Chapitre II

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Pensez-vous que si Ndeye khary Diouf déteste Gnilane et sa famille entière c'est juste parce que son fils unique avait choisi d'épouser la fille de la famille la plus pauvre du village? Non mes chères et si vous voulez savoir le pourquoi du parce que, je vous invite à me suivre dans mon petit voyage dans le passé.
Tout a commencé à Thiombi ce mystérieux village qui se trouve aussi dans la ville de Fatick.
Ndeye khary habitait avec ses grands-parents dans ce village où il n'y avait ni marché pour ils allaient dans une ville appelée Gandiaye à quelques kilomètres du village pour acheter leur provisions, un puits, une école, un district sanitaire, les cases et une seule boutique dans laquelle quand tu y pénétrait tu sentais cet odeur désagréable qui te réveillai les produits variés qu'on y vendait. Mais le pire. Il n'y avait ni morgue ni cimetière, ils enterraient leurs morts dans la cour de la maison si c'est les animiste ou devant la maison si c'est les catholiques ou encore à l'endroit où il aimé être. Comme vous l'avez bien compris il n'y avait dans ce lieu aucun musulman, si tu n'est pas animiste tu est catholique. il y vivait toute sorte de personnes dans cette endroit.
Les grands parents du père de Gnilane vivaient aussi là-bas.
Le grand père de Ndeye aimait trop la mystique, même pour aller acheter une chèvre il allait consulter les saltigués.
Un jour les saltigués on annonçai qu'un homme viendrai et amènerai avec lui une nouvelle religion. Les habitants se sont tout de suite levai pour faire leurs rites afin d'empêcher la venu de cet inconnu. Mais si Dieu décide nul n'y peut quelque chose, quelques temps après une mosquée fut construite par un grand marabout. Même avec cela ils ne renoncèrent pas, ils avaient menaçait de mort toute personne qui oserai se convertir.
Le grand père de Ndeye s'en ai allé un jour demandé aux saltigués de tué le chef de village et qu'il soit nommé chef en retour et ce chef n'était autre que Mor Bakhoum l'arrière grand père de Gnilane. Ces derniers avaient accepté mais à condition qu'aucun habitants ne se convertisse à l'islam sinon il allé mourir lui même et il accepta et ils lui demandèrent de revenir dans deux semaines. Il s'en allé le dir à sa famille mais en omettant la mort du chef, elle était toute contente surtout sa petite fille qui aimait et admirait son grand père. Mais malheureusement ce bonheur ne dura pas parce que ce même chef avait décidé de se convertir pour cause de n'avoir jamais aimer et participer à  tous ces rites, tous ces sacrifices et plein d'autres choses. Lorsqu'il l'a appris il a tous fait pour l'en dissuader mais n'y arriva pas, le chef avait pris sa décision et nul ne pouvait l'en dissuader. Avant la fin de la semaine le chef s'était converti et le vieux Diouf avait rendu son âme. La famille Diouf avait tenu pour responsable Mor, surtout Ndeye qui avait promis à son grand père de le venger. Chaque jour la jeune fille se rendait chez les saltigués afin de leur rappeler leur promesse de tué toute personne qui se convertirait. Mais Dieu ne l'ai laissa pas gagner cette fois ci, le vieux mort était plus vivant que jamais et la haine des Diouf s'agrandissait de jour en jour.
Voilà la raison de sa haine sans oublier que son mari n'avais aimé que Dalanda la mère de Gnilane jusqu'à sa mort et cela elle ne pouvait le supporté.
Fin du flashback
De retour dans la peau de Shérifa
Je suivie cet inconnu dans sa voiture qui ne cessait de me regarder. La route fut très longue et je fini par m'endormir. À mon réveil il faisait déjà nuit, l'inconnu me donna quelque chose à manger et à boire. 1h plus tard il se gara devant une grande et belle maison comme celles que je voyais à la télé. Il sorti mes bagages de la voiture et m'invita à le suivre mais avant de rentrer il me dit : << ne te laisse jamais faire comme tu le faisais chez ta tante je viendrai te voir pour qu'on parle d'accord moi c'est inspecteur Sambe en me tendant sa main que je saisi. Arrivée à l'intérieur j'étais ébloui par un si beau décor et ces meubles? c'était magnifique. Il m'installa dans le salon et sorti, ce salon qui avait la taille de la maison de tante kiné. Quelques minutes après j'entendais des coq coq coq coq et je pris peur mais je compris vite que c'était les chaussures d'une dame sur le seuil de la porte. Je suis restais figé sur le visage de cette femme qui était la copie de celui de ma mère. La femme courru me prendre dans ses bras en pleurant mais je savais bien qu'elle jouait de la comédie parce qu'elle pleurait sans larmes, pourquoi elle le faisait? je savais pas. Quand elle a arrêté se pleures je l'ai regarder longtemps et j'en ai conclu que soit elle était la jumelle à ma mère soit sa soeur parce cette ressemblance était trop frappante à la différence de leur teint elle était plus clair que ma mère elle avait le même que moi mais mon teint était naturel alors qu'elle c'était pas le cas. Et mes doutes furent confirmé lorsque je lui demanda qui était-elle.
- je suis ta mère snif! La jumelle de ta mère chéri. Ah ça je le savais déjà tata me dis-je dans ma tête. Je lui demanda un carnet et un stylo.
- Ah oui j'avais oublié que tu ne pouvais pas parler. Fanta! Fanta!! Et jeune fille un peu plus grande que moi accourent.
- oui tanta?
-Un carnet et un stylo. Elle va et revient tout de suite avec ce qu'on lui a demandé et me les tendis.
- Comment ça se fait que je connaisse pas et que ma mère n'ai jamais parlé de toi?
- c'est parce que quand on s'est quitté nous étions fâché et on à le même caractère quand on se fâche aucune de nous ne voulais parlé à l'autre en première mais elle elle était rancunière donc quand je suis revenu la voir elle gardait toujours une haine contre moi  voilà pourquoi tu me connais pas. Mensonge mensonge me répète ma conscience. S'il y a une chose que j'ai pris chez ma mère c'est savoir cerné une personne et de la dupée et chez mon père de la faire avouée et de faire sortir son jeux avec de l'insolence et la franchise des deux ils disaient les mots t'elle qu'elle était sans êtres impolie
- parlent on de la même personne est ce que? Parce ma mère est la meilleure personne sur terre et rancunière non elle l'était pas elle pardonner à tout le monde quelque soit ce que tu lui faisait aussi pire que ça soit elle te pardonner et le mot fâché elle le connaissait pas. La première chose que tu voyais chez elle c'était sa belle dentition. Je voyais bien qu'elle commencé à s'énerver mais je continuer de plus belle. Et son sourire
- doynaaa ( c'est bon) cria t-elle. Je la regardée sans être surprise ni rien. Elle reprit je voulais dire que je sais tout ça. Ça se voit bien qu'elle n'aime pas ma mère mais baxneu.
- si seulement tu savais parler. Maintenant arrêtons de parler et vient je te fais visiter la maison au fait moi c'est Fatimatou. ( arrête de parler toi moi je sais pas le faire)
- comme ta grand mère?
- Oui!! Aller vient. Je la suivie elle me montré les pièces les unes plus belle que les autres et on arriva à ma chambre elle était très grande et très belle il y avait même une télé et une grosse armoire où se trouvait pleins de beaux habits, un placard avec de magnifiques chaussures et tout ça c'était pour moi. J'étais ébloui mais me méfié toujours. Elle m'expliqua le fonctionnement de la maison mais avant de partir je lui demandais comment avait elle fait pour me retrouver.
- je suis allé au village pour voir ta mère et c'est la que ta grand mère m'a dit ce qui c'était passé et c'est elle même qui m'a dit où je devais te trouvé et je suis venus te chercher quand elle m'a dit ce que tu endurait là-bas parce il ne reste que nous deux dans la famille donc je me devait de te ramener à mes côtés et c'est ce que j'ai fait.
Je vous l'ai dit elle n'est pas nette ma tante la, ma grand-mère mère ne peut pas lui dire où je vis comme ça même si elle lui avait donné tout l'argent du monde elle le ferait pas et de plus que c'est ça soeur elle gua xamni tout ce qui se rapporte avec ma mère elle déteste et en plus " quand elle m'a dit tout ce que tu endurait" comme si elle ressentait de la pitié ma chère grand-mère surtout à mon égard. Franchement il y a des gens qui ne réfléchisse pas, elle ta fait ta fête weuy quand tu est parti la voir.
- bon je te laisse te reposer allé bonne nuit à demain.
Plus les jours passés plus je me méfié même si elle faisait tout pour me faire plaisir. Il y avait plein de jeunes filles qui vivaient à la maison et disais travailler comme masseuse mais bizarrement elles ne massaient que des hommes qui était tout le temps à la maison même tard dans la nuit je l'ai voyait sortir des chambres des jeunes filles. Je restai la à les regarder faire leur honnête et nette travail.
Je grandissait et mes formes se développaient, je venait de fêter mes 16 ans mais ont m'en aurait 20. Je voyais toujours l'inspecteur Sambe il était comme un père pour moi il m'apprenait plein de choses: à me battre, comment me défendre face à une personne armé, comment semé des personnes en cas de poursuite, son métier de détective et je l'ai même surpassé parce que quand il sait pas quoi faire il venait me voir et m'a promis de m'apprendre comment conduire à mes 17 ans. Il me donner aussi plein de conseils comment je devrais me comporter dans la vie, en grosso modo il m'éduquait comme le ferait mes parents.
Les hommes qui venait dans cette maison essayer de me draguer mais ma tante leur disais tout le temps << ki xalé la >> ( elle c'est une petite). Un jour je suis descendu chercher de l'eau dans la cuisine et les retrouvés encore tous regroupé dans le salon je passé sans leur jeté un seul regard. Alors que j'ouvrais le frigo je sentis une main sur ma fesse droite lorsque je me suis retourné J'ai vu que c'était ce vieil homme qui me regarder tout le temps et qui disais tout le temps à ma tante qu'il me voulais. Je souris mesquinement et lui lance mon genou dans ses parties intimes  et sorti de la cuisine. Oui la petite fille avait grandi et je ne me laisserai plus faire. Un instant après une des filles entra dans ma chambre et commença à jacasser
- hé mouma wouyou mafi, ioe yay kan bay guagn sama client, ( la muette répond moi, tu es qui pour blessé mon client? ). Je me concentrai sur mon bouquin et ne manqué pas de sourire quelques fois.
- ioe xana dou ioe lay waxal? Ioe ning may def yalla reka ko xam ( n'est pas à toi que je suis entrain de parlé? Dieu seul sait ce que tu provoque en moi ).
So xamon nimalen diepé dofi sakh doug li guen di yess yeup ( si tu savais comme je vous déteste tu n'allais même pas rentré ici mauvaise que vous êtes) me dis je dans ma tête et sur ce je déposa mon bouquin et me lève arriver à sa hauteur elle commençait à reculer jusqu'à trébuchet et tombé sur l'essuie pieds qui était devant ma chambre. Je la regardai fixement alors que ma conscience me disait :
- moh gnouy tapet ken gniémé woula fi allé ioe ( elle ne sont que des poltrones, elles ont toutes peur de toi allé toi). Je lui fais le signe que j'allais la tué et referma ma porte sur son corps tremblant.
4 ans plus tard
- Après demain tu auras 20 ans l'âge où ta tante t'initiera à ce métier que font les jeunes filles de sa maison : se vendre, et moi en tant que père je ne laisserai jamais ma fille subir ce malheur qui est de donner son corps pour de l'argent. Ça fait 10 ans que je travaille avec ta tante et je connais toutes ses manigances fait ta valise dés que tu arriveras je viendrai la chercher cette nuit et demain si Dieu le veut nous quitterons Cap Skring. Je fit oui de la tête et quitta notre QG pour la maison.
Dans la peau de tante Fatimatou
Plus qu'une journée et ta fille deviendra comme moi. Hé oui ma chère sœur tu a coupé tout lien avec moi parce que je préférais l'argent facile, oui j'étais une prostituée et juste à cause de ça ma famille ma renié et en plus de ça Tu m'a volé mon seul et unique amour. Té souviens tu quand je faisais des bêtises et que je te faisait passé pour la responsable et toi comme une idiote tu m'appuyer mais ont te disais jamais rien toi t'étais la fille aimé et chouchouté par les parents. Et quand j'allais chez Moctar en me faisant passé pour toi mais l'idiot dès que je commencais à parlé il se levé et s'en allé en me traitant de pauvre fille je me souviens encore du surnom qu'il m'avait donné " dof bou raté ". Ah cette époque je te détestait tellement, et s'est le cas jusqu'à présent. Comme que je pourrais pas me vengé sur toi je le ferais sur ta fille et tu verras le spectacle en direct sur les chaînes du paradis. Je te promet qu'elle sera pire que moi en plus tout mes clients la  désire parce qu'on ce le dise la petite est très belle et bien formé merci pour cette belle créature. Et merci à ta belle mère qui me l'a offert sur un plateau d'or. Ah cette vieille il a suffit que je lui dise mes vrai intention pour qu'elle accepte mais elle est pire que moi parce que elle ce qu'elle voulait que je la fasse souffrir mais moi je suis gentil je l'ai bien traité même si elle est insolente.  Bon j'ai assez troublé ton sommeil comme ça et j'espère que tu appréciera ce que j'en ferais de ta fille.
J'entendis des applaudissements derrière moi et fut ma surprise lorsque je découvris ma petite nièce avec un sourire. Je m'entendais à ce qu'elle dise quelque chose elle qui d'habitude trouve toujours quelque chose à écrire mais non elle sorti en fermant doucement la porte. ki yalla rek mo xam loutakh mou mouma loko xamna sou meunon wakh, waxou malen Sénégal dh mais monde bi lay xar gniar ( Dieu seul sait pourquoi il a fait d'elle une muette parce que si elle savait parler je ne vous dis pas le sénégalais mais c'est le monde qu'elle séparera en deux).
Dans la peau de Shérifa
Qu'est ce je vous avais dit elle puait  l'hypocrisie à 100°. Je savais que cette grande gentillesse était due à quelque chose. Mon père avait tord de l'appeler " dof bou raté" parce ki dof deugleu.
Il était 5h quand j'entendis mon téléphone vibrait je me lever de suite pour allé ouvrir ma fenêtre afin que ins puisse rentrer. Je lui fait écouter l'enregistrement que j'ai fait tout à l'heure dans la chambre de la tante et il était ahurie fasse à ça. Il m'expliqua le déroulement du plan pour demain. On pria ensemble et il s'en est allé dormir. Je me suis réveillée toute souriante en bonne humeur et ça paraissait bizarre à ma tante je suis même venue lui faire un bisou en faisait bien attention de bavé sur elle. Ses cris de dégout je vous  raconte même pas.. Je lui fais savoir que j'aurais besoin d'une nouvelle tenue pour demain vue qu'elle comptais fêter mes 20 ans, elle se leva toute contente et vin me donner 100.000 fr afin que je puisse acheter robe et chaussures. Je demanda à ma grande amie celle à qui j'avais fait peur si elle voulait m'accompagner. Ma tante ne l'a laissa même pas le temps de dire quoi que ce soit et nous demanda d'aller nous préparer. À notre retour nous trouvons ins dans le salon entrain de dire au revoir à tante nous leur disons au-revoir et avant même de tourner le dos elle demanda à ins s'il ne pouvez pas nous déposer et celui-ci accepta de suite. Ma tante insisté pour que la robe que j'allais porté soit sexy et provocante, j'hochais la tête positivement en souriant. Oh la tante si tu savais ce qu'elle faisait tu la ligoterait sous ton lit, chantonnait ma conscience.
Nous roulions jusqu'à devant une grande boutique et vu que Sally mom dafa eupeul descendit la première et aussitôt qu'elle soit descendu la voiture avait démarrait et ont la vit courir derrière la voiture.
Dans la peau de Sally
Les rats ils me l'ont bien fait mais je suis soulagé que cette pimbêche soit partie déjà elle attirait déjà l'attention de la clientèle alors qu'elle n'avait même pas commencé. J'imagine déjà la tête que fera maman en apprenant cela. Je pris un taxi et me rendi directement à la maison. Arrivée je raconta ce qui c'est passé à man et là  elle était dans tout ses états et rentra dans sa chambre et vis  qu'elle avait pris toutes ses affaires et avait posé une lettre sur le lit, je l'a pris et commença à lire à voix haute.
Chère tata................. Va crevé en enfer et je viendrai cracher sur ta tombe. Signé ta nièce qui te déteste. Je l'a tuerait avait elle criée. Merci seigneur pour nous avoir débarrasser de cette fille.
Pdv Shérifa
Après avoir passé la nuit en Casamance, nous décidons de prendre la route pour la capitale. Nous roulions jusqu'à être arrêté par des hommes armés et j'entendis ins dire :oh merde les rebelle. Ces hommes vinrent nous sortir de force. Ins essayer de se battre avec eux et reçu une balle dans le coeur. "Joyeux Anniversaire" fut ses derniers mots. J'étais subitement paralysé je ne pouvais ni pleurer ni rien faire encore une fois je venait de perdre un père. Quand à moi ils me firent tombé, ils étaient cinq et commencés à défaire leur pantalon. J'étais resté comme un i sans bougé ni rien et attendait ma fin. Le premier commença à me déshabiller mais lorsqu'il se mis sur moi il ne ressentait plus rien et quand il s'est levé il était plus homme que jamais. Tous les cinq essayèrent mais c'était le même spectacle sur moi leurs bijoux étaient pire qu'un chou fané c'est alors que je me souviens.
Flashback
Un jour alors que je jouais seul derrière le village un vieux est venue et m'a demandé d'enlever ma culotte et qu'on allait joué à un bon jeu m'avait t'il dit en me menaçant et lui avait déjà enlever ce qui lui servait de pantalon, ils savaient tous que la fille de Moctar Tine était muette et ils en profitais pour me faire de petite chose. J'avais 8 ans à cet époque et ma mère m'avait dit que si un homme s'approcher de moi je devais courir loin. Je commencé à enlever ma culotte et lorsque qu'il fut assez distrait je lui lança tous le sable que j'avais dans mon seau et courru à la maison le raconter à ma mère. Elle m'a prise et on s'est dirigé à l'endroit même et on l'a trouvé entrain d'essuyer son visage. Ma mère le reconnais c'est celui qui venait vendre à mame son cola, lorsqu'il nous a vue il a commencé à courir jusqu'à disparaître. Retour à la maison elle avait parlé à mame:
- Yaye sa diay katou gouro bi da beugon violé Sokhna ( maman on vendeur de cola avait essayé de violer Sokhna)
- sou ko don ray sakh sama yon ( même s'il l'a tué c'est pas mon problème)
- Donc sou sama nijay  gnieuwé ma wakh koko souba gnou yobou ko police sa yon ( donc si mon mari vient je lui dirais et demain on l'amènera à la police)
- soubhanala teudjeul ma sa guémign gou bon bi ioe bagua dioudo la lep lou bakh dem ( ferme ta bouche maudite, dès ta naissance toute les bonnes choses ont disparus). Tu sais bien que si tu le dis à ton mari il va le tué alors qu'il à seulement tenté et la police tu amènera la honte dans la famille. Ce que je puisse te dire c'est que ça reste entre nous.
- OK fut la seul réponse de ma mère face à ce tel injustice. Et elle c'est dit comme que il à tenté et ça n'a pas marché et qu'on a étouffé ce qui c'est passé il réessayera tôt ou tard donc il lui faut agir et elle est partie je ne sais où et est revenu avec une amulette et me dit tâche de gardai toujours cette amulette autour de ta taille si tu sens qu'elle te serre augmente la mais ne l'enlève que le jour de ton mariage va et fais ce que tu veux il ne pourrons plus rien face à toi.
Fin du flashback
Voilà pourquoi il étaient tous impuissant sur moi. Il me demandèrent de me lever et s'apprêter à tirer lorsque je leur demanda de me laissé priais une dernière fois. Au début ils voulaient pas mais je l'est  suppliés et finirent par accepter. Après ma prière je leva mon doigt vers le ciel et prononça ses mots "Ach hadou âne illa ha illa lah wa ach chadou anna mouhammadane abdouhou wa rassoulou". Je me mis devant eux et leurs dis que je suis prête il se regardèrent à tour de rôle et me regardèrent en même temps et là je remarqua que je venait de parlé pour la première fois et me mis à leur dire - à o i hi ha hé.
Il me regardèrent et éclatèrent de rire mais se  rattraper de suite en disant qu'un rebelle ne doit pas rire surtout devant une victime. Un commence à tiré mais la balle ne traversa et tomba sous mes pieds un autre pris et la même chose se répéta toutes leurs balles étaient sous mes pieds alors que j'évoquais le nom de Dieu. Ils me regardèrent une dernière fois et me quittèrent en courant moi aussi à mon tour je me suis mise à courir jusqu'à atteindre la route. Après avoir  passé 1h à marché sous le soleil de la Casamance, une voiture se gara à mes pieds...

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C'est tout pour le moment
C'était le Destin de Shérifa avec moi
Kiss à vous

Shérifa: Ma Vie Loin D'être Un Conte De FéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant