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Je vis une lumière blanche, peut être la mort qui m'accueillais.
Et puis, d'un coup je sentis un contact sur ma main. Je ne voyais rien, mais je le sentais. Et cette fois-ci à l'autre main. Inconsciemment, j'étais en train de me réveiller.
J'ouvris mes yeux doucement, et je fus surprise de découvrir un plafond blanc, comme celui lorsque je j'étais inconsciente.
Je distingua des visages autour de moi, celui de Luna et de Ginny.
- Hermione Hermione ! Comment te sens-tu ? Il y avait de l'inquiétude dans la voix de Ginny.
- Ça va ... Comment suis-je arrivée ici ?
- Personne ne le sait, McGonagall nous as juste dis que quelqu'un t'avais emmener ici. Mais enfin Hermione, qu'est-ce qu'il t'as pris ?
- Luna, je suis somnambule ces derniers temps ... J'ai rêvée que je plongeais dans une piscine ..
J'avalas ma salive tellement mon excuse était idiote.
Je bougea un peu lorsque je remarqua que ma main gauche dont le poignet était cassée allait mieux.
- Madame Pomfresh t'as soigné, ajouta Luna.
- Où sont Ron et Harry ? Je demanda
- Madame Pomfresh autorise deux personnes à la fois.
En voyant arriver l'infirmière, je lui demanda immédiatement et pris une mine radieuse.
- Je me sens beaucoup mieux, mentis-je. Je peux sortir ?
- Miss Granger, vous avez eu un terrible accident cette nuit. Vous êtes sûr ?
- Madame, j'ai affreusement faim ....
- Bon dans ce cas, allez manger quelque chose. Revenez si vous avez mal quelque part.

Je descendis en compagnie de Luna et Ginny rejoindre la table des Gryffondor.
Harry et Ron ne riaient pas et semblaient très concentrés. J'arriva à leur hauteur.
- Bonjour ! Lança-je.
-Hermione ! S'exclama Ron et Harry en même temps. Tu nous as fais peur !
Je leur fis un gros câlin et commença à manger. À la table d'en face, je remarqua Malfoy. Je ne sais pas si c'était lui qui m'avais ramener, mais je n'allais pas le remercier. Je voulais en finir, et si c'est lui qui m'a emmener à l'infirmerie, il risque de m'entendre.

En vérité, Malfoy ne m'avait jamais laissé indifférente. Lorsque j'étais en première et deuxième année, j'étais "amoureuse" de lui. Malgré les insultes qui me lançaient, je toujours pensé qu'il avait un côté gentil.

Destinée à mourrir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant