Epilogue

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CINQ MOIS PLUS TARD. 

J'entre dans mon appartement et me dirige vers mon coin. J'ouvre le grand rideau qui me sert de mur et d'intimité au sein du loft. Je pose mon sac sur le planché en bois et enlève mes talons les rangeant dans mon étagère. Je me regarde dans le miroir de ma chambre une demi-seconde puis baisse la tête en enlevant ma jupe tailleur et ma chemise blanche. Je me dirige vers la salle de bain en sous vêtement, profitant qu'il n'y ait personne dans l'appartement pour l'instant et prend une longue douche. 

Je sors après une bonne demi-heure mon corps entouré d'une serviette blanche et me dépêche pour aller à mon armoire et d'enfiler un leggings et un T-Shirt noir. J'hume l'odeur d'Harry qui est rester emprisonné dans son chandail que j'ai l'habitude de porter pour dormir. Je ressors en ouvrant le grand rideau et me dirigeant vers le salon décoré d'une façon assez moderne. C'est ce qui m'a le plus plût quand je suis arrivée ici. Chaque chaises est différentes l'une de l'autre, le canapé à été trouvé dans une friperie, m'avait dit Riley, une de mes colocataires. Elle est encore étudiante à l'école d'art du spectacle Julliard. C'est une très jolie blonde aux yeux bleus d'origine Irlandaise. 

Ce n'est qu'une de mes deux autres colocataires, Sam et Colton. 

Sam est lui aussi à Julliard. Autant vous dire que les disputes entre Riley et lui sont de véritables opérettes. Quant à Colton, il travaille en tant que comptable chez les édition North, au même endroit que moi. Il me fait énormément penser à Harry. C'est pour cela que j'ai eu du mal à lui parler et à sympathiser avec lui les premières semaines. Harry me manque toujours. Il y a des fois où j'ai des crises de larmes mais il y a toujours un d'eux qui arrive à me calmer en pleine nuit. Des fois je ne me sens pas bien et je m'énerve pour un rien avec eux alors je finis par disparaître du matin au soir, le temps de me calmer et je reviens en me confondant en excuses maladroite. 

"Salut brunette." Me lance Sam alors que j'entre dans la cuisine.

Je secoue ma main dans ses cheveux blonds et lisses avant de m'asseoir sur le comptoir.

"Cette journée?" Il demande en terminant la préparation de son sandwich et d'en mordre une énorme partie en une seule fois.

Je lève les épaules doucement et le regarde dans les yeux. "Des bouquins criblés de fautes d'orthographes, comme d'habitude. Et toi?" Je demande en prenant une bouteille d'eau dans le frigo.

"Selon ma prof de vocalises, j'ai perdu ma tessiture de voix que j'avais avant les vacances d'été. Comme si c'était possible." Il ricane.

Je lui lance un regard furtif avant d'ouvrir ma bouteille. "Tu sais que toi et Riley me faîtes sentir très inférieur avec vos voix. Comme se fait-il que je n'ai pas était doter de ce talent?" Dis-je moqueuse et il embrasse le haut de mon crâne en riant.

"Ne dit pas de sôtises." 

"Je ne dis que la vérité." Je me retire de la pièce en levant les mains en l'air. Je m'allonge sur mon lit et décide de me mettre au rangement de ma commode que je remet toujours à un autre jour. A force, il finira par se briser.

Je commence par enlever mes vêtement puis les quelques d'Harry que j'avais décider de garder pour moi. Je jette tout sur le sol et attrape un T-Shirt blanc un lui que je n'avais pas utiliser depuis sa mort. Je le déplie pour l'examiner mais un petit papier y tombe.

Je le regarde un moment sur le sol et l'attrape après avoir poser le T-Shirt sur mon lit. Je reste debout un moment avec le papier dans la main et je l'ouvre finalement. Je reconnais l'écriture soigné et fine d'Harry qui avait noirci la feuille blanche.

Alexandra,

Si tu me lis, j'imagine que tu as fouillé dans mon armoire et que tu est tombé sur sur mon T-Shirt Rolling Stones  de mes 16 ans. J'imagine qu'il était juste trop petit pour moi maintenant. Je disais alors, si tu arrives à lire ceci, c'est que je ne te collais pas et ne te suivais pas comme un petit chien à travers la maison. Ou dans le pire des cas, je suis mort, ce qui ne risques pas d'arriver de sitôt. Je compte bien te faire chier jusqu'à la fin de tes jours. 

Je t'aime tellement, j'écris en ce moment alors que je me prépare à demander ta main. Nous sommes le jour de ton anniversaire, le 25 mars 2016. J'ai tout préparer. En ce moment même, Liam et Louis essayent de me trouver à travers la maison, je suis juste assis sur notre lit, à t'écrire. Quand j'aurais terminer, je sortirais de la maison, irai à Central Park, sous les cerisiers en fleurs que tu aimes tellement, et je te demanderai. Tout le monde est au courant, et j'avoue que je suis assez content que tu n'ais pas découvert le poteau rose. J'arrive à garder des secrets, parfois. Il faut aussi dire que j'ai de bons amis qui m'ont aidé à tout organisé. J'espérerai que tu liras cette lettre à mes côtés pour que j'ai l'occasion de te l'a donner, mais si cela ne se fait pas, bien joué. 

J'aimerai te dire à quel point être à tes côtés pendant ces trois ans m'a changer. Je n'étais juste qu'un petit Anglais de la campagne mais être avec toi m'a rendu plus que spécial. J'attendais la bonne personne et tu étais au dessus de mes espérance. Ma famille ne pensais pas que j'allais un jour trouver quelqu'un qui veuille bien de moi. Puis il a fallût que nous tombions dans ce trou au Mexique et que nous nous apprécions vraiment. 

En parlant de cela, je sais que tu as toujours voulu connaître la vérité à propos de cela. Alors voilà la vraie histoire et j'espère que tu ne m'en voudras pas après cela. 

Je suis celui qui a mis la drogue dans les bières car c'est moi qui ai apporter le pack avant que tu n'arrives. Je savais que tu ne m'aimais pas, mais j'étais tellement énervé quand tu ne m'avais pas inviter que je me suis inviter moi même. Mais, tu me connais si bien, des heures ont passés et j'avais soif, alors j'ai pris la première bouteille à porter de main et j'ai bu dedans. Comme on dit si bien chez moi : "Le pêcheur repêché." Puis Niall me l'a arraché des mains et l'a terminer. Voilà l'histoire. Je suis profondément désolé de tout le mal aître que tu ais put ressentir et j'espère obtenir ton pardon. 

Et encore une chose, si tu me demandais mon téléphone une fois la lecture terminé que je te montre quelques photos? Si par le plus grand des hasards je ne suis plus là, mon code est le 25/03/1992, ta date de naissance, la date de se trip au Mexique. 

Je t'aime profondément, Alexandra Alison Walker. 

xHarold Styles.

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