
- J'ai dit que je ne dirait rien de plus.
- M'en fous.
- Parle meilleur, je suis pas ton copain.
- Heureusement, parceque t'es con.
- Ok, ferme ta gueule pour voir ?
- Non.
- Bon, ok, t'es une casse couille.
Il se leva et se diriga vers la porte, pour pas le vexé je l'appela:
- Chaym's ?
- Putin quoi ?
- Rien.
Je rigole et lui se cassa en claquant la porte. Pendant 6 semaines je vais lui cassait les couilles, c'est pas mal comme option.
Attends on reprends tout, tu rigoles? Cest une situation plutot urgente et moi je rigole ? Je suis drogué je crois ou je suis encore bourée, mais au moins j'était pas tombé sur L'union Maseltof.
sinon...
Je sais pas trop, ce que je fais là mais j'ai quand même était kidnappé, le gros délire. Je me pose énormément de question, surtout à propos de Make et Will.

PDV DE CARTER :

9h20, dans son lit.
J'ai un moment pour réfléchir à ce que j'ai fait.
Je suis con en fait ? Je lui ai dit que j'avais aimé fourrais ma langue dans la bouche de Stella, ça fait maintenant 2 jours que j'ai plus de nouvelle d'elle, je suis réellement con. C'est pas comme si je l'aimais non plus. Mais, je m'inquiète, c'est ma protégé même plus... Bon j'appelle Hollie.
Elle réponds...
- Ouais mec ? Dit - Elle, endormie
- Tu as pas des nouvelles de Lismel ?
- Hmmmm. Il est ... 9:37, tu me dérange réellement pour ÇA ! Tu as qu'à l'appeler!
- Elle me réponds plus.
- Et pourquoi si elle te réponds pas, moi elle m'aurait contactée ?
- T'es sa meilleure amie non ?
- T'es son gars, non ?
- Putin Hollie ! On se parle plus.
- Pourquoi ?
- J'ai embrassé Stella devant elle.
- Bah t'es dans une de ces MERDES, dit - Elle, en rigolant ultra fort.
Je recule le téléphone en attendant qu'elle arrête de rigoler, puis le rapproche de mon oreille.
- C'est bon, ça ta réveillé, c'était drôle ?
- Excellent même, bref, elle m'a pas parler depuis deux jours.
- Il se passe un truc non ? C'est normal ?
- Franchement oui, elle fait ça quelquefois quand elle est contrarié ! Dit - Elle, de nouveau en explosant de rire.
Vu qu'elle ne s'arreterait plus, je raccroche.
J'appelle Steven, il décroche.
- Tu te demande pourquoi Lismel réponds pas je parie ? Dit - il, d'une traite.
- Pas mal, pas mal.
- Je te réponds d'avance je n'en ai aucune idée, en plus on devait aller chercher un appartement.
- Pour qui ?
- Décompresse mec, pour elle.
- Ok, tu me dis si ta des nouvelles,
- Ouais,
il raccroche.
Ok c'est grave, je vais aller chez l'autre enculé, qui fait partie de l'union maseltof, Make, Putin s'il lui a fait du mal... rien qu'à y pensais. Oh mec, reprends toi.
Je lui avait dit de pas l'approché, ce fou là, pourquoi elle m'écoute pas. Elle se croit invincible, sans aucune séquelle. Sauf qu'elle en a.
Je me grouille de sortir de mon lit, pour aller chez l'autre là. J'espère que c'est pas lui, sinon ses jours de coma, ca sera rien a côté de se que je risquerais de lui faire.

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