DESIR ARDENT

Chapitre 19

Une larme qui disparut aussi vite qu'elle était apparu.

Elle : n'y pense même pas

Moi : ce n'est pas ce que tu crois c'est mon ex ok, elle m'a vue et....et elle est venue me parler.

Elle : oui bien sûr, elle te parlait avec la langue et toi tu l'as laissé faire.

Elle était complètement hystérique, je me sentais mal et on aurait même dit qu'elle était jalouse.

Moi : je ne l'aime plus, je te jure que je n'ai rien ressentis.

Elle : espèce de menteur (dit-elle en me poussant quand je tente de la tenir dans mes bras)

Moi : elle ne compte plus pour moi alors que toi....tu es ma vie, tu es la femme que je veux dans mon existence, c'est juste une amie je....

Elle : ah et tu embrasse tout tes amies, peut-être que je devrais faire de même.

Moi : Ne plaisante pas avec ca et  pourquoi tu transformes tout ce que je dis.

Elle : parce que c'est la vérité vous êtes tous pareille je me demande comment j'ai pu te faire confiance aveuglément qu'est ce que j'ai été stupide.....je ne veux plus jamais te revoir.

Puis elle s'en alla, elle marchait pied nue au milieu de la route, elle me hait et me méprise.
Je ne crois pas pouvoir supporter son indifférence non je ne le supporterai pas.

Le lendemain

PVD LENA

Je me réveille avec un mal de tête affreux. Je sors de mon lit pour me diriger vers la salle de bain, me doucher rapidement pour enfin finir par m'habiller d'un short et d'un débardeur.
Aprés avoir fini je prend mon petit déjeuner et commence à ranger un peu la maison qui était hyper désordonné, je termine en sortant les poubelles mais en ouvrant la porte de la Maison je tombe sur une voiture que je reconnaîtrai entre mille, elle était garé juste devant ma porte. je m'approche de ce dernier et remarque que c'était lui, il avait dormi là toute la nuit.je toque sur la vitrine plusieurs fois avant qu'elle ne finisse par s'ouvrire laissant place à un homme fatigué, des cernes sous les yeux et les cheveux en batailles.

Moi: Flavio?

Il me regarde en baillant ce qui lui donnait un air hyper mignon.

Moi: tu as dormi là?

lui: oui je.......

Moi: aller vient... je vais te préparer un café.

Je n'attendis pas qu'il réplique, je mis le sac à ordure dans la poubelle et je rentre dans la maison.je sentis une présence dérriére moi donc j'en ai déduis qu'il me suivait. je me dirigea directe dans la cuisine et lui servi une tasse de café puis je la lui tendis, quand je voulu retirer ma main il la rattrapa et me tira vers lui j'attéris directe sur ses cuisses.

Moi :mais qu'est ce........

Lui : tu ne m'as pas jeté un seule regard.

Moi: bien sur que si et lâche moi (il me serra par la taille)

Lui : regarde moi dans les yeux

j'essayais de le regarder mais je ne pouvais car j'étais toujours énérver contre lui, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs il est libre et célibataire, vacciné, majeur,  il a le droit de faire ce qu'il veut quand il le veut. Qu'est ce que c'est agaçant. Je reléve enfin les yeux pour lui montrer que ça ne m'affecte en rien ce qu'il l'a fais hier soir en éspérant le convaincre car vraiment à voire mon visage je suis sur qu'il se marre intérieurement.

Lui : tu es toujours énervé,?

Moi : ........................

Lui :je suis vraiment désolé.......je te le jure

Moi: tu....tu n'as pas à t'éxcuser après tout c'est ta vie et tu as le droit d'en faire ce que tu veux. Si moi aussi un mec me.......

Lui : si un mec t'avais touché sous mes yeux le moins qu'il risquerait c'est de perdre toute ses dents.

Moi : tu te fiches de moi ou quoi ?

Lui : non je ne plaisante pas mais j'aimerai bien savoir ce qui t'a pris de me gifler.

Moi:  sur le moment c'était à cause de la colére?

Lui: la colére?

un sourire se trace sur son visage

Lui : ou la jalousie ?

je stoppe tout mouvement et commence à bafouiller.

Moi: qu....qu....qui moi pfff pas du tout c'est juste que.....que de voir cette fille qui allait presque t'avaler les poumons sur toi comme si la situation était normal alors tu m'accompagnais ça m'a bloqué la respiration pendant un instant.

Lui : pardonne moi Miss Woods mais ça s'appel de la jalousie.

Moi : oui et alors (dis-je sans faire exprés)... je veux dire il......

Lui : alors ça veut dire que tu m'aimes bien....pourquoi tu es si fiére, Lena tu as le droit de ressentir des choses, d'avoir des sentiments ton cœur n'est pas en pierre.

Moi : je ne suis pas fiére

Lui: si

Moi: non

Lui: prouve le 

Moi : comment ?

Lui : embrasse moi

je rigole automatiquement pensant qu'il était entrain de se moquer mais non il était carrément sérieux.

Moi : cause toujours

Lui : t'as vu qu'est ce que je disais

Moi : c'est faux, c'est juste que  ?

Lui : que ?

Moi : j'en ai pas envie

Lui : quel menteuse c'est impossible de se poster devant ça ( il montre son visage) et de ne pas avoir le desir de me sauter dessus...je comprend mieux mon ex, Je suis irrésistiblement beau et....

je commençais à bouilloner de l'intérieure dans le fond je crois que je suis vraiment jalouse. Je lui donne une tapéte à l'épaule pour qu'il se calme.

Lui : aillllllllle

Moi: dommage que cela ne marche pas avec moi.

Lui : ah bon

Moi : évidemment.......

Avant que je ne termine ma phrase il colle nos bouches et par un petit baisé puis au fur et à mesure que je me décontractais, il approfondit notre baisé, mon corps se tordait et étrangement toute mes pensés ce sont rivés sur Mr Gallardo. Il ne me laissera donc jamais tranquille.  Mon corps réclamait ses bras tandis que dans mon cœur je ne ressentais aucune émotions, c'était étrange. Nous nous détachions lorsque nos lèvres étaient devenu séche et que la réspiration se faisait difficilement. J'avais l'impréssion que j'allais éxploser tellement je brulais d'envie.

Il enfouit son visage au creux de mon coup et se mit à respirer fortement.

Lui : je t'aime Lena( Il se défait de moi et me fixe intensément dans les yeux)...je t'aime comme jamais je n'ai aimé personne, jamais.

DESOLE POUR LE RETARD,CHAPITRE NON CORRIG2 JE LE FERAI PLUS TARD BSX BSX MES BBOUHS