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Bon bah je vais prendre des sous-vêtements où j'me sentirais à l'aise et enfile un nouveau pyjama. Je me parfume et coiffe mes cheveux. Je me rassois et l'attend.

Quelques minutes plus tard, il rentre, retire ces chaussures, il allume le ventilateur retire son polo et se couche par terre.

Kader - J'crève de chaud sa mère !

Il se tourne vers moi et me rejoint sur le canapé.

Kader - Tu sens bon.
moi - C'est l'but du parfum.
Kader - Pourquoi t'as mis du parfum ?
moi - Pour toi voyons.
Kader - Ah ouais ?
moi - Bah oui.
Kader - Et moi j'pue la transpi comme un porc.

Il tend mes jambes et pose sa tête dessus. Je lui caresse les cheveux pendant qu'il zappe les chaînes. Nous restons comme ça une bonne vingtaine de minutes.

Kader - Tu veux pas qu'on va au restau?
moi - On dit qu'on aille, oui pourquoi pas.

Il se lève et on va s'habiller. On était tout les deux devant l'armoire et on réfléchissait.

moi - Tu vas mettre quoi ?
Kader - J'sais pas putain.
moi - On va dans quel restau ?
Kader - Euh j'sais pas encore.

Tata m'avait préparer une tenue de restaurant : une jupe crayon noire, avec des talons noirs et une chemise beige. Sans oublier les collants opaques que m'a recommandé Mélissa.

Kader - T'va mettre quoi ?
moi - Ça !
Kader - Vas-y j'met costard.

Je pars me changer dans la salle de bain lui reste dans la chambre.

Kader - T'es habillé ?
moi - Oui entre, dis-je en me lissant les cheveux.
Kader - Y'a du lourd !
moi - Toi aussi t'es pas mal.

Donc on finit de se préparer.

Kader - Princesse t'es prête ?
moi - Oui.

Il m'attend à l'entrée, il me tend son bras et j'enmèle le mien au sien. On prend l'ascenseur en silence. Il regarde mon reflet dans le miroir.

Kader - T'es magnifique.
moi - T'es mignon, toi aussi sa te vas bien le costard.

La porte s'ouvre et tout les regards des mecs se posent sur nous.

Kader - Devant moi.

Je passe devant lui, très stressé, j'imaginais juste ma chute devant eux. Je l'attend devant la porte du hall.

Kader - Heureusement personne t'as regarder.

On se dirige vers la voiture, galant qu'il est il m'ouvre la porte.

moi - Merci.

Je m'installe, attache ma ceinture. Lui, il rentre, met le contact. Je vois qu'il pose son bras sur l'accoudoir et je met la mienne par dessus.

Kader - T'es tactile.
moi - Sa te dérange ? dis-je en retirant ma main de la sienne.
Kader - Non du tout princesse.

Je repose ma main, et on fait le trajet en silence. Arriver là-bas, il m'ouvre la porte et me tient la porte du restaurant.

Kader - Après vous madame *******.
moi - Merci monsieur.

On choisit une table un peu isolé et on passe commande.

On parle de tout et de rien, il me raconte quand il était jeune, au collège quand il avait jeter une chaise sur son professeur et qu'il avait été poursuit en justice.

|Tome 1| Armé il couvre mes arrièresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant