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50cent feat Eminem.
Au soir,
Paolo arrive tout content sans que je ne comprenne rien de ce qu'il me disait. Il me prit très fort dans ces bras et me lâche en souriant de toutes ses dents.
« Paolo ? Que ce passe-t-il ?
– Ce soir, Linda ! Un riche, très riche client vient ! C'est le fils du général Nzuzi. En tous cas, il a beaucoup, beaucoup d'argents. Il m'a demandé la plus belle des strip-teaseuses que j'avais et ma belle, c'est toi. »
Je fronce mes sourcils et écrase ma cigarette au sol.
« Je ne suis pas la plus belle et encore moins la meilleure. Prend Adriana. Avant hier, elle n'a pas eu beaucoup d'argent. Et elle a plus besoin d'argents que moi.
– Non, j'ai pensé à toi et à ton fils Linda... Il est petit et il ne doit pas se sentir mal ou autre. Je veux qu'il grandisse bien. Malgré ton métier.
– Paolo...
– Acceptes Linda. Pas pour moi mais pour le petit, Dylan. »
Je lui souris légèrement pour le rassurer. Dans tous les cas, comment aurais-je fais ? Je dois boucler la fin du mois très vite et bientôt mon fils aura 10 ans et je veux qu'il continue d'aller à l'école. Il ne doit pas finir comme moi. Mais bref.
Je finis mon trait eye-liner et me rend dans la salle privée réservé pour le fils du général. Lorsque j'y entre, je vois les hommes au fond de la salle. Il y en avait 3. Deux hommes de peaux ébènes et un autre homme métis.
Ils étaient tous très, très charmant. Mais seul l'homme métis m'attirait. Dans tous les cas, je suis là pour faire mon travail, et non pour juger la beauté des clients.
Je commence à les charmés, comme j'ai toujours appris à le faire mais seul les hommes ébènes étaient en chaleur, puis-je dire. Tandis que l'homme métis restait de marbre. Il était sur son téléphone sans prêter attention à moi qui faisait tout mon possible pour attirer son attention.
« Nelson, tu peux pas profiter un peu. Aller, défoules-toi.
– J'ai pas envie là. Tu crois que j'ai qu'sa à faire de regarder une pauvre petite pute trimouser son cul sur les bites de tout le monde ou quoi. J'ai des priorités dans la vie moi, Kenon, j'ai une vie à réussir mec. Salut ! »
Il se leva et s'en alla. Je me sentais salis. Ces hommes étaient face à moi gêner. Ils me payèrent et la soirée se termina là. Je rentra chez moi mais avant je fume quelques joints de sortes à oublier tout ce qu'il venait de ce passer.
