Chapitre 45

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Par un coup de vent phénoménale, mon corps se projeta vers le sien. Je le regardais dans les yeux avec un tel désir. Je ne pouvais pas passer à côté de lui, de nous. Je me décida donc et me lanca. D'une passion dévorante, je l'embrassa comme ci c'était mon dernier désir avec la fin du monde. Nos lèvres jouaient et se cherchaient comme des enfants. Alors que mes yeux se trouvaient fermés. Je senti tout les regards posés sur nous, des soutires, des moqueries, des imitations de crachats. Mais rien n'y faisait. Pour la première fois, je me sentais moi. Et je vous promet que rien n'est plus beau dans la vie. Ses bras enlacaient mon petit corps pour émettre une pression au niveau de mon dos. Tandis que les miennes étaient situé au cours de son cou, ne le laissais plus la possibilité de partir loin.

Comme un être à partOù les histoires vivent. Découvrez maintenant