Dans la villa 134 de la cité Verte, une dame venait d'être conduite d'urgence à l'hôpital, elle perdait les eaux. Après 9mois d'attente interminable, 9mois à se demander de quel sexe serait l'enfant, autant de mois à se questionner sur les moindre détail de son apparence, ses yeux, seront-ils globuleux , bride ou petit; sur sa bouche, son nez; épatée ou pointu. Cette question revenait souvent. Mais la certitude était qu'il allait être aimer de tous. Premier née d'un jeune couple , cet enfant était la petite touche de bonheurs que tout le monde attendait. Persuadé que sa serait un Garçon, le père s'en vantait déjà, en Bantu qui se respecte il disait déjà à tous ses amis que se serait un jeune homme intelligent, grand, beau et fort. "Protégez bien vos filles, mon jeune fils arrive " s'écriait-il, tout fier et heureux d'être le premier de ses frères à donner un héritier mal à sa famille.
Soudain, il vit la grande porte de la sale d'accouchement s'ouvrir. "Il nous faut une sage femme pour la 4 " cria l'infirmière, les gants en sang et toute en sueur. Cette image fit peur au futur Papa. En voyant le sang sur les gants de l'infirmière, il se rendit compte que, pendant qu'il se frappait la poitrine d'être le géniteur d'un guerrier, mal, danger pour petites filles , la vie de l'un, voir des deux de ses êtres les plus chers était en jeu. Mais en se moment précis, rien ne pouvait tuer son enthousiasme, même le message de retour imminent d'hitler n'ebranlerait pas sa positive attitude.
Enfin le moment tant attendu arriva , l'infirmière qui, il y a quelque minute été toute en sang et en sueur, sortait toute propre, sourire au lèvre, accompagné d'une sage femme qui tenait dans ses bras un merveilleux cadeaux du ciel. Nul n'arrivait vraiment à déterminer quelle émotion se dessinait sur le visage en larme de ce jeune homme, qui en ce moment précis devenait jeune Papa. Était-ce des larmes de joie? Heureux d'avoir donner la vie, fier de présenter ce petit être à toute sa meute, ou était-ce des larmes de tristesse? pensant à la souffrance que ce mioche a du endurer pour respirer notre air, pensant à sa femme qui en se moment devait encore être allonger inconsciente. Mais non, il était ailleurs, dans une belle prairie sans fin gambadant avec son fils main dans la main. Il se voyait, l'aidant à faire ses devoir et lui mettant son goûter dans le cartable. Il ne dit pas un mot il resta la calme et sans aucune expression, et comme si il partager cet instant magique avec le nouveau né, celui-ci se tu et demeura calme. La pièce était grande mais on pouvais entendre les deux coeur battre la shamade. L'un amoureux de ce petit nouveau, et l'autre essayant de s'adapter à cette grande nouveauté. Puis les pleure du bébé vinrent rompre ce beau silence. 10 minutes venaient de passer, et l'on ne savait toujours pas comment allait la mère, ni de quel sexe était l'enfant, mais tout cela importait peut car il était là, en bonne santé, 10 doigt et 10 orteils. "il est entier" murmurait le père, lentement l'infirmière se rapprocha de l'oreille du père et lui dit "elle est entière " car , effectivement il s'agissait là d une fille. De toute les surprise de ce jour, celle-la était la plus grande. "Non! vous mentez" , s'exclamat le père tout en soulevant discrètement la nappe qui couvrait l'enfant. Oui, discrètement. On a beau être des Bantu mais la pudeur c'est sacré même pour un nouveau né. L'absence de penis confirma la thèse de l'infirmiere, il s'agissait bel et bien d'une petite fille que le monsieur tenait dans ses bras. "MA REINE " s'ecria t-il. À la surprise générale. Lui qui aurait tant voulu avoir un héritier, avoir un beau petit. Celui qui, il y a de cela une heure criait haut et fort qu'il aurai un fils, venait de voir ses espoir s'envoler. Comme quoi, la nature fait bien les chause. Mais convaincu que cette belle petite perle était un dont du bon Dieu il se dit de l'aimer encore plus. Il rendit la petite a la sage femme, et les yeux en larme il lui demanda "elle va bien?" , "elle est là-bas , elle vous attend " répondit cette dernière. Il se précipitatia dans la sale 4 et vit sa femme allongée toute faible qui souriait à peine, toute pale. En la voyant il se mit a pleurer et elle aussi , les larmes coulaient à flot , ils n'étaient pas tristes, loin de la, tous deux, fier de ce qu'ils venaient d'accomplir. Ces années d'attente, ces mois de souffrance, ces heure de douleurs, pour aboutir à ce petit astres si fragile, si beau, comment un si petit être, qui ne fait absolument rien à part pleurer, peut soulever autant d'émotions? La réponse se trouvait dans les yeux des deux parent qui venaient de voir un de leurs rêve se réaliser . On sentait l'amour d'une mère mélanger à ce sentiment de protection que donnait le père avec sa corpulence à la foi dominante et sécurisante, un petit moment de bonheurs, et c'est ainsi qu'ils décidèrent de l'appeler DIVINE. Divine, car seul Dieu pouvait offrir un tel présent. Inexpérimenté ce couple était comme un enfant face à un nouveau jouer dont il n'avait pas le catalogue.
Beaucoup trop de pleurs on ne savait pas trop si elle avait mal, si elle était triste, ou si elle avait juste faim. C'était tout un casse tête, mais un casse tête dont on était amoureux. Les années passèrent et Divine ne cessait de grandir. Les biberons par si, les couches par là, les réveillés de minuit, de 2h, de 4h, les premier mots "MAMA". Très souvent la petite ne savait même pas ce qu'elle disait, mais voyant l'étonnement que cela créait tout autour d'elle, elle n'arrêtait plus de le dire, les parent convaincu que Divine essayer d'appeler sa mère l'encouragaient de continuer, grosse incompréhension mais on vivait avec.
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La première foi ou Diva se tint debout , grosse expérience. Elle avait, à elle seul put lever son gros petit Corps du sol et se tenir debout comme une grande. Bien sur aidée par une table bien placée, mais pour elle tout le mérite lui revenait. La première dent qui s'en va, et premier gros mensonge des parent. "La fée des dents ". Elle avait un joli petit visage tout rond et plein de joie, mais une sale dentition jonchée de vide et de manque flagrant de quelque dents, mais cela avait aussi son côté adorable, ce n'était qu'un enfant après tout, tout le monde aimait bien voir ces horribles vide entre ces petites dents. "C'est miignonn" s'exclamaient-ils. Puis vint les premières punitions après les bêtise, privation de goûter. On pouvait la retrouver toute couverte de maquillage bizarrement répandu sur son petit visage, la petite fille voulais ressembler à sa maman. Les pleurs et la frustration lorsque Papa la laissa pour la première foi à la maternelle. Tortillant la sangle de son sac dans tout les sens , elle ne savait plus si c'était par amour ou par mépris qu'on l'avait laisser là avec tout ces inconnus qui, eux aussi en pleurs, se posaient sûrement la même question. Inconnus qui avec le temps devinrent des amis, des confident, des amours.