Epilogue

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La fête battait de son plein, et l'alcool était au rendez vous. Je ne m'en suis servis que un verre pour faire plaisir à Xerx qui au contraire de moi enchainait verre sur verre. Il pouvait se le permettre après tout. Il supporte l'alcool vraiment très bien. C'est comme si il buvait de l'eau. C'est vraiment impressionnant. Il m'avait un jour dit qu'il pensait que c'était parce que son esprit était sans cesse focalisé sur l'idée qu'il ne devait pas encore mourir. Il est vrai qu'il semble avoir deux ans de moins que moi, c'est à dire vingt quatre ans, et encore. D'autre pense que c'est un adolescent d'environs seize ans. Mais en réalité, psychologiquement il a trente quatre ans, malgré que beaucoup en doute. Et réellement il en a soixante quatorze ans. C'est vraiment dur à croire quand on le voit. On dirait un jeune adolescent indiscipliné qui parle malgré tout parfaitement bien. Un bruit retentit soudainement dans la pièce. Des personnes en capes rouges se firent voirs. Les Baskerville ! Tous ici sont membres de Pandora, alors tous ont reconnu les Baskerville. Plusieurs chains se fit voir, d'autre sortait les armes et parmi ceux qui ont sortit les armes, il y avait Break. L'un des Baskerville dit à haute voix.

- Dites nous se trouve le chapelier.

Break haussait un sourcil avant d'aller en direction des Baskerville, moi à sa suite. Je le sens mal. Pendant qu'il se rapprochait, il dit.

- Je suis ici. Que me veulent ces chers Baskerville pour venir en personne en pleine fête ?

- Il est temps pour toi de payer de tes crimes !

- Mmh ? Mes crimes ? Il faudra d'abord me neutralisé. Et ça tombe bien, j'avais besoin d'exercice.

Les agents se mirent en position mais Break leurs dit.

- Ne vous en occupez pas. Apparemment ils veulent combattre contre moi. Je vais donc leurs donner ce plaisir.

Les chains et les armes rentrèrent. Mademoiselle Sharon regardait la scène avec inquiétude ainsi que madame Sheryl qui était à côté de mon maitre. Break ... Un combat s'engagea entre Break et les six Baskerville. Je vis au loin un Baskerville appuyé contre un mur. Je vis ses yeux. Non .. Cela ne peut pas être ... Ses yeux possédaient deux couleurs différentes. L'un dorés et l'autre rouge. Exactement comme Vincent Nightray. Cela ne peut pas être lui. C'est impossible. Il remarqua mon regard. Un fin sourire se dessina sur ses lèvres tandis qu'il mit un doigt sur ses lèvres pour m'intimer le silence. Alors il sagit bien de messire Vincent. Le jeune frère de messire Gilbert. Je ne comprend pas. Pourquoi fait il partit des Baskerville ? Je me demande si messire Gilbert le sait ? Où si il fait partit des Baskerville. Non, il ne sait pas mentir lui. Apparement messire Vincent s'ennuit. Il dit le plus simplement du monde sans aucune peur que l'on ne le reconnaisse.

- Zwei, utilise Deldum. Je commence à m'ennuyer.

Tout le monde tourna son regard vers lui. Démasquer. L'un des Baskerville lui dit.

- C'est bon Vincent. Plus besoin de te cacher. Ils ont compris.

Il retira sa capuche, laissant tout le monde étonné. Une chain sortit et des fils emprisonnèrent Break pour l'empêcher de bouger. Il se débattit mais en vain. Un des Baskerville s'avança vers lui alors que les fils le forcèrent à se mettre assis par terre. Je l'entendis pester.

- Moi qui possède les chaines de la condamnation je vais maintenant te juger. Pour le crime que tu as commis.

Les Baskerville empoignèrent fermement les bras de Break. La main du Baskerville possédant les chaines de la condamnation se posa sur la tête de Break.

- Xerxes Break, ton crime est  ... D'être avec les yeux des enfants maudits, qui troublent la paix dans l'abysse.

Tout le monde s'étonna sauf mademoiselle Sharon, madame Sheryl et maitre Rufus. Pas ça ... Des chaines sortirent du sol et s'agrippèrent à Break qui dit avec amusement.

- Sa me rappelle des souvenirs. C'est amusant.

Lui il n'en rate pas une pour faire des blagues. Il commença à s'enfoncer dans le sol. Sans prendre la peine de réfléchir, j'accouru vers Break et attrapait son bras, m'entrainant avec lui dans l'abysse sous les regards choqués de tous. Encore plus de maitre Rufus, mademoiselle Sharon et ma famille. Mes derniers mots avant de m'enfoncer dans l'abysse furent :

- Pardonnez moi.

Un amour. Deux hommes. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant