Chapitre 9

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Les pieds posaient sur la table basse et l'esprit plongé dans mes livres, mon attention était totalement capté.

Lorsque je reçu un objet sur le ventre, ce qui me fit presque hurlé.

Je releva la tête par surprise et aperçu Cristiano en colère, debout devant moi, torse nu, en maillot de bain, les bras croisés.

Irina : Qu'est-ce que.. !
Cr7 : Tu comptes rester encore combien de temps à lire ça ?!
Irina : Heu..combien vous me donnez ?
Cr7 : Ça fait deux heures ! Avoue que tu m'as oublié !
Irina : Mais, pas du tout

Il s'approcha de moi et récupéra la serviette qu'il venait de me lancer dessus.

Irina : Excusez moi, je me suis un peu laissée emporté..
Cr7 : Qu'est-ce qu'il y a de si passionnant à regarder des photos de robes ?

Où est passé le gentleman d'il y a quelques heures ?

Irina : Je suis surprise de Ricky, tous les magazines qu'il a choisit sont de très bon goût
Cr7 : Hé...
Irina : Quoi ?
Cr7 : Ricky a choisit ces magazines, mais c'est moi qui lui ai demandé de le faire....
Irina : Oui, c'est pour cela que je vous ai remerciez tout à l'heure
Cr7 : Et tu trouves que c'est assez ?

C'est quoi son problème ?

Ils pensent que ses arguments sont solides ?

Je ne comprends pas sa réaction..

Cr7 : Je pensais qu'en faisant ça, tu serais heureuse, mais, j'ignorais que moi, pendant ce temps là, j'allais mourir d'ennui

Attendez une seconde..

Est-t'il en train d'avouer, qu'il est malheureux sans moi ?

Cr7 : Je vais à la plage là
Irina : Dans ce cas, je viens avec vous
Cr7 : Non, pas besoin, tu peux continuer à te relaxer en faisant trempette dans tes magazines
Irina : D'accord..comme vous voudrez, à plus tard alors
Cr7 : Tu ne viens pas avec moi ?!
Irina : Vous venez de dire que vous préfériez être seul ?!
Cr7 : Oui, mais, tu dois quand même venir
Irina : Très bien, donc je viens ?
Cr7 : Peu importe, viens seulement si tu en as envie..

Il se retourna et claqua la porte de la terrasse. Du jamais vue...

Quel étrange personnage..

Au début, j'ai pensé qu'il n'était qu'un homme odieux, mais, plus je le connais, et plus je me dis qu'il ressemble juste à un enfant.

Et mon cœur, ne cesse lentement d'être attiré par lui.

Je reposa tous les magazines sur la table basse, puis je me dirigea vers le dressing.

Parmi les vêtement qu'Alicia avait choisit pour moi, j'enfila une longue robe marron qui allait bien avec mes sandales.

Et je me dirigea vers la plage.

Et je me dirigea vers la plage

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M. AveiroOù les histoires vivent. Découvrez maintenant