34.

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LE PACTE, 34.




















NELSON.

Un, deux, trois... puis onze bouteilles de téquila terminer. Je n'étais même pas encore allé récupérer mes enfants chez ma mère. Putain, regarder ce que je suis devenu. Je suis devenu encore pire que ce que j'étais. J'essaie de me lever pour aller dans ma chambre et prendre une douche, mais j'étais tellement soûl que je voyais flou. Quelques minutes plus tard, une personne à pousser la porte, elle n'était même pas fermée. C'était une femme, avec un très jolie corps. Des formes volumineuses et un visage aux traits fins. Elle est venue prêt de moi et m'a embrassé. Ces douces lèvres, bien pulpeuses comme j'aime. J'avais l'impression d'embrasser Linda.

Je commençais à poser mes mains sur son corps et elle sur mon cou. Elle m'enlaça et m'embrassait avec passion, j'en perdais la tête. Il me posa sur le sol et se mise en califourchon sur moi.

Moi – Linda mon amour, par- pardonnes-moi de t'avoir laisser à Cabinda. Par- pardon mon amour.

– Tu es pardonnée mon chou.

Je n'avais pas reconnu sa voix mais j'avais l'impression que c'était elle. Je continuais de l'embrasser tout en baladant mes mains sur son corps somptueux & voluptueux. Je n'avais encore jamais pris autant de plaisir avec une femme. Nos langues s'entremêlaient et nos salives ne devenaient qu'une. J'allais passer une nuit de folie en présence de ma femme.

[...]

Je me leva vers les coups de 15h-16h. J'étais très content d'enfin retrouver ma femme et de pouvoir l'embrasser et l'a câliner. Je suis allé prendre une douche puis je suis allé dans la cuisine déjeuner avec elle.

Moi – Qu'est-ce que ma petite femme d'amour m'a faite?

– Une omelette au fromage comme tu les aimes.

Dit-elle en se retournant. Je n'en croyais pas mes yeux. Ce n'est pas Linda, absolument pas. C'était juste la dernière personne avec qui j'aurais voulu coucher.

LINDA.

J'étais en sale de réveil. Je voyais des gens autour de moi. Précisément Paty, Clarkson & Adriana. Mais où est Nelson? La seule personne que je désirais voir c'était lui mais il n'est même pas là. Mon Dieu. Il a sans doute mieux à faire, avec Anissa n'est-ce pas.

Quelques minutes plus tard, un homme est rentré dans ma chambre. Il s'est approché de moi avec une mine détériorer. Je me suis redressée en frottant mes yeux. Il se racla la gorge puis s'approcha une nouvelle fois de moi.

– Comment allez-vous Madame?

Moi – Je vais bien, et- et vous monsieur?

– Très bien. Vous semblez en forme.

Moi – Haha. Que se passe t-il docteur?

– Je suis venu vérifier si tout allais bien.

Moi – Vous n'avez pas bonne mine monsieur. Que se passe-t-il réellement?

Il reprit son souffle et se frotta les mains. Il posa ses index sur son bout de nez.

– Vous avez faite une fausse couche à votre arrivée. Nous avions donc dû vous opérez d'urgence et c'est pour cela que vous êtes ici, maintenant.

Moi – Pardon?

– Vous avez perdu votre enfant.

Je voyais le monde s'écrouler autour de moi. Non seulement, en se moment rien de bien ne m'arrive, mais maintenant j'apprends que je viens de perdre mon enfant. Certes, j'ai deux magnifiques perles mais un troisième ne m'aurai pas fait de mal, vraiment pas.

Mon dieu se n'est pas possible, je n'ai pas pu perdre cette enfant. Comment aurais-je pu? Hein? Je mangeais bien, je m'entretenais comme il le fallait... Que s'est-il passé?

Je fixe le médecin droit dans les yeux. Le pauvre, Il était très mal à l'aise. Il s'excusa une dernière fois et s'en alla. Je me laissa tomber sur mon lit et les larmes venaient d'elles-mêmes. Je ne disais rien, ne respirais limite plus. La seule chose qui m'importait maintenant était de savoir comment avais-je pu perdre mon enfant.

NELSON.

Moi – Tu n'es qu'une petite vipère! Comment j'ai pu faire ça! Une nouvelle fois! À la femme que j'aime plus que tout en plus! Elle m'a offert les plus beaux cadeaux du monde et toi, toi petite prostituée que tu es, tu viens pour que je te baise! Tu me dégoûtes.

Je n'ai jamais levé la main sur un femme mais je l'ai giflé. Elle le méritait. Personne ne m'a jamais fais un coup pareil. Et elle n'allait pas être fière d'être la première. Je lui ai remis une tarte puis elle est tombée au sol. J'avais tellement la rage envers elle que j'aurai pu lui faire plus de mal encore.

– Nelson, je- je t'aime!

Moi – Si tu m'aimais vraiment tu m'aurais laisser vivre avec ma famille. Mais la seule chose que tu veux c'est briser ma famille. Mais tu sais quoi, tu n'y arrivera jamais. Parce que moi j'aime Linda comme une fou mais toi, qui voudrait de toi, hyn? Qui? Un déchet ambulant comme toi, qui en voudrait? Tu n'es rien! Tu ne mérites ni le respect d'un homme ni celui d'un animal! Tu es une merde. Un sous merde meme! Tu es le vide, le néant. Meme les enfers ne veulent pas de toi ma pauvre. Sort de chez moi.

Elle prit ces vêtements & son sac et se dirigea vers la porte d'entrée.

– Si tu aimais vraiment Linda tu serais avec elle, maintenant. Tu es pire que moi Nelson, & tu l'as toujours été. Tu ne changeras jamais, dans le fond tu es le premier des coureurs de jupon. Mon vagin est présent si tu en as besoin, je t'aime.

Moi – ANISSA JE TE HAIS! SORS AVANT QUE JE T'EXPLOSE!

Le pacte. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant