DESIR ARDENT

CHAPITRE 21

DEUX JOURS PLUS TARD........

PVD LENA

Moi : je suis épuisé 6 heures dans un avion et comme si sa suffisait pas il rajoute 4 heures de yot, j'ai mal au fesse Flavio.

Lui : je te masserai t'inquiéte pas.

Moi :............

Lui : c'est la seule option( dit-il d'un ton sarcastique)

Moi : donc j'ai pas le choix

Lui :oui une seule alternative

Moi : bon ok, il y'a pas beaucoup d'habitants ici

Lui: bien vue 15000 au total

Moi : seulement?

Lui : c'est une zone assé éloigner et tu as du remarqué qu'il faisait hyper froid.

Moi : je sais, je n'ai pas amené beaucoup de pull.

Lui: mes bras sont disponible

...............: MR la maison est disponible, veuillez me suivre

Moi : et nos bagages ?

Lui : ils vont les amenés ( dit-il en pointant deux grands jeunes hommes qui était juste dérriére nous)

ces derniers les prient et les emportats avec nous. On arrive à destination c'était la maison plus bizarre que je n'avait jamais vu de toute ma vie.

Moi :c'est pas un peu petit(murmurais-je à l'oreille de Flavio)

Lui : ce sont des maisons en tourbe et à toit hébreux, y'a que l'entrée qui est petite attend d'etre à l'intérieure.

Le réceptionniste nous ouvris enfin la porte et on y pénétra c'était immense, elle faisait deux fois la mienne. Les deux gas montérent nos valises et le réceptionniste nous donna la clé puis s'en alla suivit des mecs.

Moi : je voudrais visiter

Il me tira par la main et on se commença notre inspection, il y avait un jacuzzi, une table à manger dans le jardin, deux chambres en haut et une en bas, une grande cuisine, un grand salon avec room cinéma inclut enfin tous le blabla de la tecnologie. Sur le moment je ne me suis pas vraiment sentis à ma place, je suis une fille simple, je ne connais pas tout ce luxe. Flavio a du remarqué que j'étais un peu géné car il me prit dans ses bras, ses bras forts et musclés qui savent si bien me calmer.

Lui : tu sembles tendu

Moi: rien de grave juste un peu mal à l'aise

Lui : ici tu es chez toi, je t'amènerais ou tu voudras, je t'offrirais absolument tout car tu le mérite mon amour.

Moi : t'en as déjà fait un peu trop non entre les nouveaux vêtement et ça c'est assez je pense

Lui : rien n'est trop bien pour toi et bientôt tu sera mienne, tu sera ma femme (dit-il en me fixant)

Il me donna un vaste baisé puis nous nous sommes dirigé chacun dans sa chambre, il prit un d'en haut et je pris celle du bas car elle était plus prés de la cuisine et ses derniers temps j'ai un appétit de chien, je dévore tout ce que je trouve. Après avoir rangé nos affaire, il faisait déjà nuit donc nous sommes aller vers ce dernier d'ailleurs et comme d'habitude Flavio cuisine, moi je m'assois sur le comptoir à parler de n'importe quoi.

Lui : Tu as faim ? (me demande t'il en observant mes jambes nue à cause de la robe que je portais)

Moi : j'ai une faim de loup