Tremblant silencieusement aux fins de mes souvenirs, infiniment, je compose une distante promesse. Noyé par la tristesse, détruisant le monde entier.
J'ai échangé mon désespoir avec la solitude que j'aimais tant, j'étais seul, jusqu'au jour où je t'ai rencontré.
Viens avec moi, unissons nos coeurs je t'enlèverais ces épines.
Je jouerais de la musique jusqu'au futur qui s'est écroulé. Je prendrais tes cris, et toutes autres récurrences, alors partageons ce baiser.
Ce petit oiseau trahit par l'amour continue de se promener pour obtenir sa cage pour enfermer ses émotions, même s'il n'y a pas de clé.
Comme si tu caressais mes blessures, j'étais profondément enterré dans la terre.
Dans ton poison, dans la chaleur de tes mains, mon coeur grandira dans un fiévreux sentiment d'envie.
Dans le droit de crier, je m'envolerais ailleurs,
Dans le droit de réciter un poème d'amour, si je tombe sur le sol et que je perds ce sentiment, prend ma carcasse avec tes mains et jette là dans une décharge.
Si tu te jettes de ce monde éphémère, tu seras capable de voler, même si tu es seul.
Alors, envolons-nous ?
