Prologue

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La mort ou la vie? Que choisirez - vous? Moi j'ai choisis la vie. Mais comment celle - ci a décider de me choisir et de me traiter? Une tradition m'avait - il dit, une simple tradition qui changera ma vie. Une tradition ou la mort? J'ai évidemment choisi la tradition malgré le refus des membres de ma famille qui s'en est suivi d'une mort atroce.

Une nuit noire. Semblant aux ténèbres du diable qui les ont créé, eux, la déformation de l'humanité. Les étoiles sont cacher par des masses incalculables de nuages furieux. Je regarde autour de moi sans même voir mon cher mari qui est pourtant qu'à quelques centimètres de moi. Je chasse la peur ambiantes qui sabbat contre ma peaux tel un torrent de petite aiguille qui perce ta confiance à chaque pas que tu fais aveuglément dans les enfer de ta vie. Je marche, j'aggripe, je glisse, je marche encore et trébuche de nouveau. Je sens une présence se rapprocher de moi je me tourne rapidement vers la main qui s'offre à moi. Une main rude d'homme qui est supposer nous procurer un sentiments de sécurité, d'amitié et de fierté d'avoir cette main à nous seule. Mais cette main appartient à mon cher mari, à cet pourriture qui a tué, égorger, massacrer les seul Wallis qui restait dans ce malheureux monde. Il n'en reste qu'une. Une seule et elle est enchaîner à cette même main qui veux l'aider à se relever.

Je suis obligé de servir cette main, de l'aimer, de la chérir et de lui procurer des enfants qui auront les même mains salit de massacres.

Triste. C'est le seul mot que la pauvre femme étaler par terre, cette pauvre femme qui est moi, peut penser. Elle est condamné à une vie de tristesse et en même temps elle condamne tout les Wallis qui sortiront de sa chair. Elle met à mort la pauvre succession de ses propres gènes.

L'homme devant elle perd facilement patience et il est entièrement dominer par sa colère dans ces temps là. Donc, je prend sa main avec, sans pouvoir le cacher, une émotion de dédain imprégner au visage. Mon mari le remarque parce qu'il afficha un sourire malsain sur ces lèvres mince.

- Es-tu prête ma douce? Dit-il en brisant le silence pesant.

Je leva tranquillement mon regard pour le braquer dans le sien. Aussi noire que la nuit, aussi effrayant que les enfer. Je soutint son regard, une lueur de surprise se lit un tiers de seconde avant qu'elle disparaisse mais je ne suis pas sotte, je l'ai vu ce sentiment traverser son être. Une surprise de voir la détermination de la dernière des Wallis. Une émotion infranchissable, un sentiment de trahison envers les siens et enfin le pire de tous: une valeur briser à tout jamais.

On continua à marcher un bon moment encore, jusqu'à ce qu'on arrive a une grande caverne de pierre usé, elle me donnait des sueurs dans le dos juste à la regarder. L'ouverture qui nous permis de passer était noire et avec cette nuit elle n'était quasiment pas à la vue. C'était sûrement pour ça que mon parfait mari m'amena là, dans une grotte sombre, reculer de tous les bon samaritains capable de me venir en aide. Mais en même temps, cela m'était favorable, je ne pourrai pas massacrer autant de gens que mon homme voudrait me voir tuer. Tel le sadique qu'il est, il veux me donner la chance de partager sa nature, mais j'en suis incapable. En t'en qu'humaine. Quand je deviendrai cet animal féroce, incontrôlable, assoiffé de guerre et le besoin de sentir la mort quitter mes hôte. Je deviendrai la meurtrière qu'il souhaite tant.

Brisant le silence à nouveau mon mari me reposa la question d'il y a quelques minutes.

- Alors ma jolie prête à affronter la tradition?

Mes yeux s'embuère de larmes essayant de les retenir, en vain. Elle roulait paisiblement frayant leur chemin jusqu'à mon cou qui devint humide. Une forte gifle éclata sur ma joue, ma tête tourna sur le coter violemment. Tout le côté gauche de mon visage chauffait et mon nez commença à laisser passer le sang qui bouillait dans mes tempes. Je me tint la joue la bouche ouverte hoquettant de terreur quand je vit l'homme qui m'avait passer la bague au doigt se diriger à grand pas vers moi.

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